Eaux et réseaux. Les défis de la mondialisation
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages346
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-915310-58-0
- EAN9782915310580
- Date de parution30/01/2014
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurÉditions de l’IHEAL
- CompilateurGraciela Schneier-Madanes
- CompilateurBernard de Gouvello
Résumé
Ce livre s'inscrit dans l'Année internationale de l'eau douce (2003) à un moment où cette ressource est l'objet de débats animés. Car c'est devenu une évidence au cours des dernières années : l'eau est perçue de moins en moins comme « naturelle » et de plus en plus comme indissociable des réseaux techniques et politiques. Ces réseaux qui la font circuler dans l'espace et qui assurent sa distribution lui confèrent un statut de question sociale majeure.
Ces réseaux « parlent ». Il faut qu'on les écoute. En définitive, que disent-ils ? Ils évoquent tour à tour la trilogie usagers-clients-citoyens, la participation et les conflits, le marché de l'eau, les multinationales du secteur, les privatisations et la régulation... De cette mosaïque conceptuelle émerge avec force l'idée que nous sommes en présence d'un aspect essentiel de la mondialisation. Eaux et réseaux a pour ambition d'explorer et d'ordonner ce foisonnement.
Il regroupe, en une vingtaine d'articles de chercheurs et de praticiens venus d'horizons les plus divers, des expériences de terrain assorties des grilles d'analyse qui permettent de les évaluer et de les comparer. L'ouvrage offre ainsi un espace de recherche pluridisciplinaire constitué de multiples études régionales et urbaines où la France et le « modèle français » occupent naturellement une place à part, tandis que les nations latino-américaines - Argentine en tête - sont très largement représentées.
Dans ce panorama international, les réseaux sont le meilleur fil conducteur pour explorer le nouveau « continent de l'eau ».
Ces réseaux « parlent ». Il faut qu'on les écoute. En définitive, que disent-ils ? Ils évoquent tour à tour la trilogie usagers-clients-citoyens, la participation et les conflits, le marché de l'eau, les multinationales du secteur, les privatisations et la régulation... De cette mosaïque conceptuelle émerge avec force l'idée que nous sommes en présence d'un aspect essentiel de la mondialisation. Eaux et réseaux a pour ambition d'explorer et d'ordonner ce foisonnement.
Il regroupe, en une vingtaine d'articles de chercheurs et de praticiens venus d'horizons les plus divers, des expériences de terrain assorties des grilles d'analyse qui permettent de les évaluer et de les comparer. L'ouvrage offre ainsi un espace de recherche pluridisciplinaire constitué de multiples études régionales et urbaines où la France et le « modèle français » occupent naturellement une place à part, tandis que les nations latino-américaines - Argentine en tête - sont très largement représentées.
Dans ce panorama international, les réseaux sont le meilleur fil conducteur pour explorer le nouveau « continent de l'eau ».
Ce livre s'inscrit dans l'Année internationale de l'eau douce (2003) à un moment où cette ressource est l'objet de débats animés. Car c'est devenu une évidence au cours des dernières années : l'eau est perçue de moins en moins comme « naturelle » et de plus en plus comme indissociable des réseaux techniques et politiques. Ces réseaux qui la font circuler dans l'espace et qui assurent sa distribution lui confèrent un statut de question sociale majeure.
Ces réseaux « parlent ». Il faut qu'on les écoute. En définitive, que disent-ils ? Ils évoquent tour à tour la trilogie usagers-clients-citoyens, la participation et les conflits, le marché de l'eau, les multinationales du secteur, les privatisations et la régulation... De cette mosaïque conceptuelle émerge avec force l'idée que nous sommes en présence d'un aspect essentiel de la mondialisation. Eaux et réseaux a pour ambition d'explorer et d'ordonner ce foisonnement.
Il regroupe, en une vingtaine d'articles de chercheurs et de praticiens venus d'horizons les plus divers, des expériences de terrain assorties des grilles d'analyse qui permettent de les évaluer et de les comparer. L'ouvrage offre ainsi un espace de recherche pluridisciplinaire constitué de multiples études régionales et urbaines où la France et le « modèle français » occupent naturellement une place à part, tandis que les nations latino-américaines - Argentine en tête - sont très largement représentées.
Dans ce panorama international, les réseaux sont le meilleur fil conducteur pour explorer le nouveau « continent de l'eau ».
Ces réseaux « parlent ». Il faut qu'on les écoute. En définitive, que disent-ils ? Ils évoquent tour à tour la trilogie usagers-clients-citoyens, la participation et les conflits, le marché de l'eau, les multinationales du secteur, les privatisations et la régulation... De cette mosaïque conceptuelle émerge avec force l'idée que nous sommes en présence d'un aspect essentiel de la mondialisation. Eaux et réseaux a pour ambition d'explorer et d'ordonner ce foisonnement.
Il regroupe, en une vingtaine d'articles de chercheurs et de praticiens venus d'horizons les plus divers, des expériences de terrain assorties des grilles d'analyse qui permettent de les évaluer et de les comparer. L'ouvrage offre ainsi un espace de recherche pluridisciplinaire constitué de multiples études régionales et urbaines où la France et le « modèle français » occupent naturellement une place à part, tandis que les nations latino-américaines - Argentine en tête - sont très largement représentées.
Dans ce panorama international, les réseaux sont le meilleur fil conducteur pour explorer le nouveau « continent de l'eau ».