Criminels ordinaires
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- Nombre de pages162
- FormatePub
- ISBN978-2-213-67621-0
- EAN9782213676210
- Date de parution06/02/2013
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille1 Mo
- ÉditeurFayard
Résumé
Traduit de l'anglais (USA) par Alexandre Thiltges Criminels ordinaires est le deuxième roman de Larry Fondation et le deuxième d'un cycle consacré à la ville de Los Angeles. Sur une vingtaine d'années, du milieu des années 1980 au milieu des années 2000, chacun de ces romans est un chapitre d'une vaste biographie de la ville des Anges, et une histoire de la pauvreté dans la plus grande démocratie du monde Ses Criminels ordinaires sont au bord de la marginalisation.
À deux doigts du passage à l'acte qui libère le criminel tapi en soi. Une femme provoque la mort d'un mendiant au feu rouge et prend la fuite. Une bande d'adolescents hyper-alcoolisés viole un de leur copain et sa mère. Un inconnu meurt sous les coups de son racketeur. Un couple de braqueurs vit une cavale éternelle au Mexique. Cet enfer, Larry Fondation le saupoudre d'humour, noir bien sûr. Pour qu'en dépit de leurs luttes, cran d'arrêt à la main, pour qu'en dépit de la drogue, les flingues, la maladie et la mort, mes personnages survivent.
Pour qu'ils s'en sortent, d'une façon ou d'une autre est tout un monde qui surgit en quelques mots. Chaque détail, minutieusement choisi, plante le décor, l'époque, et charge l'histoire en tension. Les images, les personnages et leur étrange morale, la langue de l'auteur, direct au foie, simple et flagrante, comme un délit. Chaque phrase est un coup de poing, un concentré de réalité et de littérature à la fois.
Pas de gras, de mots en trop. Des histoires courtes, incisives, immédiates. La flash-fiction de notre époque;: rapide, violente et sexy. Laconique et droit au but. Il ne nous parle pas de la vie comme dans les livres, mais comme nous la vivons.
À deux doigts du passage à l'acte qui libère le criminel tapi en soi. Une femme provoque la mort d'un mendiant au feu rouge et prend la fuite. Une bande d'adolescents hyper-alcoolisés viole un de leur copain et sa mère. Un inconnu meurt sous les coups de son racketeur. Un couple de braqueurs vit une cavale éternelle au Mexique. Cet enfer, Larry Fondation le saupoudre d'humour, noir bien sûr. Pour qu'en dépit de leurs luttes, cran d'arrêt à la main, pour qu'en dépit de la drogue, les flingues, la maladie et la mort, mes personnages survivent.
Pour qu'ils s'en sortent, d'une façon ou d'une autre est tout un monde qui surgit en quelques mots. Chaque détail, minutieusement choisi, plante le décor, l'époque, et charge l'histoire en tension. Les images, les personnages et leur étrange morale, la langue de l'auteur, direct au foie, simple et flagrante, comme un délit. Chaque phrase est un coup de poing, un concentré de réalité et de littérature à la fois.
Pas de gras, de mots en trop. Des histoires courtes, incisives, immédiates. La flash-fiction de notre époque;: rapide, violente et sexy. Laconique et droit au but. Il ne nous parle pas de la vie comme dans les livres, mais comme nous la vivons.
Traduit de l'anglais (USA) par Alexandre Thiltges Criminels ordinaires est le deuxième roman de Larry Fondation et le deuxième d'un cycle consacré à la ville de Los Angeles. Sur une vingtaine d'années, du milieu des années 1980 au milieu des années 2000, chacun de ces romans est un chapitre d'une vaste biographie de la ville des Anges, et une histoire de la pauvreté dans la plus grande démocratie du monde Ses Criminels ordinaires sont au bord de la marginalisation.
À deux doigts du passage à l'acte qui libère le criminel tapi en soi. Une femme provoque la mort d'un mendiant au feu rouge et prend la fuite. Une bande d'adolescents hyper-alcoolisés viole un de leur copain et sa mère. Un inconnu meurt sous les coups de son racketeur. Un couple de braqueurs vit une cavale éternelle au Mexique. Cet enfer, Larry Fondation le saupoudre d'humour, noir bien sûr. Pour qu'en dépit de leurs luttes, cran d'arrêt à la main, pour qu'en dépit de la drogue, les flingues, la maladie et la mort, mes personnages survivent.
Pour qu'ils s'en sortent, d'une façon ou d'une autre est tout un monde qui surgit en quelques mots. Chaque détail, minutieusement choisi, plante le décor, l'époque, et charge l'histoire en tension. Les images, les personnages et leur étrange morale, la langue de l'auteur, direct au foie, simple et flagrante, comme un délit. Chaque phrase est un coup de poing, un concentré de réalité et de littérature à la fois.
Pas de gras, de mots en trop. Des histoires courtes, incisives, immédiates. La flash-fiction de notre époque;: rapide, violente et sexy. Laconique et droit au but. Il ne nous parle pas de la vie comme dans les livres, mais comme nous la vivons.
À deux doigts du passage à l'acte qui libère le criminel tapi en soi. Une femme provoque la mort d'un mendiant au feu rouge et prend la fuite. Une bande d'adolescents hyper-alcoolisés viole un de leur copain et sa mère. Un inconnu meurt sous les coups de son racketeur. Un couple de braqueurs vit une cavale éternelle au Mexique. Cet enfer, Larry Fondation le saupoudre d'humour, noir bien sûr. Pour qu'en dépit de leurs luttes, cran d'arrêt à la main, pour qu'en dépit de la drogue, les flingues, la maladie et la mort, mes personnages survivent.
Pour qu'ils s'en sortent, d'une façon ou d'une autre est tout un monde qui surgit en quelques mots. Chaque détail, minutieusement choisi, plante le décor, l'époque, et charge l'histoire en tension. Les images, les personnages et leur étrange morale, la langue de l'auteur, direct au foie, simple et flagrante, comme un délit. Chaque phrase est un coup de poing, un concentré de réalité et de littérature à la fois.
Pas de gras, de mots en trop. Des histoires courtes, incisives, immédiates. La flash-fiction de notre époque;: rapide, violente et sexy. Laconique et droit au but. Il ne nous parle pas de la vie comme dans les livres, mais comme nous la vivons.