Kinji Fukasaku. Un cinéaste critique dans le chaos du XXe siècle
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- Nombre de pages186
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-24636-2
- EAN9782296246362
- Date de parution01/12/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille14 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierAntoine Coppola
Résumé
Tardivement découverte en Europe ou aux Etats-Unis, son imposante filmographie débute dès 1961. Elle comporte des travaux de commande mais aussi des films très importants tels que Hommes, porcs et loups, la série Combat sans code d'honneur, Sous les drapeaux l'enfer ou Le Cimetière de la morale. Derrière leur ancrage dans divers genres (yakuza eiga, chambara) et leur modestie apparente, ces oeuvres de rupture révèlent un cinéaste inventif et audacieux, fortement marqué par les ruines de la guerre, par l'après Hiroshima et Nagasaki.
Sa démarche artistique, souvent très iconoclaste, est parfois comparable à celle d'un Shoei Immamura dans L'histoire du Japon racontée par une hôtesse de bar. A sa manière, le cinéma de Kinji Fukasaku porte un regard très critique sur le présent et le passé de son pays, sur une société qui pratique la fuite en avant dans la consommation effrénée. Et ceci, jusqu'à Battle Royale (2000), brûlot incendiaire tourné par un homme de 70 ans retrouvant l'énergie et la rage de sa jeunesse, et qui atteindra un public renouvelé à l'échelle mondiale.
Cet essai constitue la première monographie entièrement consacrée à Kinji Fukasaku en dehors du Japon.
Sa démarche artistique, souvent très iconoclaste, est parfois comparable à celle d'un Shoei Immamura dans L'histoire du Japon racontée par une hôtesse de bar. A sa manière, le cinéma de Kinji Fukasaku porte un regard très critique sur le présent et le passé de son pays, sur une société qui pratique la fuite en avant dans la consommation effrénée. Et ceci, jusqu'à Battle Royale (2000), brûlot incendiaire tourné par un homme de 70 ans retrouvant l'énergie et la rage de sa jeunesse, et qui atteindra un public renouvelé à l'échelle mondiale.
Cet essai constitue la première monographie entièrement consacrée à Kinji Fukasaku en dehors du Japon.
Tardivement découverte en Europe ou aux Etats-Unis, son imposante filmographie débute dès 1961. Elle comporte des travaux de commande mais aussi des films très importants tels que Hommes, porcs et loups, la série Combat sans code d'honneur, Sous les drapeaux l'enfer ou Le Cimetière de la morale. Derrière leur ancrage dans divers genres (yakuza eiga, chambara) et leur modestie apparente, ces oeuvres de rupture révèlent un cinéaste inventif et audacieux, fortement marqué par les ruines de la guerre, par l'après Hiroshima et Nagasaki.
Sa démarche artistique, souvent très iconoclaste, est parfois comparable à celle d'un Shoei Immamura dans L'histoire du Japon racontée par une hôtesse de bar. A sa manière, le cinéma de Kinji Fukasaku porte un regard très critique sur le présent et le passé de son pays, sur une société qui pratique la fuite en avant dans la consommation effrénée. Et ceci, jusqu'à Battle Royale (2000), brûlot incendiaire tourné par un homme de 70 ans retrouvant l'énergie et la rage de sa jeunesse, et qui atteindra un public renouvelé à l'échelle mondiale.
Cet essai constitue la première monographie entièrement consacrée à Kinji Fukasaku en dehors du Japon.
Sa démarche artistique, souvent très iconoclaste, est parfois comparable à celle d'un Shoei Immamura dans L'histoire du Japon racontée par une hôtesse de bar. A sa manière, le cinéma de Kinji Fukasaku porte un regard très critique sur le présent et le passé de son pays, sur une société qui pratique la fuite en avant dans la consommation effrénée. Et ceci, jusqu'à Battle Royale (2000), brûlot incendiaire tourné par un homme de 70 ans retrouvant l'énergie et la rage de sa jeunesse, et qui atteindra un public renouvelé à l'échelle mondiale.
Cet essai constitue la première monographie entièrement consacrée à Kinji Fukasaku en dehors du Japon.