Jean-Baptiste Dumas (1800-1884). La vie d'un chimiste dans les allées de la science et du pouvoir
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- Nombre de pages418
- FormatPDF
- ISBN978-2-7056-7197-6
- EAN9782705671976
- Date de parution22/02/2011
- Protection num.Adobe DRM
- Taille17 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
Résumé
Né à Alès (Gard), en 1800, Jean-Baptiste Dumas interrompit très vite sa scolarité et entra en qualité de commis chez un pharmacien de la ville. Promis à une vie sans gloire, il eut le courage de tout quitter pour aller, sur la recommandation d'un parent qui avait pressenti tout son potentiel, à Genève poursuivre une formation à peine ébauchée. Son premier talent fut d'avoir parcouru à pied, à l'âge de dix-sept ans, les quatre-vingt-quatre lieues (350 km) qui séparent les deux villes.
À Genève, il acquit une formation scientifique d'une telle qualité que ses premiers travaux furent remarqués par l'illustre Alexandre von Humboldt qui n'hésita pas à lui dire que son destin était ailleurs : à Paris où il arriva à vingt-deux ans. Les portes des grandes institutions s'ouvrirent une à une devant lui. Il fut successivement et parfois en même temps professeur de chimie à l'Athénée, à Polytechnique, à l'école centrale (qu'il fonda avec quelques amis), à la faculté des sciences, à la Sorbonne (où Louis Pasteur suivit son enseignement), au Collège de France, à la faculté de médecine.
Comme il fut le professeur de toutes les chaires, il fut membre de toutes les académies : Académie des sciences (Académicien et Secrétaire perpétuel, président de toutes les Commissions scientifiques nationales et internationales : poids et mesures, unités électriques, passage de Vénus, etc.), Académie française, Académie de médecine. Scientifique de premier plan, il devint l'un des hommes politiques les plus influents du Second Empire.
À Genève, il acquit une formation scientifique d'une telle qualité que ses premiers travaux furent remarqués par l'illustre Alexandre von Humboldt qui n'hésita pas à lui dire que son destin était ailleurs : à Paris où il arriva à vingt-deux ans. Les portes des grandes institutions s'ouvrirent une à une devant lui. Il fut successivement et parfois en même temps professeur de chimie à l'Athénée, à Polytechnique, à l'école centrale (qu'il fonda avec quelques amis), à la faculté des sciences, à la Sorbonne (où Louis Pasteur suivit son enseignement), au Collège de France, à la faculté de médecine.
Comme il fut le professeur de toutes les chaires, il fut membre de toutes les académies : Académie des sciences (Académicien et Secrétaire perpétuel, président de toutes les Commissions scientifiques nationales et internationales : poids et mesures, unités électriques, passage de Vénus, etc.), Académie française, Académie de médecine. Scientifique de premier plan, il devint l'un des hommes politiques les plus influents du Second Empire.
Né à Alès (Gard), en 1800, Jean-Baptiste Dumas interrompit très vite sa scolarité et entra en qualité de commis chez un pharmacien de la ville. Promis à une vie sans gloire, il eut le courage de tout quitter pour aller, sur la recommandation d'un parent qui avait pressenti tout son potentiel, à Genève poursuivre une formation à peine ébauchée. Son premier talent fut d'avoir parcouru à pied, à l'âge de dix-sept ans, les quatre-vingt-quatre lieues (350 km) qui séparent les deux villes.
À Genève, il acquit une formation scientifique d'une telle qualité que ses premiers travaux furent remarqués par l'illustre Alexandre von Humboldt qui n'hésita pas à lui dire que son destin était ailleurs : à Paris où il arriva à vingt-deux ans. Les portes des grandes institutions s'ouvrirent une à une devant lui. Il fut successivement et parfois en même temps professeur de chimie à l'Athénée, à Polytechnique, à l'école centrale (qu'il fonda avec quelques amis), à la faculté des sciences, à la Sorbonne (où Louis Pasteur suivit son enseignement), au Collège de France, à la faculté de médecine.
Comme il fut le professeur de toutes les chaires, il fut membre de toutes les académies : Académie des sciences (Académicien et Secrétaire perpétuel, président de toutes les Commissions scientifiques nationales et internationales : poids et mesures, unités électriques, passage de Vénus, etc.), Académie française, Académie de médecine. Scientifique de premier plan, il devint l'un des hommes politiques les plus influents du Second Empire.
À Genève, il acquit une formation scientifique d'une telle qualité que ses premiers travaux furent remarqués par l'illustre Alexandre von Humboldt qui n'hésita pas à lui dire que son destin était ailleurs : à Paris où il arriva à vingt-deux ans. Les portes des grandes institutions s'ouvrirent une à une devant lui. Il fut successivement et parfois en même temps professeur de chimie à l'Athénée, à Polytechnique, à l'école centrale (qu'il fonda avec quelques amis), à la faculté des sciences, à la Sorbonne (où Louis Pasteur suivit son enseignement), au Collège de France, à la faculté de médecine.
Comme il fut le professeur de toutes les chaires, il fut membre de toutes les académies : Académie des sciences (Académicien et Secrétaire perpétuel, président de toutes les Commissions scientifiques nationales et internationales : poids et mesures, unités électriques, passage de Vénus, etc.), Académie française, Académie de médecine. Scientifique de premier plan, il devint l'un des hommes politiques les plus influents du Second Empire.