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Les dernières notes et avis
Notes et avis 1 à 8 sur un total de 17
Retour à Whitechapel
Avis posté le 2013-02-11
- Passionnant
retour à Whitechapel
On pensait que tout avait été écrit ou dit sur Jack l'éventreur mais il n'en est rien.
Un auteur, Michel Moatti a étudié durant trois ans sur le sujet et nous livre sous couvert d'un personnage fictif le fruit de ses recherches :
Amélia Pritlowe, infirmière en 1941, apprend par son père dans une lettre posthume qu'elle est la fille de la dernière victime de l'éventreur de Londres, Mary Jane Kelly.
Passé le choc de cette révélation, elle décide d'enquêter et s'inscrit dans le club très fermé de la "Filebox Sociéty", des experts ripperologues convaincus, afin de pouvoir consulter les archives et de reconstituer les derniers jours de sa mère et des autres victimes de Jack.
Le livre se découpe en chapitres qui alternent d'une époque à une autre (1888, époque des meurtres et 1941, année de la découverte de la filiation de Amélia).
Tout au long de son enquête, Mrs Pritlowe nous entraîne dans le whitchapel de l'Epoque Victorienne où la misère, la crasse, la condition des prostituées et les conditions de vie étaient si dures.
Elle découvre dans des articles de presse, dans des témoignages, certains indices non révélés et d'autres totalement loufoques.
Elle apprendra par un témoin encore vivant, qu'elle était présente et couchée à même le sol dans l'appartement du dessus lors de l'assasinat de sa mère et qu'elle aurait pu voir quelque chose au travers des lattes du plancher.
Pour essayer de faire remonter en surface ses souvenirs enfouis, elle aura recours à l'hypnose. On avance avec elle dans un brouillard aussi épais que Celui du Whitechapel de l'époque afin de découvrir le visage du ou des assassins.
Ne comptez pas sur moi pour vous dévoiler la fin, entrez tout simplement dans la théorie de Michel Moatti.
L'auteur a su habilement distiller le résultat de ses recherches au fil des pages. Un travail de titan face à l'ampleur de ce personnage sans visage qu'était Jack l'éventreur.
Un livre qui m'a passionnée et permis de connaître des faits et des détails dont j'ignorais l'existence.
Petit plus : Avec chaque exemplaire, l'éditeur offre un carnet d'enquête où l'on trouve pêle-mêle, des photos, des annotations de l'auteur.
On pensait que tout avait été écrit ou dit sur Jack l'éventreur mais il n'en est rien.
Un auteur, Michel Moatti a étudié durant trois ans sur le sujet et nous livre sous couvert d'un personnage fictif le fruit de ses recherches :
Amélia Pritlowe, infirmière en 1941, apprend par son père dans une lettre posthume qu'elle est la fille de la dernière victime de l'éventreur de Londres, Mary Jane Kelly.
Passé le choc de cette révélation, elle décide d'enquêter et s'inscrit dans le club très fermé de la "Filebox Sociéty", des experts ripperologues convaincus, afin de pouvoir consulter les archives et de reconstituer les derniers jours de sa mère et des autres victimes de Jack.
Le livre se découpe en chapitres qui alternent d'une époque à une autre (1888, époque des meurtres et 1941, année de la découverte de la filiation de Amélia).
Tout au long de son enquête, Mrs Pritlowe nous entraîne dans le whitchapel de l'Epoque Victorienne où la misère, la crasse, la condition des prostituées et les conditions de vie étaient si dures.
Elle découvre dans des articles de presse, dans des témoignages, certains indices non révélés et d'autres totalement loufoques.
Elle apprendra par un témoin encore vivant, qu'elle était présente et couchée à même le sol dans l'appartement du dessus lors de l'assasinat de sa mère et qu'elle aurait pu voir quelque chose au travers des lattes du plancher.
Pour essayer de faire remonter en surface ses souvenirs enfouis, elle aura recours à l'hypnose. On avance avec elle dans un brouillard aussi épais que Celui du Whitechapel de l'époque afin de découvrir le visage du ou des assassins.
Ne comptez pas sur moi pour vous dévoiler la fin, entrez tout simplement dans la théorie de Michel Moatti.
L'auteur a su habilement distiller le résultat de ses recherches au fil des pages. Un travail de titan face à l'ampleur de ce personnage sans visage qu'était Jack l'éventreur.
