Cet homme était-il Dieu ?
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages154
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7483-7295-3
- EAN9782748372953
- Date de parution01/06/2010
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPublibook/Société écrivains
Résumé
« S’agissant de l’existence de Dieu, la raison humaine, consciemment ou non, capitule et la réponse ne peut qu’être intuitive ». Renoncer à trancher la question de l’existence de Dieu n’interdisant pas de s’interroger sur la divinité réelle ou supposée de l’homme-Jésus, c’est à cette problématique aussi vaste que sensible, bien que la réponse, quelle qu’elle soit, ne remette pas en cause les apports du christianisme, que Lucien M.
Martin consacre le présent essai. Depuis que Nietzsche a tué Dieu, plus rien n’empêchait les écrivains, penseurs, chercheurs et autres essayistes de se pencher sur la question, non de l’existence de « son » fils, celle-ci étant quasiment avérée d’un strict point de vue historique, mais de la divinité de Jésus. C’est désormais chose faite, et l’analyse ici proposée, brillante et étayée, devrait réjouir tous ceux, croyants ou non, qui de près ou de loin se posent de vraies interrogations : celles qui n’ont que trop rarement été abordées.
Martin consacre le présent essai. Depuis que Nietzsche a tué Dieu, plus rien n’empêchait les écrivains, penseurs, chercheurs et autres essayistes de se pencher sur la question, non de l’existence de « son » fils, celle-ci étant quasiment avérée d’un strict point de vue historique, mais de la divinité de Jésus. C’est désormais chose faite, et l’analyse ici proposée, brillante et étayée, devrait réjouir tous ceux, croyants ou non, qui de près ou de loin se posent de vraies interrogations : celles qui n’ont que trop rarement été abordées.
« S’agissant de l’existence de Dieu, la raison humaine, consciemment ou non, capitule et la réponse ne peut qu’être intuitive ». Renoncer à trancher la question de l’existence de Dieu n’interdisant pas de s’interroger sur la divinité réelle ou supposée de l’homme-Jésus, c’est à cette problématique aussi vaste que sensible, bien que la réponse, quelle qu’elle soit, ne remette pas en cause les apports du christianisme, que Lucien M.
Martin consacre le présent essai. Depuis que Nietzsche a tué Dieu, plus rien n’empêchait les écrivains, penseurs, chercheurs et autres essayistes de se pencher sur la question, non de l’existence de « son » fils, celle-ci étant quasiment avérée d’un strict point de vue historique, mais de la divinité de Jésus. C’est désormais chose faite, et l’analyse ici proposée, brillante et étayée, devrait réjouir tous ceux, croyants ou non, qui de près ou de loin se posent de vraies interrogations : celles qui n’ont que trop rarement été abordées.
Martin consacre le présent essai. Depuis que Nietzsche a tué Dieu, plus rien n’empêchait les écrivains, penseurs, chercheurs et autres essayistes de se pencher sur la question, non de l’existence de « son » fils, celle-ci étant quasiment avérée d’un strict point de vue historique, mais de la divinité de Jésus. C’est désormais chose faite, et l’analyse ici proposée, brillante et étayée, devrait réjouir tous ceux, croyants ou non, qui de près ou de loin se posent de vraies interrogations : celles qui n’ont que trop rarement été abordées.