Annales de la Faculté de droit de Strasbourg N° 8, 2006
Action publique et globalisation

Par : Hajimé Yamamoto, Olivier Jouanjan, Jean-Marie Denquin

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 26 juin et le 2 juillet
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et sera expédié 6 à 12 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages212
  • Poids0.405 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-86820-300-7
  • EAN9782868203007
  • Date de parution06/03/2007
  • CollectionUniversité Robert Schuman
  • ÉditeurPU de Strasbourg

Résumé

Il est banal de constater que les conditions et les modalités de l'action publique ont été profondément modifiées depuis environ vingt-cinq ans. On peut en effet dater des années 1980 le moment où ces mutations s'accélèrent et modifient sensiblement les manières de gouverner, à l'intérieur comme sur la scène internationale. Les discours de la " mondialisation " ou de la " globalisation " signalent tous, dans des directions contradictoires et souvent erratiques, cette nouveauté du contexte dans lequel doivent désormais s'inscrire les politiques publiques.
La globalisation est un phénomène certainement complexe et traversé par des logiques opposées, celles de l'un, mues par l'interdépendance croissante, et celles du multiple, engendrées par l'effondrement du vieux monde bipolaire et de ses ordonnancements, lançant le monde à la fois sur la voie de l'intégration et celle du chaos. Le thème " Action publique et globalisation " constitue le premier moment d'une analyse plus large des modifications de l'art de gouverner et d'administrer dans un monde " globalisé ".
Essai : Éléments pour une théorie constitutionnelle. Dans cette étude Jean-Marie Denquin analyse, sous un angle critique, les éléments théoriques à partir desquels la doctrine constitutionnelle française construit son objet, le droit constitutionnel. Il met en évidence les apories d'une conception qui identifie le droit constitutionnel à la jurisprudence constitutionnelle ainsi que les difficultés inhérentes à la classification des régimes.
Il propose, à partir de là, une réflexion plus globale sur les conditions logiques de la conceptualisation et des typologies pour un droit constitutionnel qui ne peut purement et simplement abandonner sa dimension institutionnelle.
Il est banal de constater que les conditions et les modalités de l'action publique ont été profondément modifiées depuis environ vingt-cinq ans. On peut en effet dater des années 1980 le moment où ces mutations s'accélèrent et modifient sensiblement les manières de gouverner, à l'intérieur comme sur la scène internationale. Les discours de la " mondialisation " ou de la " globalisation " signalent tous, dans des directions contradictoires et souvent erratiques, cette nouveauté du contexte dans lequel doivent désormais s'inscrire les politiques publiques.
La globalisation est un phénomène certainement complexe et traversé par des logiques opposées, celles de l'un, mues par l'interdépendance croissante, et celles du multiple, engendrées par l'effondrement du vieux monde bipolaire et de ses ordonnancements, lançant le monde à la fois sur la voie de l'intégration et celle du chaos. Le thème " Action publique et globalisation " constitue le premier moment d'une analyse plus large des modifications de l'art de gouverner et d'administrer dans un monde " globalisé ".
Essai : Éléments pour une théorie constitutionnelle. Dans cette étude Jean-Marie Denquin analyse, sous un angle critique, les éléments théoriques à partir desquels la doctrine constitutionnelle française construit son objet, le droit constitutionnel. Il met en évidence les apories d'une conception qui identifie le droit constitutionnel à la jurisprudence constitutionnelle ainsi que les difficultés inhérentes à la classification des régimes.
Il propose, à partir de là, une réflexion plus globale sur les conditions logiques de la conceptualisation et des typologies pour un droit constitutionnel qui ne peut purement et simplement abandonner sa dimension institutionnelle.