Héraclite et le bouddha. Deux pensées du devenir universel
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages234
- FormatPDF
- ISBN2-296-33415-6
- EAN9782296334151
- Date de parution01/09/2003
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille8 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
On redécouvre que les pensées de l'Inde partagent avec les philosophies grecques de l'Antiquité une même recherche d'un état de sagesse libre et sereine. Héraclite et le Bouddha, qui vécurent tous deux au sixième siècle avant J.C., sont deux figures qui illustrent parfaitement cette convergence, jusque dans l'affirmation fondamentale sur laquelle ils édifient leur sagesse : le monde n'est que perpétuel changement, il n'existe nulle identité stable capable d'échapper au devenir universel.
Cet essai, en s'appuyant sur une étude précise et détaillée des textes originaux qui sont à la source de notre connaissance tant de la pensée d'Héraclite que de celle du Bouddha s'efforce de confronter, dans leurs ressemblances comme dans leurs différences, ces deux analyses décapantes du devenir universel et de son sens pour l'homme. Il invite à dépasser le stéréotype, d'inspiration plus ou moins nietzschéenne, selon lequel Héraclite serait celui qui, en disant " oui " sans réserve à la vie, au changement, et à la douleur même, se positionnerait à l'opposé d'un Bouddha pour qui le caractère changeant et douloureux de toute expérience constituerait au contraire une objection contre la vie.
Cet essai, en s'appuyant sur une étude précise et détaillée des textes originaux qui sont à la source de notre connaissance tant de la pensée d'Héraclite que de celle du Bouddha s'efforce de confronter, dans leurs ressemblances comme dans leurs différences, ces deux analyses décapantes du devenir universel et de son sens pour l'homme. Il invite à dépasser le stéréotype, d'inspiration plus ou moins nietzschéenne, selon lequel Héraclite serait celui qui, en disant " oui " sans réserve à la vie, au changement, et à la douleur même, se positionnerait à l'opposé d'un Bouddha pour qui le caractère changeant et douloureux de toute expérience constituerait au contraire une objection contre la vie.
On redécouvre que les pensées de l'Inde partagent avec les philosophies grecques de l'Antiquité une même recherche d'un état de sagesse libre et sereine. Héraclite et le Bouddha, qui vécurent tous deux au sixième siècle avant J.C., sont deux figures qui illustrent parfaitement cette convergence, jusque dans l'affirmation fondamentale sur laquelle ils édifient leur sagesse : le monde n'est que perpétuel changement, il n'existe nulle identité stable capable d'échapper au devenir universel.
Cet essai, en s'appuyant sur une étude précise et détaillée des textes originaux qui sont à la source de notre connaissance tant de la pensée d'Héraclite que de celle du Bouddha s'efforce de confronter, dans leurs ressemblances comme dans leurs différences, ces deux analyses décapantes du devenir universel et de son sens pour l'homme. Il invite à dépasser le stéréotype, d'inspiration plus ou moins nietzschéenne, selon lequel Héraclite serait celui qui, en disant " oui " sans réserve à la vie, au changement, et à la douleur même, se positionnerait à l'opposé d'un Bouddha pour qui le caractère changeant et douloureux de toute expérience constituerait au contraire une objection contre la vie.
Cet essai, en s'appuyant sur une étude précise et détaillée des textes originaux qui sont à la source de notre connaissance tant de la pensée d'Héraclite que de celle du Bouddha s'efforce de confronter, dans leurs ressemblances comme dans leurs différences, ces deux analyses décapantes du devenir universel et de son sens pour l'homme. Il invite à dépasser le stéréotype, d'inspiration plus ou moins nietzschéenne, selon lequel Héraclite serait celui qui, en disant " oui " sans réserve à la vie, au changement, et à la douleur même, se positionnerait à l'opposé d'un Bouddha pour qui le caractère changeant et douloureux de toute expérience constituerait au contraire une objection contre la vie.