De la méthode en psychologie. Suivie d'une analyse critique de Schelling
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- Nombre de pages114
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-23508-3
- EAN9782296235083
- Date de parution01/02/2010
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Ce livre rassemble les deux grands textes majeurs de Victor Cousin (1792-1867) sur la méthode psychologique. La révolution opérée par la philosophie éclectique de Cousin a été de mettre la psychologie au premier rang. C'est d'abord dans la première préface de ses Fragments philosophiques (1826) que Cousin va s'exprimer avec le plus de netteté sur la psychologie. Rentrer dans la conscience et en étudier scrupuleusement tous les phénomènes, leurs différences et leurs rapports, telle est la première étude du philosophe ; son nom scientifique est la psychologie.
La psychologie est donc la condition et comme le vestibule de la philosophie. Or, le premier effet d'une application sévère de la méthode est d'ajourner la métaphysique. Dans la nouvelle préface qu'il donne à la seconde édition des Fragments philosophiques (1833), Cousin réorganise sa présentation et ajoute des commentaires utiles sur la méthode d'introspection. La psychologie, science de l'homme par excellence, n'est assurément pas toute la philosophie, mais elle en est le fondement.
En pénétrant dans la conscience, en nous retournant sur nous-mêmes par un effort de contorsion psychologique, nous avons l'aperception spontanée et en quelque sorte intuitive du vrai, du bien et du beau. Cette nouvelle préface sera remarquée par le philosophe allemand, ami de Cousin depuis 1818, Friedrich Wilhelm von Schelling (1775-1854). Nous proposons en annexe la traduction française de ce texte qui fera connaître la philosophie de Cousin Outre-Rhin.
La psychologie est donc la condition et comme le vestibule de la philosophie. Or, le premier effet d'une application sévère de la méthode est d'ajourner la métaphysique. Dans la nouvelle préface qu'il donne à la seconde édition des Fragments philosophiques (1833), Cousin réorganise sa présentation et ajoute des commentaires utiles sur la méthode d'introspection. La psychologie, science de l'homme par excellence, n'est assurément pas toute la philosophie, mais elle en est le fondement.
En pénétrant dans la conscience, en nous retournant sur nous-mêmes par un effort de contorsion psychologique, nous avons l'aperception spontanée et en quelque sorte intuitive du vrai, du bien et du beau. Cette nouvelle préface sera remarquée par le philosophe allemand, ami de Cousin depuis 1818, Friedrich Wilhelm von Schelling (1775-1854). Nous proposons en annexe la traduction française de ce texte qui fera connaître la philosophie de Cousin Outre-Rhin.
Ce livre rassemble les deux grands textes majeurs de Victor Cousin (1792-1867) sur la méthode psychologique. La révolution opérée par la philosophie éclectique de Cousin a été de mettre la psychologie au premier rang. C'est d'abord dans la première préface de ses Fragments philosophiques (1826) que Cousin va s'exprimer avec le plus de netteté sur la psychologie. Rentrer dans la conscience et en étudier scrupuleusement tous les phénomènes, leurs différences et leurs rapports, telle est la première étude du philosophe ; son nom scientifique est la psychologie.
La psychologie est donc la condition et comme le vestibule de la philosophie. Or, le premier effet d'une application sévère de la méthode est d'ajourner la métaphysique. Dans la nouvelle préface qu'il donne à la seconde édition des Fragments philosophiques (1833), Cousin réorganise sa présentation et ajoute des commentaires utiles sur la méthode d'introspection. La psychologie, science de l'homme par excellence, n'est assurément pas toute la philosophie, mais elle en est le fondement.
En pénétrant dans la conscience, en nous retournant sur nous-mêmes par un effort de contorsion psychologique, nous avons l'aperception spontanée et en quelque sorte intuitive du vrai, du bien et du beau. Cette nouvelle préface sera remarquée par le philosophe allemand, ami de Cousin depuis 1818, Friedrich Wilhelm von Schelling (1775-1854). Nous proposons en annexe la traduction française de ce texte qui fera connaître la philosophie de Cousin Outre-Rhin.
La psychologie est donc la condition et comme le vestibule de la philosophie. Or, le premier effet d'une application sévère de la méthode est d'ajourner la métaphysique. Dans la nouvelle préface qu'il donne à la seconde édition des Fragments philosophiques (1833), Cousin réorganise sa présentation et ajoute des commentaires utiles sur la méthode d'introspection. La psychologie, science de l'homme par excellence, n'est assurément pas toute la philosophie, mais elle en est le fondement.
En pénétrant dans la conscience, en nous retournant sur nous-mêmes par un effort de contorsion psychologique, nous avons l'aperception spontanée et en quelque sorte intuitive du vrai, du bien et du beau. Cette nouvelle préface sera remarquée par le philosophe allemand, ami de Cousin depuis 1818, Friedrich Wilhelm von Schelling (1775-1854). Nous proposons en annexe la traduction française de ce texte qui fera connaître la philosophie de Cousin Outre-Rhin.