Un livre qui m'a passionnée et permis de connaître des faits et des détails dont j'ignorais l'existence.
Petit plus : Avec chaque exemplaire, l'éditeur offre un carnet d'enquête où l'on trouve pêle-mêle, des photos, des annotations de l'auteur.

Juste une ombre
Avis posté le 2013-02-06
juste une ombre de karine giebel
Mon avis
Cloé, jeune trentenaire réussit tout ce qu'elle entreprend.
Ambitieuse, féroce, elle brigue le poste de Présidente dans l'entreprise où elle travaille. Entre Bertrand dont elle est follement amoureuse et sa meilleure amie Carole, sa vie privée se déroule sans heurts.
Alors qu'elle rentre seule d'une soirée, elle est suivie et malmenée par un inconnu qui fuit. Dès lors au fil des jours, la présence de cet inconnu qui rôde autour d'elle la terrifie.
Peu à peu elle perd pied et bascule dans la paranoïa. Ses proches à qui elle se confie doutent de ses capacités mentales.
Seul Alexandre Gomez, un commissaire de police lui même en proie avec ses propres démons ( sa femme se meurt d'un cancer et il la veille chaque nuit, en attendant sa mort qui est inéluctable) la prend au sérieux.
Son jeune coéquipier, entraîné malgré lui par Alexandre dans une affaire difficile sera blessé et luttera sur son lit d'hôpital pour sa survie.
Le personnage de Cloé est très bien décrit, mis en place, on l'aime autant qu'on la déteste et on ne peut que se demander si elle sortira de cet enfer.
Cette ombre qui plane sur sa vie est machiavélique, perverse. On ressent et on vit le stress de cette jeune femme qui essaie de rester rationnelle.
Un thriller très psychologique sans effusions de sang, violent par les actes. Une écriture rythmée, des chapitres courts.
Un véritable jeu du "chat et de la souris".
Et un final qui est tout simplement à la hauteur de l'intrigue.
Mon avis
Cloé, jeune trentenaire réussit tout ce qu'elle entreprend.
Ambitieuse, féroce, elle brigue le poste de Présidente dans l'entreprise où elle travaille. Entre Bertrand dont elle est follement amoureuse et sa meilleure amie Carole, sa vie privée se déroule sans heurts.
Alors qu'elle rentre seule d'une soirée, elle est suivie et malmenée par un inconnu qui fuit. Dès lors au fil des jours, la présence de cet inconnu qui rôde autour d'elle la terrifie.
Peu à peu elle perd pied et bascule dans la paranoïa. Ses proches à qui elle se confie doutent de ses capacités mentales.
Seul Alexandre Gomez, un commissaire de police lui même en proie avec ses propres démons ( sa femme se meurt d'un cancer et il la veille chaque nuit, en attendant sa mort qui est inéluctable) la prend au sérieux.
Son jeune coéquipier, entraîné malgré lui par Alexandre dans une affaire difficile sera blessé et luttera sur son lit d'hôpital pour sa survie.
Le personnage de Cloé est très bien décrit, mis en place, on l'aime autant qu'on la déteste et on ne peut que se demander si elle sortira de cet enfer.
Cette ombre qui plane sur sa vie est machiavélique, perverse. On ressent et on vit le stress de cette jeune femme qui essaie de rester rationnelle.
Un thriller très psychologique sans effusions de sang, violent par les actes. Une écriture rythmée, des chapitres courts.
Un véritable jeu du "chat et de la souris".
Et un final qui est tout simplement à la hauteur de l'intrigue.

La princesse des glaces
Avis posté le 2013-02-03
- Inattendu
la princesse des glaces de camilla läckberg
Erica , écrivain, revient dans son village après le décès accidentel de ses parents. Confrontée malgré elle à la mort par suicide d' Alexandra son amie d'enfance, elle se verra contrainte de tenter de démêler les mensonges et secrets de cette amie qu'elle avait quelque peu perdue de vue depuis des années.
Ce qu'elle découvrira, aidée par son ami policier Patrik (dont elle deviendra l'amante), ébranlera sérieusement la vie paisible de la petite communauté ou elle réside.
Des personnages assez classiques dont un duo composé d'une jeune femme en proie à ses angoisses , avec ses problèmes de rondeurs, du temps qui passe, un flic en manque de sports et en lutte contre les affres du temps.
