Cahiers d'études germaniques N° 79
Théâtre, peinture et photographie à l'épreuve de l'intermédialité. Mutations conceptuelles et études de cas dans les aires francophones et germanophones

Par : Emmanuel Béhague, Hilda Inderwildi
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 9 juillet et le 16 juillet
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et sera expédié 6 à 12 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages322
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.525 kg
  • Dimensions16,0 cm × 23,9 cm × 1,8 cm
  • ISBN979-10-320-0285-8
  • EAN9791032002858
  • Date de parution26/11/2020
  • ÉditeurPU de Provence

Résumé

Les recherches sur l'intermédialité au théâtre portent très souvent sur la façon dont l'image vidéo reconfigure la représentation, et, en général, sur l'utilisation scénique des "nouvelles technologies" . A rebours de cette approche, le présent volume déplace le regard sur l'image fixe souvent laissée pour compte par les études intermédiales. Inscrite dans l'immobilité, celle-ci semble s'opposer à l'épaisseur et au mouvement des corps sur la scène, relever d'une autre forme d'espace et de temporalité, mais cette idée ne rend pas compte des rapports réciproques qu'entretiennent depuis toujours les arts scéniques et l'image fixe.
Les contributions rassemblées traitent de sa place sur la scène, de la façon dont la pensée de l'image nourrit celle du drame et des correspondances entre théâtre et peinture ou photographie.
Les recherches sur l'intermédialité au théâtre portent très souvent sur la façon dont l'image vidéo reconfigure la représentation, et, en général, sur l'utilisation scénique des "nouvelles technologies" . A rebours de cette approche, le présent volume déplace le regard sur l'image fixe souvent laissée pour compte par les études intermédiales. Inscrite dans l'immobilité, celle-ci semble s'opposer à l'épaisseur et au mouvement des corps sur la scène, relever d'une autre forme d'espace et de temporalité, mais cette idée ne rend pas compte des rapports réciproques qu'entretiennent depuis toujours les arts scéniques et l'image fixe.
Les contributions rassemblées traitent de sa place sur la scène, de la façon dont la pensée de l'image nourrit celle du drame et des correspondances entre théâtre et peinture ou photographie.