Anthropologie des réseaux en Asie centrale
Par : , ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages310
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-271-12982-6
- EAN9782271129826
- Date de parution28/11/2019
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurCNRS Éditions via OpenEdition
Résumé
Les modes de fonctionnement et les structures internes des sociétés d'Asie centrale - prise au sens large puisque la présente étude traite aussi bien de la Mongolie que de l'Ouzbékistan, en passant par la République de Touva en Sibérie - demeurent largement méconnus en Occident où les analystes décrivent encore exclusivement ces systèmes en des termes à connotation négative tels que « clans », « régionalisme », « népotisme » ou « corruption ».
Réunissant les travaux d'anthropologues, de sociologues, de politistes et d'historiens, cet ouvrage présente plusieurs types de réseaux sociétaux qui, selon un long continuum, vont des plus complets, assimilables à des organisations au sens sociologique du terme, à d'autres, strictement personnels et égocentrés, en passant par toute une série de types intermédiaires, typiquement centrasiatiques, dans lesquels se mêlent relations personnelles, relations de parenté et relations d'affaires.
Résultant d'enquêtes menées selon le principe de l'observation participante, étalées sur plusieurs années, ces études montrent l'étonnante plasticité de ces réseaux qui, malgré les profonds bouleversements survenus en Asie centrale durant ces deux dernières décennies, ont su s'adapter aux nouvelles exigences nées de l'effondrement de l'Union soviétique. Dépourvus de limites précises, souvent difficiles à circonscrire, ces réseaux sont le reflet des modes de gouvernance, des systèmes de pensée politique, des solidarités traditionnelles et des méthodes d'appropriation du pouvoir et surtout d'acquisition de prestige, ce bien symbolique tant recherché par les populations de cette région.
Réunissant les travaux d'anthropologues, de sociologues, de politistes et d'historiens, cet ouvrage présente plusieurs types de réseaux sociétaux qui, selon un long continuum, vont des plus complets, assimilables à des organisations au sens sociologique du terme, à d'autres, strictement personnels et égocentrés, en passant par toute une série de types intermédiaires, typiquement centrasiatiques, dans lesquels se mêlent relations personnelles, relations de parenté et relations d'affaires.
Résultant d'enquêtes menées selon le principe de l'observation participante, étalées sur plusieurs années, ces études montrent l'étonnante plasticité de ces réseaux qui, malgré les profonds bouleversements survenus en Asie centrale durant ces deux dernières décennies, ont su s'adapter aux nouvelles exigences nées de l'effondrement de l'Union soviétique. Dépourvus de limites précises, souvent difficiles à circonscrire, ces réseaux sont le reflet des modes de gouvernance, des systèmes de pensée politique, des solidarités traditionnelles et des méthodes d'appropriation du pouvoir et surtout d'acquisition de prestige, ce bien symbolique tant recherché par les populations de cette région.
Les modes de fonctionnement et les structures internes des sociétés d'Asie centrale - prise au sens large puisque la présente étude traite aussi bien de la Mongolie que de l'Ouzbékistan, en passant par la République de Touva en Sibérie - demeurent largement méconnus en Occident où les analystes décrivent encore exclusivement ces systèmes en des termes à connotation négative tels que « clans », « régionalisme », « népotisme » ou « corruption ».
Réunissant les travaux d'anthropologues, de sociologues, de politistes et d'historiens, cet ouvrage présente plusieurs types de réseaux sociétaux qui, selon un long continuum, vont des plus complets, assimilables à des organisations au sens sociologique du terme, à d'autres, strictement personnels et égocentrés, en passant par toute une série de types intermédiaires, typiquement centrasiatiques, dans lesquels se mêlent relations personnelles, relations de parenté et relations d'affaires.
Résultant d'enquêtes menées selon le principe de l'observation participante, étalées sur plusieurs années, ces études montrent l'étonnante plasticité de ces réseaux qui, malgré les profonds bouleversements survenus en Asie centrale durant ces deux dernières décennies, ont su s'adapter aux nouvelles exigences nées de l'effondrement de l'Union soviétique. Dépourvus de limites précises, souvent difficiles à circonscrire, ces réseaux sont le reflet des modes de gouvernance, des systèmes de pensée politique, des solidarités traditionnelles et des méthodes d'appropriation du pouvoir et surtout d'acquisition de prestige, ce bien symbolique tant recherché par les populations de cette région.
Réunissant les travaux d'anthropologues, de sociologues, de politistes et d'historiens, cet ouvrage présente plusieurs types de réseaux sociétaux qui, selon un long continuum, vont des plus complets, assimilables à des organisations au sens sociologique du terme, à d'autres, strictement personnels et égocentrés, en passant par toute une série de types intermédiaires, typiquement centrasiatiques, dans lesquels se mêlent relations personnelles, relations de parenté et relations d'affaires.
Résultant d'enquêtes menées selon le principe de l'observation participante, étalées sur plusieurs années, ces études montrent l'étonnante plasticité de ces réseaux qui, malgré les profonds bouleversements survenus en Asie centrale durant ces deux dernières décennies, ont su s'adapter aux nouvelles exigences nées de l'effondrement de l'Union soviétique. Dépourvus de limites précises, souvent difficiles à circonscrire, ces réseaux sont le reflet des modes de gouvernance, des systèmes de pensée politique, des solidarités traditionnelles et des méthodes d'appropriation du pouvoir et surtout d'acquisition de prestige, ce bien symbolique tant recherché par les populations de cette région.