Dérives et réussite sociale en Afrique. Des stratégies juvéniles à Abidjan
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- Nombre de pages236
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-16792-6
- EAN9782296167926
- Date de parution01/04/2007
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille24 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierGilles Bibeau
Résumé
L'identification de fondements structurels et conjoncturels de la dérive chez les jeunes et leurs stratégies individuelles et collectives conséquentes, sont au centre de cette étude. Il ressort que ces stratégies sont liées à la nouvelle citadinité africaine. L'auteur met en lumière, en quelque sorte, comment les dérives psychosociales révèlent le côté fragilisant du milieu urbain, Les fondements de la dérive émergent aux niveaux individuel, familial, communautaire et politique.
Ils sont peu discriminants contrairement à ceux qui soutiennent la réussite sociale. La dérive offre des mutations aux niveaux social, spatial et psychologique. A partir du seuil critique de pression sociale lié, des jeunes optent tantôt pour des voies actives (petits métiers, corps, langage et musique) tantôt pour des voies passives et d'autodestruction (drogues, vol, violence, prostitution, alcoolisme).
L'auteur fait le constat que tout milieu de vie est autant une source de protection que de risques pour les individus correspondants. Ceux-ci créent ou adhèrent à ce qui donne sens, satisfait leur quotidien et permet de se construire une identité propre. Celle-ci, parfois, s'impose indépendamment de la volonté des individus et des groupes. Les pratiques quotidiennes expriment une quête de référence des expériences psychologiques chez les jeunes.
Ces considérations cadrent leur sous-culture.
Ils sont peu discriminants contrairement à ceux qui soutiennent la réussite sociale. La dérive offre des mutations aux niveaux social, spatial et psychologique. A partir du seuil critique de pression sociale lié, des jeunes optent tantôt pour des voies actives (petits métiers, corps, langage et musique) tantôt pour des voies passives et d'autodestruction (drogues, vol, violence, prostitution, alcoolisme).
L'auteur fait le constat que tout milieu de vie est autant une source de protection que de risques pour les individus correspondants. Ceux-ci créent ou adhèrent à ce qui donne sens, satisfait leur quotidien et permet de se construire une identité propre. Celle-ci, parfois, s'impose indépendamment de la volonté des individus et des groupes. Les pratiques quotidiennes expriment une quête de référence des expériences psychologiques chez les jeunes.
Ces considérations cadrent leur sous-culture.
L'identification de fondements structurels et conjoncturels de la dérive chez les jeunes et leurs stratégies individuelles et collectives conséquentes, sont au centre de cette étude. Il ressort que ces stratégies sont liées à la nouvelle citadinité africaine. L'auteur met en lumière, en quelque sorte, comment les dérives psychosociales révèlent le côté fragilisant du milieu urbain, Les fondements de la dérive émergent aux niveaux individuel, familial, communautaire et politique.
Ils sont peu discriminants contrairement à ceux qui soutiennent la réussite sociale. La dérive offre des mutations aux niveaux social, spatial et psychologique. A partir du seuil critique de pression sociale lié, des jeunes optent tantôt pour des voies actives (petits métiers, corps, langage et musique) tantôt pour des voies passives et d'autodestruction (drogues, vol, violence, prostitution, alcoolisme).
L'auteur fait le constat que tout milieu de vie est autant une source de protection que de risques pour les individus correspondants. Ceux-ci créent ou adhèrent à ce qui donne sens, satisfait leur quotidien et permet de se construire une identité propre. Celle-ci, parfois, s'impose indépendamment de la volonté des individus et des groupes. Les pratiques quotidiennes expriment une quête de référence des expériences psychologiques chez les jeunes.
Ces considérations cadrent leur sous-culture.
Ils sont peu discriminants contrairement à ceux qui soutiennent la réussite sociale. La dérive offre des mutations aux niveaux social, spatial et psychologique. A partir du seuil critique de pression sociale lié, des jeunes optent tantôt pour des voies actives (petits métiers, corps, langage et musique) tantôt pour des voies passives et d'autodestruction (drogues, vol, violence, prostitution, alcoolisme).
L'auteur fait le constat que tout milieu de vie est autant une source de protection que de risques pour les individus correspondants. Ceux-ci créent ou adhèrent à ce qui donne sens, satisfait leur quotidien et permet de se construire une identité propre. Celle-ci, parfois, s'impose indépendamment de la volonté des individus et des groupes. Les pratiques quotidiennes expriment une quête de référence des expériences psychologiques chez les jeunes.
Ces considérations cadrent leur sous-culture.