Dans un troisième tome encore plus féministe que les deux précédents, Elizabeth Jane Howard écrit l'épanouissement, la découverte de la féminité et l'éclosion de la passion après des années bien mornes. Elle évoque aussi le désarroi et la désillusion, le deuil et les espoirs déçus, toujours avec autant de finesse, faisant écho à Jane Austen. L'auteure n'aura d'ailleurs jamais été aussi proche de la mère de l'ironie britannique ! (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2021/03/22/confusion-elizabeth-jane-howard/)
Dans un troisième tome encore plus féministe que les deux précédents, Elizabeth Jane Howard écrit l'épanouissement, la découverte de la féminité et l'éclosion de la passion après des années bien mornes. Elle évoque aussi le désarroi et la désillusion, le deuil et les espoirs déçus, toujours avec autant de finesse, faisant écho à Jane Austen. L'auteure n'aura d'ailleurs jamais été aussi proche de la mère de l'ironie britannique ! (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2021/03/22/confusion-elizabeth-jane-howard/)