HANNAH ARENDT LES SANS-ETATS ET LE DROIT D'AVOIR DES DROITS.. Tome 1
Par : ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
, qui est-ce ?Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages272
- FormatPDF
- ISBN2-296-36546-9
- EAN9782296365469
- Date de parution01/05/1998
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille11 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Dans ce volume, en lien étroit avec le volume 2 (la " banalité du mal " comme un mal politique) est dessinée la figure des sans-Etat et le " droit d'avoir des droits " dans l'œuvre de Hannah Arendt et aux frontières de la démocratie, de la citoyenneté aujourd'hui (immigration, droit d'asile, tziganes, femmes, chômeurs, pauvres, sans-papiers, mouvement indien, etc.). Serions-nous tous en train de devenir des sans-Etat, se demande un des auteurs en conclusion du volume ?
Qu'est-ce que le " droit d'avoir des droits ", être sans-Etat pour Hannah Arendt ? Qu'est-ce que le " droit d'avoir des droits " aujourd'hui quand on est sans-Etat, c'est-à-dire quand on est sans place, sans statut, hors du " droit d'avoir des droits ", du droit à la politique ? Qu'est-ce que résister et agir ? Comment une figure emblématique de la situation politique tragique de non-droit absolu du XXème siècle réussit-elle ou non à devenir figure-sujet politique pour Hannah Arendt ? A partir de l'œuvre de Hannah Arendt , en situant ses apports et ses limites, qu'est-ce que cela présuppose comme tâche critique de la philosophie, de la politique et donc de la citoyenneté ? Nous verrons comment Hannah Arendt replace au centre du débat philosophique et politique contemporain la matrice de la politique et de la citoyenneté : la résidence et l'appartenance politique.
Dans ce volume, en lien étroit avec le volume 2 (la " banalité du mal " comme un mal politique) est dessinée la figure des sans-Etat et le " droit d'avoir des droits " dans l'œuvre de Hannah Arendt et aux frontières de la démocratie, de la citoyenneté aujourd'hui (immigration, droit d'asile, tziganes, femmes, chômeurs, pauvres, sans-papiers, mouvement indien, etc.). Serions-nous tous en train de devenir des sans-Etat, se demande un des auteurs en conclusion du volume ?
Qu'est-ce que le " droit d'avoir des droits ", être sans-Etat pour Hannah Arendt ? Qu'est-ce que le " droit d'avoir des droits " aujourd'hui quand on est sans-Etat, c'est-à-dire quand on est sans place, sans statut, hors du " droit d'avoir des droits ", du droit à la politique ? Qu'est-ce que résister et agir ? Comment une figure emblématique de la situation politique tragique de non-droit absolu du XXème siècle réussit-elle ou non à devenir figure-sujet politique pour Hannah Arendt ? A partir de l'œuvre de Hannah Arendt , en situant ses apports et ses limites, qu'est-ce que cela présuppose comme tâche critique de la philosophie, de la politique et donc de la citoyenneté ? Nous verrons comment Hannah Arendt replace au centre du débat philosophique et politique contemporain la matrice de la politique et de la citoyenneté : la résidence et l'appartenance politique.











