De l'agriculture d'antan à celle d'aujourd'hui. Les changements engendrés par les lois Pisani
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- Nombre de pages154
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-46121-5
- EAN9782296461215
- Date de parution15/04/2011
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Les remises en cause que subissent régulièrement l'agriculture et 1 industrie agroalimentaire par différents acteurs de la société nécessitent-elles de revoir complètement la politique de développement actuellement en vigueur ? Que devons-nous penser du modèle qui prévalait jadis, juste avant la mise en oeuvre des lois Pisani ? Peut-il encore être utile au monde agricole face aux enjeux que nous réserve notre avenir commun Son parcours personnel a permis à l'auteur de connaître de Pinté rieur cette agriculture de naguère, mais aussi les mutations qui 1'ont traversée à partir des années soixante sous l'impulsion de la politique agricole (lois Pisani, marché commun de l'Union européenne.:.).
Les prix garantis mis en oeuvre, à la demande des organisations de producteurs, sont à l'origine de certains dérapages que nos concitoyens, à juste raison, relèvent aujourd'hui (pollution excessive, doute sur la qualité et compétitivité des produits...). À cote de cela, nous avons les agriculteurs, et plus particulièrement les éleveurs, qui après 40 ans de politique agricole commune (la PAC) sont très mécontents de leur revenu, donc des prix qu'ils perçoivent...
Pourtant, leursreprésentants professionnels, avec l'aide de leurs organisations de producteurs, font partie des concepteurs du modèle qui prévaut aujourd'hui. Nous est-il possible d'expliquer cette contradiction ? Existe-t-il des conflits d'intérêts, des conflits de pouvoir...?
Les prix garantis mis en oeuvre, à la demande des organisations de producteurs, sont à l'origine de certains dérapages que nos concitoyens, à juste raison, relèvent aujourd'hui (pollution excessive, doute sur la qualité et compétitivité des produits...). À cote de cela, nous avons les agriculteurs, et plus particulièrement les éleveurs, qui après 40 ans de politique agricole commune (la PAC) sont très mécontents de leur revenu, donc des prix qu'ils perçoivent...
Pourtant, leursreprésentants professionnels, avec l'aide de leurs organisations de producteurs, font partie des concepteurs du modèle qui prévaut aujourd'hui. Nous est-il possible d'expliquer cette contradiction ? Existe-t-il des conflits d'intérêts, des conflits de pouvoir...?
Les remises en cause que subissent régulièrement l'agriculture et 1 industrie agroalimentaire par différents acteurs de la société nécessitent-elles de revoir complètement la politique de développement actuellement en vigueur ? Que devons-nous penser du modèle qui prévalait jadis, juste avant la mise en oeuvre des lois Pisani ? Peut-il encore être utile au monde agricole face aux enjeux que nous réserve notre avenir commun Son parcours personnel a permis à l'auteur de connaître de Pinté rieur cette agriculture de naguère, mais aussi les mutations qui 1'ont traversée à partir des années soixante sous l'impulsion de la politique agricole (lois Pisani, marché commun de l'Union européenne.:.).
Les prix garantis mis en oeuvre, à la demande des organisations de producteurs, sont à l'origine de certains dérapages que nos concitoyens, à juste raison, relèvent aujourd'hui (pollution excessive, doute sur la qualité et compétitivité des produits...). À cote de cela, nous avons les agriculteurs, et plus particulièrement les éleveurs, qui après 40 ans de politique agricole commune (la PAC) sont très mécontents de leur revenu, donc des prix qu'ils perçoivent...
Pourtant, leursreprésentants professionnels, avec l'aide de leurs organisations de producteurs, font partie des concepteurs du modèle qui prévaut aujourd'hui. Nous est-il possible d'expliquer cette contradiction ? Existe-t-il des conflits d'intérêts, des conflits de pouvoir...?
Les prix garantis mis en oeuvre, à la demande des organisations de producteurs, sont à l'origine de certains dérapages que nos concitoyens, à juste raison, relèvent aujourd'hui (pollution excessive, doute sur la qualité et compétitivité des produits...). À cote de cela, nous avons les agriculteurs, et plus particulièrement les éleveurs, qui après 40 ans de politique agricole commune (la PAC) sont très mécontents de leur revenu, donc des prix qu'ils perçoivent...
Pourtant, leursreprésentants professionnels, avec l'aide de leurs organisations de producteurs, font partie des concepteurs du modèle qui prévaut aujourd'hui. Nous est-il possible d'expliquer cette contradiction ? Existe-t-il des conflits d'intérêts, des conflits de pouvoir...?