POLDEV N° 3/2012
L'aide bousculée. Pays émergents et politiques globales

Par : Gilles Carbonnier

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  • Nombre de pages251
  • PrésentationBroché
  • Poids0.51 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-940415-82-3
  • EAN9782940415823
  • Date de parution01/04/2012
  • ÉditeurGraduate Institute Geneva

Résumé

La coopération internationale au développement est bousculée, tant par la perte de ses repères traditionnels Nord/Sud ou riches/pauvres que par la multiplication des problèmes globaux qu'elle est appelée à traiter. Aujourd'hui, la majorité des pauvres vivent dans des pays à revenu intermédiaire. La lutte contre la pauvreté devient alors plus politique que technique. Il s'agit de (re)penser la répartition des richesses au niveau national, bien au-delà des cadres d'intervention des agences d'aide.
En même temps, le système de gouvernance mondiale piétine et les agences se voient confier des missions de plus en plus vastes : préserver les biens publics mondiaux et combattre le changement climatique, l'insécurité alimentaire, les pandémies, les conflits armés, etc. Les agences bilatérales et multilatérales sauront-elles intégrer ces enjeux globaux dans leurs cadres opérationnels ? Comment les acteurs émergents de l'aide - tels l'Afrique du Sud, le Brésil et la Chine - s'inscrivent-ils dans cette coopération internationale aux prises avec des objectifs multiples et des logiques souvent contradictoires ?
La coopération internationale au développement est bousculée, tant par la perte de ses repères traditionnels Nord/Sud ou riches/pauvres que par la multiplication des problèmes globaux qu'elle est appelée à traiter. Aujourd'hui, la majorité des pauvres vivent dans des pays à revenu intermédiaire. La lutte contre la pauvreté devient alors plus politique que technique. Il s'agit de (re)penser la répartition des richesses au niveau national, bien au-delà des cadres d'intervention des agences d'aide.
En même temps, le système de gouvernance mondiale piétine et les agences se voient confier des missions de plus en plus vastes : préserver les biens publics mondiaux et combattre le changement climatique, l'insécurité alimentaire, les pandémies, les conflits armés, etc. Les agences bilatérales et multilatérales sauront-elles intégrer ces enjeux globaux dans leurs cadres opérationnels ? Comment les acteurs émergents de l'aide - tels l'Afrique du Sud, le Brésil et la Chine - s'inscrivent-ils dans cette coopération internationale aux prises avec des objectifs multiples et des logiques souvent contradictoires ?