Comédie et philosophie. Socrate et les "Présocratiques" dans les Nuées d'Aristophane
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- Nombre de pages262
- FormatPDF
- ISBN978-2-7288-2504-2
- EAN9782728825042
- Date de parution23/09/2013
- Protection num.Adobe DRM
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurRue d'Ulm
- PréfacierMonique Trédé-Boulmer
Résumé
Les Nuées, qu'Aristophane même considérait comme la plus « savante » ou « habile » de ses ouvres, inaugure avec éclat la longue histoire des rapports de l'intellectuel avec le monde. Le chemin qui conduit à l'abolition des dettes contractées par un fils dispendieux passe-t-il par celui des connaissances ? Le père endetté, qui répond au nom transparent de Strepsiade - M. Retourneur -, tente sa chance.
En vain : c'est un lourdaud. Lui-même emberlificoté par un fils qui excipe de la leçon des philosophes pour le frapper, il se retournera finalement contre le « Pensoir », l'école philosophique dont Socrate est ici le représentant attitré. La pièce d'Aristophane, avec la virulence propre à la comédie et les ressources propres au théâtre, parle de la relation entre la théorie et la pratique, mais aussi de celle entre les Nuées, divinités aussi suprêmes que complexes, et les simplets que nous sommes tous ; elle parle aussi de la langue et des théories philosophiques, dont elle construit l'unité sous-jacente et dénonce la complicité profonde, par-delà leur confrontation de surface.
En fin de compte, la comédie se révèle aussi école de pensée. Platon saura s'en souvenir. Préface de Monique TrédéSous la direction de Rosella Setta Cottone
En vain : c'est un lourdaud. Lui-même emberlificoté par un fils qui excipe de la leçon des philosophes pour le frapper, il se retournera finalement contre le « Pensoir », l'école philosophique dont Socrate est ici le représentant attitré. La pièce d'Aristophane, avec la virulence propre à la comédie et les ressources propres au théâtre, parle de la relation entre la théorie et la pratique, mais aussi de celle entre les Nuées, divinités aussi suprêmes que complexes, et les simplets que nous sommes tous ; elle parle aussi de la langue et des théories philosophiques, dont elle construit l'unité sous-jacente et dénonce la complicité profonde, par-delà leur confrontation de surface.
En fin de compte, la comédie se révèle aussi école de pensée. Platon saura s'en souvenir. Préface de Monique TrédéSous la direction de Rosella Setta Cottone
Les Nuées, qu'Aristophane même considérait comme la plus « savante » ou « habile » de ses ouvres, inaugure avec éclat la longue histoire des rapports de l'intellectuel avec le monde. Le chemin qui conduit à l'abolition des dettes contractées par un fils dispendieux passe-t-il par celui des connaissances ? Le père endetté, qui répond au nom transparent de Strepsiade - M. Retourneur -, tente sa chance.
En vain : c'est un lourdaud. Lui-même emberlificoté par un fils qui excipe de la leçon des philosophes pour le frapper, il se retournera finalement contre le « Pensoir », l'école philosophique dont Socrate est ici le représentant attitré. La pièce d'Aristophane, avec la virulence propre à la comédie et les ressources propres au théâtre, parle de la relation entre la théorie et la pratique, mais aussi de celle entre les Nuées, divinités aussi suprêmes que complexes, et les simplets que nous sommes tous ; elle parle aussi de la langue et des théories philosophiques, dont elle construit l'unité sous-jacente et dénonce la complicité profonde, par-delà leur confrontation de surface.
En fin de compte, la comédie se révèle aussi école de pensée. Platon saura s'en souvenir. Préface de Monique TrédéSous la direction de Rosella Setta Cottone
En vain : c'est un lourdaud. Lui-même emberlificoté par un fils qui excipe de la leçon des philosophes pour le frapper, il se retournera finalement contre le « Pensoir », l'école philosophique dont Socrate est ici le représentant attitré. La pièce d'Aristophane, avec la virulence propre à la comédie et les ressources propres au théâtre, parle de la relation entre la théorie et la pratique, mais aussi de celle entre les Nuées, divinités aussi suprêmes que complexes, et les simplets que nous sommes tous ; elle parle aussi de la langue et des théories philosophiques, dont elle construit l'unité sous-jacente et dénonce la complicité profonde, par-delà leur confrontation de surface.
En fin de compte, la comédie se révèle aussi école de pensée. Platon saura s'en souvenir. Préface de Monique TrédéSous la direction de Rosella Setta Cottone