Des diables et des saints

Par : Jean-Baptiste Andrea
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Prix RTL-Lire
Coup de coeur
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  • Nombre de pages219
  • FormatePub
  • ISBN978-2-37880-204-2
  • EAN9782378802042
  • Date de parution14/01/2021
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • ÉditeurIconoclaste

Résumé

Qui prête attention à Joe ? Ses doigts agiles courent sur le clavier des pianos publics dans les gares. Il joue divinement Beethoven. Les voyageurs passent. Lui reste. Il attend quelqu'un, qui descendra d'un train, un jour peut-être. C'est une longue histoire. Elle a commencé il y a cinquante ans dans un orphelinat lugubre. On y croise des diables et des saints. Et une rose.
Qui prête attention à Joe ? Ses doigts agiles courent sur le clavier des pianos publics dans les gares. Il joue divinement Beethoven. Les voyageurs passent. Lui reste. Il attend quelqu'un, qui descendra d'un train, un jour peut-être. C'est une longue histoire. Elle a commencé il y a cinquante ans dans un orphelinat lugubre. On y croise des diables et des saints. Et une rose.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

6 Coups de cœur
de nos libraires
AxelleFuret du Nord Villeneuve d'Ascq
5/5
un bonbon aussi acide qu'une tête brûlée
C'est dans une langue pleine de poésie que l'auteur nous raconte l'histoire de Joseph. Comment en est-il arrivé à jouer du piano seulement sur les pianos publics ? C'est une histoire touchante tout autant qu'elle est cruelle, et c'est un vrai bijou. Coup de coeur assuré.
C'est dans une langue pleine de poésie que l'auteur nous raconte l'histoire de Joseph. Comment en est-il arrivé à jouer du piano seulement sur les pianos publics ? C'est une histoire touchante tout autant qu'elle est cruelle, et c'est un vrai bijou. Coup de coeur assuré.
Line GFuret du Nord Douai
4/5
Une amitié indéfectible
Joseph passe ses journées à jouer du piano dans les gares et les aéroports. Pour qui joue-t-il inlassablement les mêmes partitions de Beethoven ?. La seule façon de l'apprendre est d'aborder les cauchemars de son enfance. Orphelin dès l'adolescence, Joseph est envoyé dans un orphelinat lugubre dirigé par un abbé despotique et son homme à tout faire. Malgré les humiliations et les privations, le jeune garçon va se découvrir une famille de cœur composée de cinq camarades de chambrée. L'espoir, enfin ! Un roman lumineux qui alterne avec brio les moments d'émotion.
Joseph passe ses journées à jouer du piano dans les gares et les aéroports. Pour qui joue-t-il inlassablement les mêmes partitions de Beethoven ?. La seule façon de l'apprendre est d'aborder les cauchemars de son enfance. Orphelin dès l'adolescence, Joseph est envoyé dans un orphelinat lugubre dirigé par un abbé despotique et son homme à tout faire. Malgré les humiliations et les privations, le jeune garçon va se découvrir une famille de cœur composée de cinq camarades de chambrée. L'espoir, enfin ! Un roman lumineux qui alterne avec brio les moments d'émotion.
jaypittFuret du Nord Lille
5/5
Prix RTL/ Lire 2021
Le Prix RTL/ Lire est un prix populaire, libre et attaché à aucune chapelle littéraire. Des lecteurs donnent leur avis tout simplement. Voilà une preuve supplémentaire de la grande qualité de ce roman et du talent immense de son auteur. Une émotion directe et franche, une histoire marquante et surtout des personnages attachants au pplus haut point!!! Bref un coup dans le cœur pour ce roman inoubliable!!
Le Prix RTL/ Lire est un prix populaire, libre et attaché à aucune chapelle littéraire. Des lecteurs donnent leur avis tout simplement. Voilà une preuve supplémentaire de la grande qualité de ce roman et du talent immense de son auteur. Une émotion directe et franche, une histoire marquante et surtout des personnages attachants au pplus haut point!!! Bref un coup dans le cœur pour ce roman inoubliable!!
  • littérature française
  • iconoclaste
AlexiaFuret du Nord Roubaix
4/5
L'enfance d'un orphelin décrite avec émotion
Après "Ma reine" et "Cent millions d'années et un jour", Jean-Baptiste Andréa nous raconte l'histoire de Joseph, Joe. Joe nous raconte son enfance et nous interpelle via ses souvenirs passés aux confins, orphelinat qui porte bien son nom. Jean-Baptiste Andréa nous fait ressentir ces souvenirs, colère, peur, chagrin, haine, ... mais aussi amitié, humour, reconstruction et musique ! On ne lit pas, on ressent !
