Fantassins sous la mitraille. Avec le général Jenoudet 1914-1940
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages376
- FormatPDF
- ISBN2-296-37955-9
- EAN9782296379558
- Date de parution01/12/2004
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille197 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Dans cet ouvrage est relatée la carrière opérationnelle du général Jenoudet pendant la Grande Guerre de 1914 à 1918, au Maroc en 1923, enfin en mai 1940. L'auteur fait revivre les combats des unités d'infanterie où il servait dans ses grades successifs, du lieutenant chef de section en 1914 au général commandant l'infanterie d'une division en 1940. Toutes ces unités faisaient partie de l'élite de l'armée française.
En 1914-1918 le 152 fut le premier régiment métropolitain à recevoir la fourragère rouge aux couleurs de la Légion d'Honneur, au Maroc le 2e régiment de la Légion Etrangère, en 1940, le groupement des trois régiments du Nord : 1er, 43 et 110. Le nom de leurs combats, l'Hartmannswillerkopf (1915), la Somme (1916), le Chemin des Dames (1917), la Marne (1918), Immouzer (1923), Gembloux, Lille (1940) évoquent aujourd'hui encore un passé de bravoure, de souffrance et d'honneur.
Léon Jenoudet qui participa à toutes ces batailles fut aussi un soldat exceptionnel : Grand Officier de la Légion d'Honneur, blessé à six reprises, cité huit fois à l'ordre de l'armée, titulaire à tire personnel de la fourragère rouge, il termina prématurément mais glorieusement sa carrière le 1er juin 1940 à Lille, lorsque les Allemands accordèrent à son groupement les honneurs de la guerre. Au moment où une nouvelle armée professionnelle s'organise, ce livre donne des témoignages répétés de l'ardeur, du dévouement et de l'extrême esprit de sacrifice qui animaient au siècle dernier l'armée de la Nation.
Dans le succès ou dans le malheur, ces " fantassins sous la mitraille " se sont toujours battus jusqu'au tout, au prix de pertes cruelles, pour la défense de la Patrie.
En 1914-1918 le 152 fut le premier régiment métropolitain à recevoir la fourragère rouge aux couleurs de la Légion d'Honneur, au Maroc le 2e régiment de la Légion Etrangère, en 1940, le groupement des trois régiments du Nord : 1er, 43 et 110. Le nom de leurs combats, l'Hartmannswillerkopf (1915), la Somme (1916), le Chemin des Dames (1917), la Marne (1918), Immouzer (1923), Gembloux, Lille (1940) évoquent aujourd'hui encore un passé de bravoure, de souffrance et d'honneur.
Léon Jenoudet qui participa à toutes ces batailles fut aussi un soldat exceptionnel : Grand Officier de la Légion d'Honneur, blessé à six reprises, cité huit fois à l'ordre de l'armée, titulaire à tire personnel de la fourragère rouge, il termina prématurément mais glorieusement sa carrière le 1er juin 1940 à Lille, lorsque les Allemands accordèrent à son groupement les honneurs de la guerre. Au moment où une nouvelle armée professionnelle s'organise, ce livre donne des témoignages répétés de l'ardeur, du dévouement et de l'extrême esprit de sacrifice qui animaient au siècle dernier l'armée de la Nation.
Dans le succès ou dans le malheur, ces " fantassins sous la mitraille " se sont toujours battus jusqu'au tout, au prix de pertes cruelles, pour la défense de la Patrie.
Dans cet ouvrage est relatée la carrière opérationnelle du général Jenoudet pendant la Grande Guerre de 1914 à 1918, au Maroc en 1923, enfin en mai 1940. L'auteur fait revivre les combats des unités d'infanterie où il servait dans ses grades successifs, du lieutenant chef de section en 1914 au général commandant l'infanterie d'une division en 1940. Toutes ces unités faisaient partie de l'élite de l'armée française.
En 1914-1918 le 152 fut le premier régiment métropolitain à recevoir la fourragère rouge aux couleurs de la Légion d'Honneur, au Maroc le 2e régiment de la Légion Etrangère, en 1940, le groupement des trois régiments du Nord : 1er, 43 et 110. Le nom de leurs combats, l'Hartmannswillerkopf (1915), la Somme (1916), le Chemin des Dames (1917), la Marne (1918), Immouzer (1923), Gembloux, Lille (1940) évoquent aujourd'hui encore un passé de bravoure, de souffrance et d'honneur.
Léon Jenoudet qui participa à toutes ces batailles fut aussi un soldat exceptionnel : Grand Officier de la Légion d'Honneur, blessé à six reprises, cité huit fois à l'ordre de l'armée, titulaire à tire personnel de la fourragère rouge, il termina prématurément mais glorieusement sa carrière le 1er juin 1940 à Lille, lorsque les Allemands accordèrent à son groupement les honneurs de la guerre. Au moment où une nouvelle armée professionnelle s'organise, ce livre donne des témoignages répétés de l'ardeur, du dévouement et de l'extrême esprit de sacrifice qui animaient au siècle dernier l'armée de la Nation.
Dans le succès ou dans le malheur, ces " fantassins sous la mitraille " se sont toujours battus jusqu'au tout, au prix de pertes cruelles, pour la défense de la Patrie.
En 1914-1918 le 152 fut le premier régiment métropolitain à recevoir la fourragère rouge aux couleurs de la Légion d'Honneur, au Maroc le 2e régiment de la Légion Etrangère, en 1940, le groupement des trois régiments du Nord : 1er, 43 et 110. Le nom de leurs combats, l'Hartmannswillerkopf (1915), la Somme (1916), le Chemin des Dames (1917), la Marne (1918), Immouzer (1923), Gembloux, Lille (1940) évoquent aujourd'hui encore un passé de bravoure, de souffrance et d'honneur.
Léon Jenoudet qui participa à toutes ces batailles fut aussi un soldat exceptionnel : Grand Officier de la Légion d'Honneur, blessé à six reprises, cité huit fois à l'ordre de l'armée, titulaire à tire personnel de la fourragère rouge, il termina prématurément mais glorieusement sa carrière le 1er juin 1940 à Lille, lorsque les Allemands accordèrent à son groupement les honneurs de la guerre. Au moment où une nouvelle armée professionnelle s'organise, ce livre donne des témoignages répétés de l'ardeur, du dévouement et de l'extrême esprit de sacrifice qui animaient au siècle dernier l'armée de la Nation.
Dans le succès ou dans le malheur, ces " fantassins sous la mitraille " se sont toujours battus jusqu'au tout, au prix de pertes cruelles, pour la défense de la Patrie.