L'aqueduc de Vorgium/Carhaix (Finistère). Contribution à l'étude des aqueducs romains
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- Nombre de pages352
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-271-14178-1
- EAN9782271141781
- Date de parution27/01/2022
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurCNRS Éditions via OpenEdition
Résumé
Afin d'améliorer les conditions d'hygiène, de confort et d'agrément en milieu urbain, nombre de villes romaines de la Gaule se sont dotées d'importantes infrastructures servant à approvisionner en eau les quartiers et les monuments publics. À l'extrémité de la péninsule armoricaine, aux confins de l'Empire, à Vorgium (Carhaix, Finistère), l'aqueduc romain (ier-ive siècle) parcourt les molles croupes schisteuses du bassin de Châteaulin, à l'est de Carhaix, dans les Côtes-d'Armor et le Finistère.
Si, de longue date, l'aqueduc a fait l'objet de mentions d'inégal intérêt, les connaissances restaient encore il y a peu très fragmentaires. À l'issue de vingt années de recherches, ce volume offre une vision complète de la gestion de l'eau dans cette ville. Il permet de reconstituer pas à pas les étapes et les vicissitudes de la réalisation d'un projet de grande ampleur pour amener l'eau courante à la fin du iie siècle, après une première tentative infructueuse au siècle précédent.
La description minutieuse des différentes sections de ces deux canalisations ouvre sur une série d'analyses traitant des vestiges des deux ouvrages d'art, l'un souterrain et l'autre aérien, de la diversité des modes de construction, des choix stratégiques des tracés et des évaluations de débit en lien avec l'étude de la ressource. Le contexte naturel de cette adduction a eu un impact sur son fonctionnement mais aussi sur son étude hydraulique, imposant l'élaboration d'une méthodologie adaptée à l'absence de dépôts calcaires.
La mise en relation des adductions avec les infrastructures consommatrices, thermes, fontaines et, au bout de la chaîne, les égouts reste ici au stade de l'esquisse, à la mesure de notre perception encore trop incomplète de la ville antique et de ses équipements publics. Une contribution majeure à l'étude des aqueducs romains de la Gaule.
Si, de longue date, l'aqueduc a fait l'objet de mentions d'inégal intérêt, les connaissances restaient encore il y a peu très fragmentaires. À l'issue de vingt années de recherches, ce volume offre une vision complète de la gestion de l'eau dans cette ville. Il permet de reconstituer pas à pas les étapes et les vicissitudes de la réalisation d'un projet de grande ampleur pour amener l'eau courante à la fin du iie siècle, après une première tentative infructueuse au siècle précédent.
La description minutieuse des différentes sections de ces deux canalisations ouvre sur une série d'analyses traitant des vestiges des deux ouvrages d'art, l'un souterrain et l'autre aérien, de la diversité des modes de construction, des choix stratégiques des tracés et des évaluations de débit en lien avec l'étude de la ressource. Le contexte naturel de cette adduction a eu un impact sur son fonctionnement mais aussi sur son étude hydraulique, imposant l'élaboration d'une méthodologie adaptée à l'absence de dépôts calcaires.
La mise en relation des adductions avec les infrastructures consommatrices, thermes, fontaines et, au bout de la chaîne, les égouts reste ici au stade de l'esquisse, à la mesure de notre perception encore trop incomplète de la ville antique et de ses équipements publics. Une contribution majeure à l'étude des aqueducs romains de la Gaule.
Afin d'améliorer les conditions d'hygiène, de confort et d'agrément en milieu urbain, nombre de villes romaines de la Gaule se sont dotées d'importantes infrastructures servant à approvisionner en eau les quartiers et les monuments publics. À l'extrémité de la péninsule armoricaine, aux confins de l'Empire, à Vorgium (Carhaix, Finistère), l'aqueduc romain (ier-ive siècle) parcourt les molles croupes schisteuses du bassin de Châteaulin, à l'est de Carhaix, dans les Côtes-d'Armor et le Finistère.
Si, de longue date, l'aqueduc a fait l'objet de mentions d'inégal intérêt, les connaissances restaient encore il y a peu très fragmentaires. À l'issue de vingt années de recherches, ce volume offre une vision complète de la gestion de l'eau dans cette ville. Il permet de reconstituer pas à pas les étapes et les vicissitudes de la réalisation d'un projet de grande ampleur pour amener l'eau courante à la fin du iie siècle, après une première tentative infructueuse au siècle précédent.
La description minutieuse des différentes sections de ces deux canalisations ouvre sur une série d'analyses traitant des vestiges des deux ouvrages d'art, l'un souterrain et l'autre aérien, de la diversité des modes de construction, des choix stratégiques des tracés et des évaluations de débit en lien avec l'étude de la ressource. Le contexte naturel de cette adduction a eu un impact sur son fonctionnement mais aussi sur son étude hydraulique, imposant l'élaboration d'une méthodologie adaptée à l'absence de dépôts calcaires.
La mise en relation des adductions avec les infrastructures consommatrices, thermes, fontaines et, au bout de la chaîne, les égouts reste ici au stade de l'esquisse, à la mesure de notre perception encore trop incomplète de la ville antique et de ses équipements publics. Une contribution majeure à l'étude des aqueducs romains de la Gaule.
Si, de longue date, l'aqueduc a fait l'objet de mentions d'inégal intérêt, les connaissances restaient encore il y a peu très fragmentaires. À l'issue de vingt années de recherches, ce volume offre une vision complète de la gestion de l'eau dans cette ville. Il permet de reconstituer pas à pas les étapes et les vicissitudes de la réalisation d'un projet de grande ampleur pour amener l'eau courante à la fin du iie siècle, après une première tentative infructueuse au siècle précédent.
La description minutieuse des différentes sections de ces deux canalisations ouvre sur une série d'analyses traitant des vestiges des deux ouvrages d'art, l'un souterrain et l'autre aérien, de la diversité des modes de construction, des choix stratégiques des tracés et des évaluations de débit en lien avec l'étude de la ressource. Le contexte naturel de cette adduction a eu un impact sur son fonctionnement mais aussi sur son étude hydraulique, imposant l'élaboration d'une méthodologie adaptée à l'absence de dépôts calcaires.
La mise en relation des adductions avec les infrastructures consommatrices, thermes, fontaines et, au bout de la chaîne, les égouts reste ici au stade de l'esquisse, à la mesure de notre perception encore trop incomplète de la ville antique et de ses équipements publics. Une contribution majeure à l'étude des aqueducs romains de la Gaule.