Je passe vous prendre dans une heure. Chroniques poétiques
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages112
- FormatPDF
- ISBN978-2-14-016017-2
- EAN9782140160172
- Date de parution12/10/2020
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille888 Ko
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Les jours gris durent trop longtemps. Les jours gridurent. La lumière elle-même, que pourtant rien n'arrête, n'a pu s'y frayer un chemin. La lumière n'a pu sifreiller. Les jours gris sont comme un vase cassé. Nous sommes tous des vases cassés. Nous sommes tous des jours gris. Recollés, la lumière passe. Il décida de recoller les jours gris. Et les jours ne gridurent plus. La lumière put alors sifreiller.
N'analysez pas vos raisons de pleurer. Vivez. N'étudiez pas vos larmes. Vivez-les. Les mains qui fredonnent le pain qu'elles inaugurent.
N'analysez pas vos raisons de pleurer. Vivez. N'étudiez pas vos larmes. Vivez-les. Les mains qui fredonnent le pain qu'elles inaugurent.
Les jours gris durent trop longtemps. Les jours gridurent. La lumière elle-même, que pourtant rien n'arrête, n'a pu s'y frayer un chemin. La lumière n'a pu sifreiller. Les jours gris sont comme un vase cassé. Nous sommes tous des vases cassés. Nous sommes tous des jours gris. Recollés, la lumière passe. Il décida de recoller les jours gris. Et les jours ne gridurent plus. La lumière put alors sifreiller.
N'analysez pas vos raisons de pleurer. Vivez. N'étudiez pas vos larmes. Vivez-les. Les mains qui fredonnent le pain qu'elles inaugurent.
N'analysez pas vos raisons de pleurer. Vivez. N'étudiez pas vos larmes. Vivez-les. Les mains qui fredonnent le pain qu'elles inaugurent.