Cameroun 1962 : le train de la mort. Un épisode tragique oublié de la guerre d'indépendance
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- Nombre de pages124
- FormatPDF
- ISBN978-2-14-031182-6
- EAN9782140311826
- Date de parution05/01/2023
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille6 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierEbodé joseph vincent Ntuda
Résumé
L'histoire du « train de la mort » du 1er février 1962 au Cameroun, est un fait tragique méconnu de la lutte politique entre ceux qui réclamaient une réunification et une indépendance immédiate du Cameroun, territoire sous administration française, et ceux qui « roulaient » pour la France, contre cette aspiration. Dans cette histoire, qui était destinée à demeurer cachée et tue, il a fallu tout le poids moral de l'Église catholique de Yaoundé.
Le témoignage des péripéties de cette affaire du « train de la mort » est relaté par Monsieur ZE NGO O Pierre, présent dans le wagon couvert américain hermétique, afin que cette tragédie ne soit pas oubliée.
Le témoignage des péripéties de cette affaire du « train de la mort » est relaté par Monsieur ZE NGO O Pierre, présent dans le wagon couvert américain hermétique, afin que cette tragédie ne soit pas oubliée.
L'histoire du « train de la mort » du 1er février 1962 au Cameroun, est un fait tragique méconnu de la lutte politique entre ceux qui réclamaient une réunification et une indépendance immédiate du Cameroun, territoire sous administration française, et ceux qui « roulaient » pour la France, contre cette aspiration. Dans cette histoire, qui était destinée à demeurer cachée et tue, il a fallu tout le poids moral de l'Église catholique de Yaoundé.
Le témoignage des péripéties de cette affaire du « train de la mort » est relaté par Monsieur ZE NGO O Pierre, présent dans le wagon couvert américain hermétique, afin que cette tragédie ne soit pas oubliée.
Le témoignage des péripéties de cette affaire du « train de la mort » est relaté par Monsieur ZE NGO O Pierre, présent dans le wagon couvert américain hermétique, afin que cette tragédie ne soit pas oubliée.
