Antoine d'Abbadie. Voyageur et phycisien du Globe au XIXe siècle
Par : ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages160
- FormatPDF
- ISBN978-2-7056-7793-0
- EAN9782705677930
- Date de parution01/07/2009
- Protection num.Adobe DRM
- Taille5 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
Résumé
L'art de la mémoire semble avoir complètement disparu au xixe siècle. Il ne fait plus l'objet de traités comme au Moyen Âge et à la Renaissance et n'inspire plus, apparemment, la littérature ou la peinture. Pourtant, à y regarder d'un peu plus près, on s'aperçoit que son fantôme rôde encore dans notre culture à l'époque romantique ou symboliste. La Vie de Rancé, La Comédie humaine et La Cathédrale se trouvent reproduire, de manière plus ou moins consciente, une structure proche des arts de la mémoire médiévaux.
C'est peut-être même là que se situe la clé de compréhension de ces ouvres - et de leur réussite. Contrairement à l'idée reçue, il y eut bien quelques auteurs pour emprunter, au siècle des révolutions, les antiques voies de la mémoire.
C'est peut-être même là que se situe la clé de compréhension de ces ouvres - et de leur réussite. Contrairement à l'idée reçue, il y eut bien quelques auteurs pour emprunter, au siècle des révolutions, les antiques voies de la mémoire.
L'art de la mémoire semble avoir complètement disparu au xixe siècle. Il ne fait plus l'objet de traités comme au Moyen Âge et à la Renaissance et n'inspire plus, apparemment, la littérature ou la peinture. Pourtant, à y regarder d'un peu plus près, on s'aperçoit que son fantôme rôde encore dans notre culture à l'époque romantique ou symboliste. La Vie de Rancé, La Comédie humaine et La Cathédrale se trouvent reproduire, de manière plus ou moins consciente, une structure proche des arts de la mémoire médiévaux.
C'est peut-être même là que se situe la clé de compréhension de ces ouvres - et de leur réussite. Contrairement à l'idée reçue, il y eut bien quelques auteurs pour emprunter, au siècle des révolutions, les antiques voies de la mémoire.
C'est peut-être même là que se situe la clé de compréhension de ces ouvres - et de leur réussite. Contrairement à l'idée reçue, il y eut bien quelques auteurs pour emprunter, au siècle des révolutions, les antiques voies de la mémoire.