Les derniers avis
Le temps, le temps
Avis posté le 2014-06-24
Dommage...
Alors que j'adore les autres romans de Martin Suter, j'ai eu BEAUCOUP de mal à entrer dans l'intrigue. J'ai terminé le roman pour savoir où il voulait en venir pour m'apercevoir que cette histoire est en fait une nouvelle, la forme "roman", beaucoup trop longue, ne lui convient pas...
Alors que j'adore les autres romans de Martin Suter, j'ai eu BEAUCOUP de mal à entrer dans l'intrigue. J'ai terminé le roman pour savoir où il voulait en venir pour m'apercevoir que cette histoire est en fait une nouvelle, la forme "roman", beaucoup trop longue, ne lui convient pas...
Le Diable, tout le temps
Avis posté le 2014-03-06
- XXe siècle
- Etats-Unis
- Ohio
- Virginie Occidentale
- Arvin Eugene Russell
Road-movie sanglant
Une écriture douce et mélodieuse pour décrire délicieusement les pires horreurs... violences terribles, banales et -presque-quotidiennes-pour tous les acteurs de ce roman (avec un panel de tous les sentiments qui peuvent pousser au meurtre). Venus d'horizons différents, leurs routes sinuent, puis convergent pour revenir, presque 20 ans plus tard, au point de départ : "le tronc à prières" ; et là s'ouvre un nouvel horizon pour le petit garçon d'autrefois, premier personnage du récit.
Une écriture douce et mélodieuse pour décrire délicieusement les pires horreurs... violences terribles, banales et -presque-quotidiennes-pour tous les acteurs de ce roman (avec un panel de tous les sentiments qui peuvent pousser au meurtre). Venus d'horizons différents, leurs routes sinuent, puis convergent pour revenir, presque 20 ans plus tard, au point de départ : "le tronc à prières" ; et là s'ouvre un nouvel horizon pour le petit garçon d'autrefois, premier personnage du récit.
Le grand Coeur
Avis posté le 2014-02-24
Bien, mais...
... l'auteur est tombé "amoureux" de son sujet. Jacques Cœur n'était sans doute pas l'homme sans défaut qu'on nous présente, il était sûrement du genre "requin de la finance" sans scrupules. Le point de vue de l'auteur est un peu agaçant au bout d'un moment ; ceci dit on reconnaît sa toujours belle écriture
... l'auteur est tombé "amoureux" de son sujet. Jacques Cœur n'était sans doute pas l'homme sans défaut qu'on nous présente, il était sûrement du genre "requin de la finance" sans scrupules. Le point de vue de l'auteur est un peu agaçant au bout d'un moment ; ceci dit on reconnaît sa toujours belle écriture