Après la fin de l'histoire. Un regard sur les révoltes du XXe siècle
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- Nombre de pages239
- FormatePub
- ISBN978-2-08-123539-7
- EAN9782081235397
- Date de parution13/04/2010
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille1 Mo
- Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
- ÉditeurClimats
- TraducteurAleksandar Grujicic
Résumé
Le 28 juin 1914, à Sarajevo, l'archiduc François-Joseph, héritier de l'empire austro-hongrois, est assassiné.
Cet évènement est le coup d'envoi du XXe siècle et de ses horreurs, et est aussi à l'origine de la création de la Yougoslavie. Et c'est avec la disparition de cette dernière, quatre-vingts ans plus tard, que se termine ce même siècle. Stanko Cerovic raconte la vie et la mort de son pays, si emblématique de ce temps de ténèbres, les passions et désillusions politiques, la participation de sa famille, celle de Milovan Djilas, le meilleur ennemi de Tito, aux grands événements qui façonnèrent l'Est du continent.
Où est la source de la révolte dans l'homme ? Obsédé par cette question, l'auteur revient sur les rebellions du siècle - le communisme, l'anticommunisme, la dissidence, leur échec, et leur sens, si elles en ont un.
Cerovic le croit, et pense qu'elles méritent d'être expliquées, et parfois même justifiées malgré la terrible impasse à laquelle elles aboutirent toutes. Marchant sur les traces de l'homme révolté de Camus, il peut, à l'issue de cet itinéraire spirituel singulier, faire sienne la célèbre phrase d'Ulysse de Joyce : " L'Histoire est un cauchemar dont j'essaie de m'éveiller ". Stanko Cerovic s'est mis à écrire dans le no man's land de l'exil parisien, non pour retrouver une patrie mais pour justifier sa propre survie.
Il nous offre avec cette odyssée européenne singulière une philosophie de l'histoire, un récit épique, politique et intimiste à la fois.
Cerovic le croit, et pense qu'elles méritent d'être expliquées, et parfois même justifiées malgré la terrible impasse à laquelle elles aboutirent toutes. Marchant sur les traces de l'homme révolté de Camus, il peut, à l'issue de cet itinéraire spirituel singulier, faire sienne la célèbre phrase d'Ulysse de Joyce : " L'Histoire est un cauchemar dont j'essaie de m'éveiller ". Stanko Cerovic s'est mis à écrire dans le no man's land de l'exil parisien, non pour retrouver une patrie mais pour justifier sa propre survie.
Il nous offre avec cette odyssée européenne singulière une philosophie de l'histoire, un récit épique, politique et intimiste à la fois.
Le 28 juin 1914, à Sarajevo, l'archiduc François-Joseph, héritier de l'empire austro-hongrois, est assassiné.
Cet évènement est le coup d'envoi du XXe siècle et de ses horreurs, et est aussi à l'origine de la création de la Yougoslavie. Et c'est avec la disparition de cette dernière, quatre-vingts ans plus tard, que se termine ce même siècle. Stanko Cerovic raconte la vie et la mort de son pays, si emblématique de ce temps de ténèbres, les passions et désillusions politiques, la participation de sa famille, celle de Milovan Djilas, le meilleur ennemi de Tito, aux grands événements qui façonnèrent l'Est du continent.
Où est la source de la révolte dans l'homme ? Obsédé par cette question, l'auteur revient sur les rebellions du siècle - le communisme, l'anticommunisme, la dissidence, leur échec, et leur sens, si elles en ont un.
Cerovic le croit, et pense qu'elles méritent d'être expliquées, et parfois même justifiées malgré la terrible impasse à laquelle elles aboutirent toutes. Marchant sur les traces de l'homme révolté de Camus, il peut, à l'issue de cet itinéraire spirituel singulier, faire sienne la célèbre phrase d'Ulysse de Joyce : " L'Histoire est un cauchemar dont j'essaie de m'éveiller ". Stanko Cerovic s'est mis à écrire dans le no man's land de l'exil parisien, non pour retrouver une patrie mais pour justifier sa propre survie.
Il nous offre avec cette odyssée européenne singulière une philosophie de l'histoire, un récit épique, politique et intimiste à la fois.
Cerovic le croit, et pense qu'elles méritent d'être expliquées, et parfois même justifiées malgré la terrible impasse à laquelle elles aboutirent toutes. Marchant sur les traces de l'homme révolté de Camus, il peut, à l'issue de cet itinéraire spirituel singulier, faire sienne la célèbre phrase d'Ulysse de Joyce : " L'Histoire est un cauchemar dont j'essaie de m'éveiller ". Stanko Cerovic s'est mis à écrire dans le no man's land de l'exil parisien, non pour retrouver une patrie mais pour justifier sa propre survie.
Il nous offre avec cette odyssée européenne singulière une philosophie de l'histoire, un récit épique, politique et intimiste à la fois.