Erik Brynjolfsson. Ou la délicate course contre la « machine »

Par : Marc Bidan
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  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-37687-250-4
  • EAN9782376872504
  • Date de parution15/10/2019
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
  • ÉditeurÉditions EMS

Résumé

Comme beaucoup d'intellectuels curieux et ouverts ayant accompagné l'explosion de l'informatique et l'émergence de l'Internet, cet auteur s'est intéressé à un grand nombre de thématiques parmi lesquelles nous pouvons souligner ses travaux sur les actifs incorporels, sur la productivité des travailleurs de l'informatique, puis de l'information et sur la théorie Long Tail appliquée aux biens numériques.
Il est particulièrement cité pour ses travaux sur le paradoxe de la « productivité informatique », sur the long tail et, plus récemment sur la cyber balkanisation. Nous soulignons dès cette introduction qu'Erick Brynjolfsson et Andrew McAfee, dans leurs deux ouvrages, largement diffusés et commentés, intitulés The Second Machine Age (2014) et Race Against the Machine (2011), nous appellent à consentir toujours plus d'efforts.
Il s'agit notamment d'investir massivement dans la formation et dans l'apprentissage « tout au long de la vie » pour pouvoir actualiser à la fois nos compétences, nos organisations et nos institutions face à une rapide progression des technologies que nous devons affronter au travers de processus d'affaires complémentaires qui restent largement à inventer et à un investissement en capital humain que nous devons appréhender au plus vite.
Ces deux auteurs viennent de récidiver en juin 2017 avec un ouvrage qui aborde la révolution digitale et la rapide « plateformisation » des activités socioéconomiques (Machine, Platform, Crowd: Harnessing the Digital Revolution) et qui leur permet de souligner l'importance de l'investissement en capital humain pour bien appréhender « la machine » et ses mécanismes intrinsèques au cour de cette mutation disruptive.
Eric Brynjolfson ne donne que peu de définitions de ce qu'il nomme de façon générique « la machine » alors que ce terme figure abondamment dans les titres de ses publications, communications et interventions. Néanmoins leur analyse permet de comprendre que la machine représente à ses yeux tout ce qui n'est pas humain (ordinateur, machine-outil, véhicule, robot, algorithme, plateforme, intelligence artificielle, etc.) et qui progressivement (et plus rapidement que ce qui avait été imaginé) réalise ou apprend à réaliser les tâches ou activités qui étaient précédemment effectuées par l'homme.
Comme beaucoup d'intellectuels curieux et ouverts ayant accompagné l'explosion de l'informatique et l'émergence de l'Internet, cet auteur s'est intéressé à un grand nombre de thématiques parmi lesquelles nous pouvons souligner ses travaux sur les actifs incorporels, sur la productivité des travailleurs de l'informatique, puis de l'information et sur la théorie Long Tail appliquée aux biens numériques.
Il est particulièrement cité pour ses travaux sur le paradoxe de la « productivité informatique », sur the long tail et, plus récemment sur la cyber balkanisation. Nous soulignons dès cette introduction qu'Erick Brynjolfsson et Andrew McAfee, dans leurs deux ouvrages, largement diffusés et commentés, intitulés The Second Machine Age (2014) et Race Against the Machine (2011), nous appellent à consentir toujours plus d'efforts.
Il s'agit notamment d'investir massivement dans la formation et dans l'apprentissage « tout au long de la vie » pour pouvoir actualiser à la fois nos compétences, nos organisations et nos institutions face à une rapide progression des technologies que nous devons affronter au travers de processus d'affaires complémentaires qui restent largement à inventer et à un investissement en capital humain que nous devons appréhender au plus vite.
Ces deux auteurs viennent de récidiver en juin 2017 avec un ouvrage qui aborde la révolution digitale et la rapide « plateformisation » des activités socioéconomiques (Machine, Platform, Crowd: Harnessing the Digital Revolution) et qui leur permet de souligner l'importance de l'investissement en capital humain pour bien appréhender « la machine » et ses mécanismes intrinsèques au cour de cette mutation disruptive.
Eric Brynjolfson ne donne que peu de définitions de ce qu'il nomme de façon générique « la machine » alors que ce terme figure abondamment dans les titres de ses publications, communications et interventions. Néanmoins leur analyse permet de comprendre que la machine représente à ses yeux tout ce qui n'est pas humain (ordinateur, machine-outil, véhicule, robot, algorithme, plateforme, intelligence artificielle, etc.) et qui progressivement (et plus rapidement que ce qui avait été imaginé) réalise ou apprend à réaliser les tâches ou activités qui étaient précédemment effectuées par l'homme.