Dear american airlines

Par : Jonathan Miles
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  • Nombre de pages192
  • FormatePub
  • ISBN978-2-84111-614-0
  • EAN9782841116140
  • Date de parution16/02/2012
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille2 Mo
  • ÉditeurNil (Editions)
  • TraducteurClaire Debru

Résumé

Désespéré, à bout de nerfs, un bloc de papier posé en équilibre sur sa valise, Benjamin R. Ford aurait aimé éviter de devoir brosser son propre portrait... À cinquante-trois ans, il a aussi prodigieusement raté sa carrière de poète que réussi celle d'alcoolique ; ses nuits héroïques de mondanité littéraire ne peuplent que ses rêves sur canapé clic-clac, il survit dans un deux-pièces sordide grâce à ses traductions, et les femmes de sa vie ont toutes claqué la porte, sauf sa mère, qui est schizophrène, impotente et sous sa responsabilité ! Vous avez dit désastre ? Benjamin R.
Ford, dit Bennie, aurait également souhaité ne pas rendre de comptes sur le voyage qu'il entreprend, de New York à Los Angeles, mais le vol en correspondance étant retardé depuis des heures, il est bloqué à l'aéroport de Chicago, bouillant de colère et de frustration : cette fois, si sa dernière chance de ne pas complètement rater sa vie est en train de lui filer sous le nez, c'est uniquement la faute d'American Airlines, et par conséquent il va le leur faire savoir ! Le retard de cet avion n'est pas un contretemps : c'est un drame, une tragédie aux conséquences irrattrapables.
Car assister à la cérémonie de mariage de sa fille, Stella, était le seul espoir pour Bennie d'établir enfin un semblant de relation avec elle, de se faire pardonner son absence, d'assumer son rôle de père avec une bonne vingtaine années de retard, de devenir enfin un homme, de prendre un nouveau départ... Or, précisément, ce départ est déprogrammé par la scandaleuse incompétence d'une compagnie aérienne ! Ce qui commence comme une lettre de réclamation pour obtenir le remboursement d'un billet à trois cent quatre-vingt-douze dollars et soixante-huit cents prend peu à peu la forme d'une confession emportée, furieuse et drôlissime, où tous les échecs d'une vie dansent une bacchanale frénétique pour être revisités dans une ultime tentative de libération.
Courrier administratif détourné, Dear American Airlines prouve que l'écriture romanesque la plus créative a tout à gagner d'une forme épistolaire ici exploitée avec une imagination, une verve et une énergie exceptionnelles.
Désespéré, à bout de nerfs, un bloc de papier posé en équilibre sur sa valise, Benjamin R. Ford aurait aimé éviter de devoir brosser son propre portrait... À cinquante-trois ans, il a aussi prodigieusement raté sa carrière de poète que réussi celle d'alcoolique ; ses nuits héroïques de mondanité littéraire ne peuplent que ses rêves sur canapé clic-clac, il survit dans un deux-pièces sordide grâce à ses traductions, et les femmes de sa vie ont toutes claqué la porte, sauf sa mère, qui est schizophrène, impotente et sous sa responsabilité ! Vous avez dit désastre ? Benjamin R.
Ford, dit Bennie, aurait également souhaité ne pas rendre de comptes sur le voyage qu'il entreprend, de New York à Los Angeles, mais le vol en correspondance étant retardé depuis des heures, il est bloqué à l'aéroport de Chicago, bouillant de colère et de frustration : cette fois, si sa dernière chance de ne pas complètement rater sa vie est en train de lui filer sous le nez, c'est uniquement la faute d'American Airlines, et par conséquent il va le leur faire savoir ! Le retard de cet avion n'est pas un contretemps : c'est un drame, une tragédie aux conséquences irrattrapables.
Car assister à la cérémonie de mariage de sa fille, Stella, était le seul espoir pour Bennie d'établir enfin un semblant de relation avec elle, de se faire pardonner son absence, d'assumer son rôle de père avec une bonne vingtaine années de retard, de devenir enfin un homme, de prendre un nouveau départ... Or, précisément, ce départ est déprogrammé par la scandaleuse incompétence d'une compagnie aérienne ! Ce qui commence comme une lettre de réclamation pour obtenir le remboursement d'un billet à trois cent quatre-vingt-douze dollars et soixante-huit cents prend peu à peu la forme d'une confession emportée, furieuse et drôlissime, où tous les échecs d'une vie dansent une bacchanale frénétique pour être revisités dans une ultime tentative de libération.
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