Dénonciation des inquisiteurs de la pensée
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- Nombre de pages88
- FormatePub
- ISBN978-2-7555-0454-5
- EAN9782755504545
- Date de parution06/04/2011
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille270 Ko
- ÉditeurFayard/Mille et une nuits
Résumé
Marie-Joseph Chénier débute à la Comédie Française en 1785. En 1789, il est l'auteur d'une tragédie qui met en scène le fanatisme de l'esprit de liberté et qui vient de subir deux longues années de censure : Charles IX ou la Saint-Barthélemy. C'est pour dénoncer l'interdiction qu'elle soit jouée que Chénier - frère cadet du poète André - a écrit son pamphlet : Dénonciation des inquisiteurs de la pensée.
Chénier y fait un portrait de la censure sous toutes ses formes et défend fermement la liberté de penser, de publier. Il s'en prend à tous ceux qu'il appelle les « eunuques dont le seul plaisir est d'en faire d'autres ». Ce texte résonne toujours : à la figure du censeur royal peut se substituer celle du penseur « politiquement correct ». Édition établie par Thierry Gillyboeuf.
Chénier y fait un portrait de la censure sous toutes ses formes et défend fermement la liberté de penser, de publier. Il s'en prend à tous ceux qu'il appelle les « eunuques dont le seul plaisir est d'en faire d'autres ». Ce texte résonne toujours : à la figure du censeur royal peut se substituer celle du penseur « politiquement correct ». Édition établie par Thierry Gillyboeuf.
Marie-Joseph Chénier débute à la Comédie Française en 1785. En 1789, il est l'auteur d'une tragédie qui met en scène le fanatisme de l'esprit de liberté et qui vient de subir deux longues années de censure : Charles IX ou la Saint-Barthélemy. C'est pour dénoncer l'interdiction qu'elle soit jouée que Chénier - frère cadet du poète André - a écrit son pamphlet : Dénonciation des inquisiteurs de la pensée.
Chénier y fait un portrait de la censure sous toutes ses formes et défend fermement la liberté de penser, de publier. Il s'en prend à tous ceux qu'il appelle les « eunuques dont le seul plaisir est d'en faire d'autres ». Ce texte résonne toujours : à la figure du censeur royal peut se substituer celle du penseur « politiquement correct ». Édition établie par Thierry Gillyboeuf.
Chénier y fait un portrait de la censure sous toutes ses formes et défend fermement la liberté de penser, de publier. Il s'en prend à tous ceux qu'il appelle les « eunuques dont le seul plaisir est d'en faire d'autres ». Ce texte résonne toujours : à la figure du censeur royal peut se substituer celle du penseur « politiquement correct ». Édition établie par Thierry Gillyboeuf.