Les derniers avis
S.F. Art science et fiction
Avis posté le 2013-05-10
TIME ENOUGH AT LAST //
Une couverture plus qu'alléchante (pour ceux qui ont écouté en boucle "The Telephone Call" / "The Robots" / "The Model" de Kraftwerk), mais un ouvrage qui, curieusement (et ce, malgré ses nombreuses références) laissera peut-être le passionné d'art et de science fiction un peu sur sa faim...
On résistera difficilement au souvenir champêtre d'une ballade au bord de l'eau avec Frankenstein en 1931, ou de la voix d'Orson Welles lisant "la Guerre des Mondes", mais peut être aurait on aimé explorer plus encore quelques recoins de notre Quatrième Dimension bien-aimée.
ps. Une mention spéciale néanmoins, pour le travail d'Etienne Robertson,et plus particulièrement pour sa "Photographie Spirite" de 1941.
Une couverture plus qu'alléchante (pour ceux qui ont écouté en boucle "The Telephone Call" / "The Robots" / "The Model" de Kraftwerk), mais un ouvrage qui, curieusement (et ce, malgré ses nombreuses références) laissera peut-être le passionné d'art et de science fiction un peu sur sa faim...
On résistera difficilement au souvenir champêtre d'une ballade au bord de l'eau avec Frankenstein en 1931, ou de la voix d'Orson Welles lisant "la Guerre des Mondes", mais peut être aurait on aimé explorer plus encore quelques recoins de notre Quatrième Dimension bien-aimée.
ps. Une mention spéciale néanmoins, pour le travail d'Etienne Robertson,et plus particulièrement pour sa "Photographie Spirite" de 1941.
Tattooisme
Avis posté le 2013-05-02
I MAY BE SKIN AND BONES //
Un beau catalogue de tatoueurs contemporains, hélas toutefois un peu trop succinct à mon goût !
Si l'on retrouve quelques incontournables comme Tin-Tin et beaucoup d'artistes français, la scène internationale, en revanche, souffre d'une représentation plutôt minimaliste...
Un beau catalogue de tatoueurs contemporains, hélas toutefois un peu trop succinct à mon goût !
Si l'on retrouve quelques incontournables comme Tin-Tin et beaucoup d'artistes français, la scène internationale, en revanche, souffre d'une représentation plutôt minimaliste...