Après "Ma reine" et "Cent millions d'années et un jour", Jean-Baptiste Andréa nous raconte l'histoire de Joseph, Joe. Joe nous raconte son enfance et nous interpelle via ses souvenirs passés aux confins, orphelinat qui porte bien son nom. Jean-Baptiste Andréa nous fait ressentir ces souvenirs, colère, peur, chagrin, haine, ... mais aussi amitié, humour, reconstruction et musique ! On ne lit pas, on ressent !
  • Enfance
  • Musique
  • amitié
  • peur
  • souvenirs
  • colère
  • haine
  • chagrin
  • reconstruction
  • orphelinat
  • oprhelin
Emilie L.Furet du Nord Namur
4/5
Un troisième roman réussi !
Ecrit avec justesse et émotion, ce troisième roman nous plonge dans l'univers des Confins, un orphelinat où aucun enfant n'a envie de vivre... Surtout pas Joe, jeune prodige du piano qui vient de perdre sa famille dans un tragique accident... Ce troisième roman nous éblouit encore une fois par cette écriture magnifique qui caractérise les livres de Jean-Baptiste Andrea. Un seul regret : l'histoire reste quelque peu classique par rapport à ses œuvres précédentes, ce qui n'a pourtant rien gâché à mon plaisir !
Ecrit avec justesse et émotion, ce troisième roman nous plonge dans l'univers des Confins, un orphelinat où aucun enfant n'a envie de vivre... Surtout pas Joe, jeune prodige du piano qui vient de perdre sa famille dans un tragique accident... Ce troisième roman nous éblouit encore une fois par cette écriture magnifique qui caractérise les livres de Jean-Baptiste Andrea. Un seul regret : l'histoire reste quelque peu classique par rapport à ses œuvres précédentes, ce qui n'a pourtant rien gâché à mon plaisir !
  • roman
  • Piano
  • orphelinat
3ème roman, et 3ème coup de coeur pour Jean-Baptiste Andrea !
Joe passe ses journées à jouer du piano dans les gares. Comment en est-il arrivé là ? Comme d'habitude, Jean-Baptiste Andrea arrive à nous émouvoir grâce à sa magnifique plume et à ses personnages si attachants. Retrouvez mes coups de cœur sur Instagram : @Electron_Livre
Joe passe ses journées à jouer du piano dans les gares. Comment en est-il arrivé là ? Comme d'habitude, Jean-Baptiste Andrea arrive à nous émouvoir grâce à sa magnifique plume et à ses personnages si attachants. Retrouvez mes coups de cœur sur Instagram : @Electron_Livre

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.6/5
sur 5 notes dont 4 avis lecteurs
Entre poésie et prosaïsme
Avec ce quasi huis-clos, Jean-Baptiste Andrea se rapproche des school stories si communes dans les littératures américaine et britannique, histoire d'amitié à la vie à la mort dans un établissement fermé et, en l'occurrence, peu accueillant. Le narrateur raconte son adolescence, parsemant quelques notes (peut-être trop rares) de poésie dans cet Enfer froid et étouffant, orphelinat des Confins aux confins du monde et de la vie, de la douceur et de l'espoir (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2021/06/30/des-diables-et-des-saints-jean-baptiste-andrea/)
Avec ce quasi huis-clos, Jean-Baptiste Andrea se rapproche des school stories si communes dans les littératures américaine et britannique, histoire d'amitié à la vie à la mort dans un établissement fermé et, en l'occurrence, peu accueillant. Le narrateur raconte son adolescence, parsemant quelques notes (peut-être trop rares) de poésie dans cet Enfer froid et étouffant, orphelinat des Confins aux confins du monde et de la vie, de la douceur et de l'espoir (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2021/06/30/des-diables-et-des-saints-jean-baptiste-andrea/)
Captivant et touchant
Le vieux Joseph gâche ses talents de pianiste concertiste en jouant Beethoven à la perfection dans les gares et les aéroports, où il semble indéfiniment guetter quelqu’un. Cinquante ans plus tôt, un adolescent débarque au pensionnat religieux Les Confins, dans les Pyrénées. Récemment orphelin, il découvre privations et brimades dans cet établissement quasi pénitentiaire, où échouent enfants abandonnés ou différents. Mais il y aperçoit aussi Rose, une jeune fille dont la famille possède une résidence à proximité. Le coeur du roman est très sombre, puisqu’il nous plonge dans la violence et la maltraitance subies par des enfants confiés à un pensionnat religieux. L’aperçu des conditions de vie ineptes, soigneusement camouflées pour ne pas transparaître au-dehors – châtiments corporels, mise à l’isolement, malnutrition, humiliations… –, s’accompagne du portrait au vitriol d’un homme d’église au coeur sec, totalement dépourvu d’empathie, obsédé par une discipline brutale et vengeresse. Sa cruauté, perversement dissimulée sous