Il était une joie, Andersen
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- Nombre de pages160
- FormatePub
- ISBN2-402-03665-6
- EAN9782402036658
- Date de parution01/01/1982
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille481 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Rams...
Résumé
Où l'on voit un vilain petit canard qui rêvait de chanter l'opéra, devenir malgré lui un écrivain célèbre, depuis le cap Farewell jusqu'en Terre Adélie. Où l'on révèle que pour être né dans un cercueil, Andersen n'en finit pas moins sa drôle de vie en allant boire du chocolat chaud chez la Reine. Où l'on découvre que les héros d'Andersen osent par amour, défier la Mort en personne, mais que le conteur s'évanouit comiquement en demandant la main d'une jeune fille.
Où l'on apprend pourquoi ce bonhomme étrange, à qui Dickens et Hugo disaient « mon ami, » s'entend familièrement appeler « mon frère Hans » par l'auteur de ce livre. Où la preuve est faite que cet Andersen-là est bien la clef secrète qui ouvre le petit monde de cet autre (ra)conteur d'histoires qu'est Didier Decoin !
Où l'on apprend pourquoi ce bonhomme étrange, à qui Dickens et Hugo disaient « mon ami, » s'entend familièrement appeler « mon frère Hans » par l'auteur de ce livre. Où la preuve est faite que cet Andersen-là est bien la clef secrète qui ouvre le petit monde de cet autre (ra)conteur d'histoires qu'est Didier Decoin !
Où l'on voit un vilain petit canard qui rêvait de chanter l'opéra, devenir malgré lui un écrivain célèbre, depuis le cap Farewell jusqu'en Terre Adélie. Où l'on révèle que pour être né dans un cercueil, Andersen n'en finit pas moins sa drôle de vie en allant boire du chocolat chaud chez la Reine. Où l'on découvre que les héros d'Andersen osent par amour, défier la Mort en personne, mais que le conteur s'évanouit comiquement en demandant la main d'une jeune fille.
Où l'on apprend pourquoi ce bonhomme étrange, à qui Dickens et Hugo disaient « mon ami, » s'entend familièrement appeler « mon frère Hans » par l'auteur de ce livre. Où la preuve est faite que cet Andersen-là est bien la clef secrète qui ouvre le petit monde de cet autre (ra)conteur d'histoires qu'est Didier Decoin !
Où l'on apprend pourquoi ce bonhomme étrange, à qui Dickens et Hugo disaient « mon ami, » s'entend familièrement appeler « mon frère Hans » par l'auteur de ce livre. Où la preuve est faite que cet Andersen-là est bien la clef secrète qui ouvre le petit monde de cet autre (ra)conteur d'histoires qu'est Didier Decoin !

















