Edward Hopper, le dissident

Par : Claude-Henri Rocquet

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  • Nombre de pages284
  • FormatePub
  • ISBN978-2-35905-078-3
  • EAN9782359050783
  • Date de parution03/10/2012
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille6 Mo
  • ÉditeurEcriture

Résumé

Peu de peintres ont incarné l'américanité de façon aussi manifeste qu'Edward Hopper (1882-1967), dont les toiles les plus fameuses (Un bar de nuit, Chambres avec vue sur la mer, Gas, Hotel Room, Maison près du chemin de fer), à mi-chemin de la photographie et du naturalisme, sont devenues des icônes de l'Amérique des classes moyennes, celle des motels, du cinéma, de la vie de bureau et du métro aérien - sans rien perdre de leur étrange mélancolie.
L'auteur raconte l'enfance modeste de Hopper dans l'État de New York, ses années de formation à Paris (1906-1910), sa découverte des maîtres européens, sa rencontre avec Atget, le choc de la peinture de Manet et Caillebotte, son indifférence pour le cubisme, son travail d'illustrateur publicitaire et de dessinateur de presse, qui marquera son style. Avec la première rétrospective de son oeuvre, en 1933 au MoMA, arrive enfin la reconnaissance...
Il souligne les sous-entendus de sa peinture, nourrie de psychanalyse, sa dimension littéraire et cinématographique (Hopper a inspiré romanciers et réalisateurs, tel Hitchcock), mais aussi philosophique, portant sur le monde un regard désenchanté. Par son réalisme, son classicisme, mais aussi sa conception personnelle de l'abstraction, la peinture de Hopper, précurseur du Pop' art et de l'hyperréalisme, nous invite à une autre approche de la modernité picturale.
Peu de peintres ont incarné l'américanité de façon aussi manifeste qu'Edward Hopper (1882-1967), dont les toiles les plus fameuses (Un bar de nuit, Chambres avec vue sur la mer, Gas, Hotel Room, Maison près du chemin de fer), à mi-chemin de la photographie et du naturalisme, sont devenues des icônes de l'Amérique des classes moyennes, celle des motels, du cinéma, de la vie de bureau et du métro aérien - sans rien perdre de leur étrange mélancolie.
L'auteur raconte l'enfance modeste de Hopper dans l'État de New York, ses années de formation à Paris (1906-1910), sa découverte des maîtres européens, sa rencontre avec Atget, le choc de la peinture de Manet et Caillebotte, son indifférence pour le cubisme, son travail d'illustrateur publicitaire et de dessinateur de presse, qui marquera son style. Avec la première rétrospective de son oeuvre, en 1933 au MoMA, arrive enfin la reconnaissance...
Il souligne les sous-entendus de sa peinture, nourrie de psychanalyse, sa dimension littéraire et cinématographique (Hopper a inspiré romanciers et réalisateurs, tel Hitchcock), mais aussi philosophique, portant sur le monde un regard désenchanté. Par son réalisme, son classicisme, mais aussi sa conception personnelle de l'abstraction, la peinture de Hopper, précurseur du Pop' art et de l'hyperréalisme, nous invite à une autre approche de la modernité picturale.
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