Instantanés. Suivi de Lettres à Maurice Rieuneau (1954-1960)
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages128
- FormatPDF
- ISBN978-2-07-278690-7
- EAN9782072786907
- Date de parution24/05/2018
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe DRM
- Taille379 Ko
- Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
- ÉditeurEditions Gallimard
- PréfacierEmmanuel Moses
Résumé
"Berlin 1936 : du balcon de mes grands-parents, angle Kurfürstendamm et Wilmersdorferstrasse, j'assiste à la parade d'ouverture des jeux Olympiques. Debout dans une voiture découverte, un personnage en uniforme brun salue, le bras tendu, la foule enthousiaste qui l'acclame. Je demande à ma mère : "Qui est cet homme" ? Elle me tire par le bras vers le fond de l'appartement et me dit seulement : "Viens, ce n'est pas pour toi.""
"Berlin 1936 : du balcon de mes grands-parents, angle Kurfürstendamm et Wilmersdorferstrasse, j'assiste à la parade d'ouverture des jeux Olympiques. Debout dans une voiture découverte, un personnage en uniforme brun salue, le bras tendu, la foule enthousiaste qui l'acclame. Je demande à ma mère : "Qui est cet homme" ? Elle me tire par le bras vers le fond de l'appartement et me dit seulement : "Viens, ce n'est pas pour toi.""