Du progrès social à l'eugénisme moral. Une dérive éthique
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- Nombre de pages360
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-45127-8
- EAN9782296451278
- Date de parution01/01/2011
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
L'auteur analyse comment, sous couvert de raison d'État, les droits constitutionnels ne sont plus garantis, dans les problématiques familiales de divorce et de violence. Le livre traite ainsi de la judiciarisation des conflits de couple et de la déconsidération des faits par les experts au profit de leurs propres idéologies. Les modifications historiques et juridiques du statut paritaire de la femme dans le couple, la dénégation de la parole dans les violences conjugales, l'annulation de la parentalité conduisent à de véritables négations et agonies psychiques.
L'histoire de ces processus remonte au droit romano-canon, à la révolution nationale eugéniste et morale de Laval associant populations dangereuses ou à risques, enfants anormaux et ceux issus du divorce. En outre, en France, l'amendement DORLAC en 1987 assimilant vrai et vraisemblable ou allégué caractérise un vide juridique grave et laisse le champ libre à de véritables " barbaries " ou suspicions.
Ainsi croyances et idéologies se mêlent et se substituent aux faits. S'impose alors une solution " pragmatique " extrême dans un procès social et familial où les systèmes de protection de l'enfance peuvent se révéler être des procédures perverses. Les conséquences de ces dérives bouleversent le champ éthique par la dérive du procès social vers un eugénisme moral.
L'histoire de ces processus remonte au droit romano-canon, à la révolution nationale eugéniste et morale de Laval associant populations dangereuses ou à risques, enfants anormaux et ceux issus du divorce. En outre, en France, l'amendement DORLAC en 1987 assimilant vrai et vraisemblable ou allégué caractérise un vide juridique grave et laisse le champ libre à de véritables " barbaries " ou suspicions.
Ainsi croyances et idéologies se mêlent et se substituent aux faits. S'impose alors une solution " pragmatique " extrême dans un procès social et familial où les systèmes de protection de l'enfance peuvent se révéler être des procédures perverses. Les conséquences de ces dérives bouleversent le champ éthique par la dérive du procès social vers un eugénisme moral.
L'auteur analyse comment, sous couvert de raison d'État, les droits constitutionnels ne sont plus garantis, dans les problématiques familiales de divorce et de violence. Le livre traite ainsi de la judiciarisation des conflits de couple et de la déconsidération des faits par les experts au profit de leurs propres idéologies. Les modifications historiques et juridiques du statut paritaire de la femme dans le couple, la dénégation de la parole dans les violences conjugales, l'annulation de la parentalité conduisent à de véritables négations et agonies psychiques.
L'histoire de ces processus remonte au droit romano-canon, à la révolution nationale eugéniste et morale de Laval associant populations dangereuses ou à risques, enfants anormaux et ceux issus du divorce. En outre, en France, l'amendement DORLAC en 1987 assimilant vrai et vraisemblable ou allégué caractérise un vide juridique grave et laisse le champ libre à de véritables " barbaries " ou suspicions.
Ainsi croyances et idéologies se mêlent et se substituent aux faits. S'impose alors une solution " pragmatique " extrême dans un procès social et familial où les systèmes de protection de l'enfance peuvent se révéler être des procédures perverses. Les conséquences de ces dérives bouleversent le champ éthique par la dérive du procès social vers un eugénisme moral.
L'histoire de ces processus remonte au droit romano-canon, à la révolution nationale eugéniste et morale de Laval associant populations dangereuses ou à risques, enfants anormaux et ceux issus du divorce. En outre, en France, l'amendement DORLAC en 1987 assimilant vrai et vraisemblable ou allégué caractérise un vide juridique grave et laisse le champ libre à de véritables " barbaries " ou suspicions.
Ainsi croyances et idéologies se mêlent et se substituent aux faits. S'impose alors une solution " pragmatique " extrême dans un procès social et familial où les systèmes de protection de l'enfance peuvent se révéler être des procédures perverses. Les conséquences de ces dérives bouleversent le champ éthique par la dérive du procès social vers un eugénisme moral.