Des personnages auxquels on s'attache par leur simplicité.
Pas de grands frissons au fil des pages, mais une approche intéressante de l'intrigue mise en scène petit à petit sous forme de pièces de puzzle qui permet au lecteur de suivre et de comprendre le cheminement de l'intrigue.
Premier polar que je lis de cette auteure et aucune déception. On y trouve tous les ingrédients d'une bonne histoire : meurtres, rebondissements, personnages très bien travaillés, etc...
Le style de l'écriture est agréable, simple et précis.
La princesse des glaces est le premier volet d'une série de six polars. J'aurai donc plaisir à poursuivre les aventures d'Erica Falck.
Après La Princesse des glaces (2008 ; Babel noir n° 61), Le Prédicateur(2009), Le Tailleur de pierre (2009), L’Oiseau de mauvais augure (2010) etL’Enfant allemand (2011), tous parus en “Actes noirs”, La Sirène (2012) est le sixième volet de la série.
En 2011 a également paru en "Actes noirs" le roman policier Cyanure (hors série).
Erica , écrivain, revient dans son village après le décès accidentel de ses parents. Confrontée malgré elle à la mort par suicide d' Alexandra son amie d'enfance, elle se verra contrainte de tenter de démêler les mensonges et secrets de cette amie qu'elle avait quelque peu perdue de vue depuis des années.
Ce qu'elle découvrira, aidée par son ami policier Patrik (dont elle deviendra l'amante), ébranlera sérieusement la vie paisible de la petite communauté ou elle réside.
Des personnages assez classiques dont un duo composé d'une jeune femme en proie à ses angoisses , avec ses problèmes de rondeurs, du temps qui passe, un flic en manque de sports et en lutte contre les affres du temps.
Des personnages auxquels on s'attache par leur simplicité.
Pas de grands frissons au fil des pages, mais une approche intéressante de l'intrigue mise en scène petit à petit sous forme de pièces de puzzle qui permet au lecteur de suivre et de comprendre le cheminement de l'intrigue.
Premier polar que je lis de cette auteure et aucune déception. On y trouve tous les ingrédients d'une bonne histoire : meurtres, rebondissements, personnages très bien travaillés, etc...
Le style de l'écriture est agréable, simple et précis.
La princesse des glaces est le premier volet d'une série de six polars. J'aurai donc plaisir à poursuivre les aventures d'Erica Falck.
Après La Princesse des glaces (2008 ; Babel noir n° 61), Le Prédicateur(2009), Le Tailleur de pierre (2009), L’Oiseau de mauvais augure (2010) etL’Enfant allemand (2011), tous parus en “Actes noirs”, La Sirène (2012) est le sixième volet de la série.
En 2011 a également paru en "Actes noirs" le roman policier Cyanure (hors série).

Le tueur de l'ombre
Avis posté le 2013-01-31
- Passionnant
- Terrifiant
- Eblouissant
LE TUEUR DE L'OMBRE CLAIRE FAVAN
A peine le livre en mains, je n'ai pu m'empêcher de le commencer.
Quel bonheur de retrouver R.J et Samantha sur le point de devenir parents et Will Edwards qui, à l'aide d'un complice dont il ne connaît rien, s'évade..
Dès lors tout s'enchaîne : la traque du tueur, la vie de couple de RJ et Samantha vole en éclats, les doutes, les remises en questions... et surtout où se trouve donc ce tueur qui à nouveau tue en montant d'un cran supplémentaire dans l'horreur.
Je ne peux en dire plus sans dévoiler le fil du livre mais pour qui aura lu le tome 1, l'horreur des crimes sera totale.
J'ai été happée dès les premières pages et vécu pas à pas l'histoire et n'ai pas été déçue.
Préparer vous à avoir la chair de poule à la lecture de ce livre.
Vous l'aurez compris, Claire FAVAN est un auteur qui a fait de moi une future fan...
Je tiens à remercier Gaëlle pour le prêt de ce roman.
A peine le livre en mains, je n'ai pu m'empêcher de le commencer.
Quel bonheur de retrouver R.J et Samantha sur le point de devenir parents et Will Edwards qui, à l'aide d'un complice dont il ne connaît rien, s'évade..
Dès lors tout s'enchaîne : la traque du tueur, la vie de couple de RJ et Samantha vole en éclats, les doutes, les remises en questions... et surtout où se trouve donc ce tueur qui à nouveau tue en montant d'un cran supplémentaire dans l'horreur.
