Mon premier est un homme politique plus ou moins véreux, Marcello Ruffian, qui exerce ses ambitions dans une ville gangrenée par les meurtres et les arrangements et qui est convoitée par des mafieux venus de l'est. La forme du récit est celle d'un polar léger et divertissant. Mon deuxième, Kevin Archambault, est un quidam sans aspérité apparente mais qui veut agir pour que le monde soit plus juste.
Il prévoit pour cela un extraordinaire coup d'éclat. La forme du récit est celle d'un conte d'action et d'aventure qui croise la puissance des forces telluriques. Ainsi qu'une version présidentielle de Clint Eastwood. Mon troisième, Boum Loc (ou bien faut-il l'appeler Bastien Kocci ? ) a en lui un peu du premier, un peu du deuxième. Il a traversé l'existence en pratiquant parfois (souvent) des métiers peu recommandables et au crépuscule de sa vie il a perdu toute illusion.
La forme du récit est celle d'un patchwork intriqué au sein duquel les réflexions d'un moine servent de ciment et de chemin. Mon tout est une charade en trois temps, la compromission, la rébellion et la désillusion, qui met en scène avec humour et distance trois "bras cassés" volontaristes mais qui ne parviendront guère à autre chose qu'a dériver sans mener leur embarcation là où ils auraient souhaité lui trouver un ancrage.
Mon premier est un homme politique plus ou moins véreux, Marcello Ruffian, qui exerce ses ambitions dans une ville gangrenée par les meurtres et les arrangements et qui est convoitée par des mafieux venus de l'est. La forme du récit est celle d'un polar léger et divertissant. Mon deuxième, Kevin Archambault, est un quidam sans aspérité apparente mais qui veut agir pour que le monde soit plus juste.
Il prévoit pour cela un extraordinaire coup d'éclat. La forme du récit est celle d'un conte d'action et d'aventure qui croise la puissance des forces telluriques. Ainsi qu'une version présidentielle de Clint Eastwood. Mon troisième, Boum Loc (ou bien faut-il l'appeler Bastien Kocci ? ) a en lui un peu du premier, un peu du deuxième. Il a traversé l'existence en pratiquant parfois (souvent) des métiers peu recommandables et au crépuscule de sa vie il a perdu toute illusion.
La forme du récit est celle d'un patchwork intriqué au sein duquel les réflexions d'un moine servent de ciment et de chemin. Mon tout est une charade en trois temps, la compromission, la rébellion et la désillusion, qui met en scène avec humour et distance trois "bras cassés" volontaristes mais qui ne parviendront guère à autre chose qu'a dériver sans mener leur embarcation là où ils auraient souhaité lui trouver un ancrage.