une façade charitable et paterne destinée aux occasionnels témoins extérieurs, s’exerce sans frein dans l’enceinte fermée qui livre à sa merci des victimes sans recours. Pourtant, jamais le récit ne cède tout à fait à la noirceur. L’amitié et la solidarité entre pensionnaires, puis bientôt l’amour pour une jeune fille elle-même en rébellion contre la condition féminine de son milieu bourgeois, viennent préserver émotion et humanité dans un texte traversé par l’espoir, l’envie de liberté, et la beauté musicale. Nombreux sont les personnages bouleversants. A commencer par le vieux professeur de piano de Joseph autrefois, un génie bougon et exigeant qui n’aura jamais su à quel point il aura servi de tuteur à son élève. Mais aussi, Momo, l’enfant que sa déficience rend doublement orphelin, de sa famille et de lui-même, et pour qui l’enfer du pensionnat vaut encore mieux que ce qui l’attend au-dehors. Et bien sûr, Joseph vieilli, qui se souvient, et dont on devine, au travers des non-dits, le gouffre qu’est demeuré sa vie, lui permettant du même coup, avec une cruauté ironique, d’atteindre à son tour la perfection musicale. L’on retrouve avec plaisir le style de Jean-Baptiste Andrea, son juste choix des mots et des images, avec toutefois le regret que l’écriture paraisse un peu moins travaillée que dans Cent millions d’années et un jour. Même si cette déception est toute relative, je n’ai pas retrouvé aussi nettement et aussi souvent la beauté des phrases qui m’avait alors séduite au-delà du coup de coeur, faisant de ce précédent roman de l’auteur une de mes lectures phares de l’année 2019. Cela n’empêche pas Des diables et des saints de rejoindre mes coups de coeur de 2021, la nuance de jugement s’établissant seulement entre l’excellent et l’exceptionnel.
Le vieux Joseph gâche ses talents de pianiste concertiste en jouant Beethoven à la perfection dans les gares et les aéroports, où il semble indéfiniment guetter quelqu’un. Cinquante ans plus tôt, un adolescent débarque au pensionnat religieux Les Confins, dans les Pyrénées. Récemment orphelin, il découvre privations et brimades dans cet établissement quasi pénitentiaire, où échouent enfants abandonnés ou différents. Mais il y aperçoit aussi Rose, une jeune fille dont la famille possède une résidence à proximité. Le coeur du roman est très sombre, puisqu’il nous plonge dans la violence et la maltraitance subies par des enfants confiés à un pensionnat religieux. L’aperçu des conditions de vie ineptes, soigneusement camouflées pour ne pas transparaître au-dehors – châtiments corporels, mise à l’isolement, malnutrition, humiliations… –, s’accompagne du portrait au vitriol d’un homme d’église au coeur sec, totalement dépourvu d’empathie, obsédé par une discipline brutale et vengeresse. Sa cruauté, perversement dissimulée sous une façade charitable et paterne destinée aux occasionnels témoins extérieurs, s’exerce sans frein dans l’enceinte fermée qui livre à sa merci des victimes sans recours. Pourtant, jamais le récit ne cède tout à fait à la noirceur. L’amitié et la solidarité entre pensionnaires, puis bientôt l’amour pour une jeune fille elle-même en rébellion contre la condition féminine de son milieu bourgeois, viennent préserver émotion et humanité dans un texte traversé par l’espoir, l’envie de liberté, et la beauté musicale. Nombreux sont les personnages bouleversants. A commencer par le vieux professeur de piano de Joseph autrefois, un génie bougon et exigeant qui n’aura jamais su à quel point il aura servi de tuteur à son élève. Mais aussi, Momo, l’enfant que sa déficience rend doublement orphelin, de sa famille et de lui-même, et pour qui l’enfer du pensionnat vaut encore mieux que ce qui l’attend au-dehors. Et bien sûr, Joseph vieilli, qui se souvient, et dont on devine, au travers des non-dits, le gouffre qu’est demeuré sa vie, lui permettant du même coup, avec une cruauté ironique, d’atteindre à son tour la perfection musicale. L’on retrouve avec plaisir le style de Jean-Baptiste Andrea, son juste choix des mots et des images, avec toutefois le regret que l’écriture paraisse un peu moins travaillée que dans Cent millions d’années et un jour. Même si cette déception est toute relative, je n’ai pas retrouvé aussi nettement et aussi souvent la beauté des phrases qui m’avait alors séduite au-delà du coup de coeur, faisant de ce précédent roman de l’auteur une de mes lectures phares de l’année 2019. Cela n’empêche pas Des diables et des saints de rejoindre mes coups de coeur de 2021, la nuance de jugement s’établissant seulement entre l’excellent et l’exceptionnel.