Je ne peux en dire plus sans dévoiler le fil du livre mais pour qui aura lu le tome 1, l'horreur des crimes sera totale.
J'ai été happée dès les premières pages et vécu pas à pas l'histoire et n'ai pas été déçue.
Préparer vous à avoir la chair de poule à la lecture de ce livre.
Vous l'aurez compris, Claire FAVAN est un auteur qui a fait de moi une future fan...
Je tiens à remercier Gaëlle pour le prêt de ce roman.

La première fois j'avais 8 ans
Avis posté le 2013-01-31
LA PREMIÈRE FOIS J'AVAIS 8 ANS SANDRINE LAMOUREUX
Ce livre est très centré sur lLICE, enfant de 8 ans qui débute sa carrière en tuant un enfant de son âge. Pupille de la nation, elle vit dans un foyer et continuera à tuer sans aucun regrets ni remords. Son physique mi femme-mi enfant la font passer inaperçue aux yeux de tous et cela lui permet de commettre ses crimes sans risque de se faire prendre…
Au fil des pages, elle nous livre ses pensées les plus noires, son dégoût de la vie, de l’amour, de l’amitié, de son corps…. Une asociale des plus caractérisée qui hait tout. Sa fascination pour la mort est à la limite du supportable. Une sociopathe au sein d’une société qu’elle hait …
Elle tue sans logique juste dans l’urgence de ses pulsions sans distinction d’âge ni de race dans le choix de ses victimes…et jamais personne ne fera le rapprochement avec ses crimes et cette jeune femme avec un corps d’adolescente qui refuse de se nourrir et ne survit qu’en buvant café et coca light.
Au fil des années elle trouvera en Achéron, un homme « son jumeau » du mal et après bien des années de meurtres en commun ou solitaire, elle le quittera (je ne peux vous en dire plus) et trouvera en Jésus (un vrai antéchrist) « son élève ».
Un être encore plus démoniaque, noir et sanguinaire qui la touchera et lui fera baisser sa garde… Cependant l’élève finira par dépasser le maître. On est tour à tour choqués, séduits… On découvre la vraie part d’ombre chez l’humain, son côté animal …
Un livre dur, sombre, noir mais si réel…
Ce livre est très centré sur lLICE, enfant de 8 ans qui débute sa carrière en tuant un enfant de son âge. Pupille de la nation, elle vit dans un foyer et continuera à tuer sans aucun regrets ni remords. Son physique mi femme-mi enfant la font passer inaperçue aux yeux de tous et cela lui permet de commettre ses crimes sans risque de se faire prendre…
Au fil des pages, elle nous livre ses pensées les plus noires, son dégoût de la vie, de l’amour, de l’amitié, de son corps…. Une asociale des plus caractérisée qui hait tout. Sa fascination pour la mort est à la limite du supportable. Une sociopathe au sein d’une société qu’elle hait …
Elle tue sans logique juste dans l’urgence de ses pulsions sans distinction d’âge ni de race dans le choix de ses victimes…et jamais personne ne fera le rapprochement avec ses crimes et cette jeune femme avec un corps d’adolescente qui refuse de se nourrir et ne survit qu’en buvant café et coca light.
Au fil des années elle trouvera en Achéron, un homme « son jumeau » du mal et après bien des années de meurtres en commun ou solitaire, elle le quittera (je ne peux vous en dire plus) et trouvera en Jésus (un vrai antéchrist) « son élève ».
Un être encore plus démoniaque, noir et sanguinaire qui la touchera et lui fera baisser sa garde… Cependant l’élève finira par dépasser le maître. On est tour à tour choqués, séduits… On découvre la vraie part d’ombre chez l’humain, son côté animal …
Un livre dur, sombre, noir mais si réel…

Le Mystère Sherlock
Avis posté le 2013-01-31
LE MYSTÈRE SHERLOCK J-M ERRE
Dix petits cochons pendus au plafond. Tirez leur la queue, ils ponderont des oeufs. Combien en voulez-vous ?" Une contine qui m'est venue immédiatement à l'esprit dès les premières pages... Amusant, non? Je n'ai malheureusement pas l'humour de J.M ERRE et quel humour !
De très bons jeux de mots adaptés aux situations absurdes et rocambolesques.
Le tableau est planté dès le début, un endroit quel que peu original (hôtel Baker street), des personnages plus loufouques les uns que les autres , des morts subites et subtiles, et Sherlock Holmes (ah ah ah !!! Elémentaire mon cher Watson).. Ses aventures, quel régal (pour les fans comme moi).... Peu ou pas de temps morts (jeu de mots) et des "scènes" (cela m'a fait penser à une pièce de théâtre qu'on visualise tout à fait avec des bruitages en tête)...
Des chapitres où le grotesque de la situation se dispute à l'incroyable burlesque !! Une fin toute en finesse. Un bel éclat de rire de Sherlock holmes...
De l'humour dans un thriller, eh oui j'ai lu , j'ai aimé et j'en redemande.
A lire sous peine de mourir très très triste !!
Dix petits cochons pendus au plafond. Tirez leur la queue, ils ponderont des oeufs. Combien en voulez-vous ?" Une contine qui m'est venue immédiatement à l'esprit dès les premières pages... Amusant, non? Je n'ai malheureusement pas l'humour de J.M ERRE et quel humour !
De très bons jeux de mots adaptés aux situations absurdes et rocambolesques.
Le tableau est planté dès le début, un endroit quel que peu original (hôtel Baker street), des personnages plus loufouques les uns que les autres , des morts subites et subtiles, et Sherlock Holmes (ah ah ah !!! Elémentaire mon cher Watson).. Ses aventures, quel régal (pour les fans comme moi).... Peu ou pas de temps morts (jeu de mots) et des "scènes" (cela m'a fait penser à une pièce de théâtre qu'on visualise tout à fait avec des bruitages en tête)...
Des chapitres où le grotesque de la situation se dispute à l'incroyable burlesque !! Une fin toute en finesse. Un bel éclat de rire de Sherlock holmes...
De l'humour dans un thriller, eh oui j'ai lu , j'ai aimé et j'en redemande.
A lire sous peine de mourir très très triste !!

Le Magasin des Suicides
Avis posté le 2013-01-31
LE MAGASIN DES SUICIDES JEAN TEULÉ
Dans ce court roman, nous faisons connaissance avec une famille des plus particulières : Les tuvache.
Le père, Mishima héritier d’une boutique spécialisée dans diverses techniques pour le suicide est épaulée par son épouse Lucrèce qui concocte des poisons en tous genres.
De cette union sont nés trois enfants :
L’aînée Maryline, une jeune fille mal dans sa peau ; Vincent, le fils aîné anorexique qui excelle dans l’invention des pires moyens de se suicider et Allan le fils bien heureux qui détonne avec ses sourires, sa joie de vivre dès le berceau.
Je ne connaissais pas l’auteur et je suis de suite tombée sous le charme de sa plume.
Je me suis amusée du début à la fin avec ce ton si grinçant, l’humour si noir et autant de positivité face à la mort…
Avec dérision il a su allier bonne humeur et tristesse.
J’ai aimé l’originalité du sujet, cet humour sombre, noir, le tout donnant un curieux mélange de joie et de bonheur. Un second degré très léger, très décadent mais ô combien bénéfique au moral. Une fin très burlesque mais non moins réussie. En conclusion, une belle leçon de vie.
Dans ce court roman, nous faisons connaissance avec une famille des plus particulières : Les tuvache.
Le père, Mishima héritier d’une boutique spécialisée dans diverses techniques pour le suicide est épaulée par son épouse Lucrèce qui concocte des poisons en tous genres.
De cette union sont nés trois enfants :
L’aînée Maryline, une jeune fille mal dans sa peau ; Vincent, le fils aîné anorexique qui excelle dans l’invention des pires moyens de se suicider et Allan le fils bien heureux qui détonne avec ses sourires, sa joie de vivre dès le berceau.
Je ne connaissais pas l’auteur et je suis de suite tombée sous le charme de sa plume.
Je me suis amusée du début à la fin avec ce ton si grinçant, l’humour si noir et autant de positivité face à la mort…
Avec dérision il a su allier bonne humeur et tristesse.
J’ai aimé l’originalité du sujet, cet humour sombre, noir, le tout donnant un curieux mélange de joie et de bonheur. Un second degré très léger, très décadent mais ô combien bénéfique au moral. Une fin très burlesque mais non moins réussie. En conclusion, une belle leçon de vie.