Immense coup de cœur !
Qui ne connaît pas Joe ? Ce vieil homme que l'on croise tantôt dans une gare, tantôt dans un aéroport. Ses doigts agiles courent sur le clavier des pianos publics. Ses scènes sentent le rail et le kérosène. Lui, il attend quelqu'un. Une femme. Qui viendra. Un jour, peut-être. Il (l') attend. Joe nous raconte son histoire. Elle a commencé il y a cinquante ans. Le 2 mai 1969, 18H14. Joe attrape la pire des maladies. Le voilà orphelin. Plus de parents. Plus de petite sœur. Une maladie incurable. Celle qu'on fuit à tout prix. Plus de meilleur ami. Il sera ballotté de foyers en maisons d'accueil, avant d'arriver au bout du monde : Les Confins. Une plongée dans l'enfance sordide de Joe et de ses copains d'infortune. Une écriture merveilleuse, majestueuse. Une plume poétique, musicale. Comment ne pas s'attacher à ces personnages, ces petits personnages, ces enfants, dont on découvre les personnalités et les failles ? Comment ne pas avoir envie de les aider à s'échapper, eux qui n'ont trouvé, comme seule bouffée d'oxygène, que leurs réunions nocturnes ? Comment ne pas avoir envie de les prendre dans nos bras, de les rassurer ? Un roman extraordinaire ! Un roman qui m'a fait mal, qui m'a émue, qui m'a touchée. Un roman d'amour et d'amitié, de tragique et de comique, de violence et de tendresse. Une magnifique histoire de ces gosses liés par l'adversité. À peine refermé, j'ai eu envie m'y replonger ! De retrouver Joe et ses amis de la Vigie (surtout Momo et Souzix). Envie de le voir et de l'entendre jouer du piano. D'assister à sa relation d'amour-haine avec sa Rose. De laisser le froid s'immiscer, mes mains geler, à leurs côtés, sur le toit de l'orphelinat. Envie de les voir grandir, de les voir vieillir. Verdict ? Un immense coup de cœur !
Qui ne connaît pas Joe ? Ce vieil homme que l'on croise tantôt dans une gare, tantôt dans un aéroport. Ses doigts agiles courent sur le clavier des pianos publics. Ses scènes sentent le rail et le kérosène. Lui, il attend quelqu'un. Une femme. Qui viendra. Un jour, peut-être. Il (l') attend. Joe nous raconte son histoire. Elle a commencé il y a cinquante ans. Le 2 mai 1969, 18H14. Joe attrape la pire des maladies. Le voilà orphelin. Plus de parents. Plus de petite sœur. Une maladie incurable. Celle qu'on fuit à tout prix. Plus de meilleur ami. Il sera ballotté de foyers en maisons d'accueil, avant d'arriver au bout du monde : Les Confins. Une plongée dans l'enfance sordide de Joe et de ses copains d'infortune. Une écriture merveilleuse, majestueuse. Une plume poétique, musicale. Comment ne pas s'attacher à ces personnages, ces petits personnages, ces enfants, dont on découvre les personnalités et les failles ? Comment ne pas avoir envie de les aider à s'échapper, eux qui n'ont trouvé, comme seule bouffée d'oxygène, que leurs réunions nocturnes ? Comment ne pas avoir envie de les prendre dans nos bras, de les rassurer ? Un roman extraordinaire ! Un roman qui m'a fait mal, qui m'a émue, qui m'a touchée. Un roman d'amour et d'amitié, de tragique et de comique, de violence et de tendresse. Une magnifique histoire de ces gosses liés par l'adversité. À peine refermé, j'ai eu envie m'y replonger ! De retrouver Joe et ses amis de la Vigie (surtout Momo et Souzix). Envie de le voir et de l'entendre jouer du piano. D'assister à sa relation d'amour-haine avec sa Rose. De laisser le froid s'immiscer, mes mains geler, à leurs côtés, sur le toit de l'orphelinat. Envie de les voir grandir, de les voir vieillir. Verdict ? Un immense coup de cœur !
Coup de coeur !
Un récit captivant — difficile de poser ce roman, qui retrace l'histoire d'un vieil homme jouant dans des lieux publics dans l'espoir d'être réuni avec la personne qu'il attend depuis des décennies, depuis son séjour aux Confins.
Un récit captivant — difficile de poser ce roman, qui retrace l'histoire d'un vieil homme jouant dans des lieux publics dans l'espoir d'être réuni avec la personne qu'il attend depuis des décennies, depuis son séjour aux Confins.
Ma reine
4.6/5
5/5
Jean-Baptiste Andrea
Poche
8,50 €