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Mélissa R

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Les dernières notes et avis

Notes et avis 1 à 8 sur un total de 256
C'est pas sorcier Harry !
Avis posté le 2019-08-11
    Fiction et réalité pour une enquête humoristique…
    L’humour un peu particulier et parfois un peu lourdingue de l’auteur, fait qu’il m’a été difficile de rentrer dans le roman, surtout que je suis une très grande fan d’Harry Potter, c’est d’ailleurs pour cela que j’ai choisi ce livre de Gordon ZOLA. Pour une lecture de vacances, ça passe bien, pas besoin de se prendre la tête. Il y a beaucoup de références diverses: mythologiques, à Harry Potter (logique)… Les jeux de mots sont très récurrents y compris dans les noms des personnages, ces jeux de mots ne sont pas toujours compréhensibles à la première lecture. Ce roman est vraiment à prendre au second voir même au troisième degré, il ne faut pas prendre l’auteur au sérieux sans pour autant le discréditer, il est donc difficile de trouver un juste milieu. Le roman se lit facilement, même entrecoupé, à voir ce qu’il en est du reste de la sage des Aventures de Guillaume SUITAUME, qui sont toutes des parodies. La fin est un peu bizarre, il y a trop de choses laissées en suspend: on ne sait pas ce qu’il advient de l’assistante de SUITAUME, ni de M. HONNERY…
    L’humour un peu particulier et parfois un peu lourdingue de l’auteur, fait qu’il m’a été difficile de rentrer dans le roman, surtout que je suis une très grande fan d’Harry Potter, c’est d’ailleurs pour cela que j’ai choisi ce livre de Gordon ZOLA. Pour une lecture de vacances, ça passe bien, pas besoin de se prendre la tête. Il y a beaucoup de références diverses: mythologiques, à Harry Potter (logique)… Les jeux de mots sont très récurrents y compris dans les noms des personnages, ces jeux de mots ne sont pas toujours compréhensibles à la première lecture. Ce roman est vraiment à prendre au second voir même au troisième degré, il ne faut pas prendre l’auteur au sérieux sans pour autant le discréditer, il est donc difficile de trouver un juste milieu. Le roman se lit facilement, même entrecoupé, à voir ce qu’il en est du reste de la sage des Aventures de Guillaume SUITAUME, qui sont toutes des parodies. La fin est un peu bizarre, il y a trop de choses laissées en suspend: on ne sait pas ce qu’il advient de l’assistante de SUITAUME, ni de M. HONNERY…
    Les mots qu'on ne me dit pas
    Avis posté le 2019-07-28
      Hilarant!
      J’adore! Une lecture rapide, drôle, émouvante. Une « héroïne » qui nous touche et pourrait être notre voisine tellement on la sent proche de nous. Véronique se confie à nous dans son premier roman autobiographique, elle raconte sa vie et surtout son enfance au sein d’une famille un peu particulière, effectivement ses parents sont sourds. À travers ce livre on grandit avec elle et on découvre ce que c’est pour un « entendant » d’évoluer dans ce monde silencieux, notamment par le biais de différentes anecdotes de sa vie, par exemple, elle écrit « «Salut, bande d’enculés !» C’est comme ça que je salue mes parents quand je rentre à la maison. Mes copains me croient jamais quand je leur dis qu’ils sont sourds. Je vais leur prouver que je dis vrai. «Salut, bande d’enculés !» Et ma mère vient m’embrasser tendrement. » Son histoire et l’extrait que je vous ai cité, vous rappelle peut-être un film sorti en 2014, La famille Bélier. C’est normal, le scénario écrit par la fille de Guy BEDOS est inspiré de la vie de Véronique POULAIN sans pour autant la calquée totalement. Véronique a travaillée durant plusieurs années comme assistante de Guy BEDOS, c’est là qu’elle a raconté différentes anecdotes à la scénariste qui s’en est servi pour son film. Ensuite, l’éditeur de Véronique a sorti le livre avant que le film soit sur les écrans. Je tiens ces informations de Véronique POULAIN elle-même, j’ai pu la rencontrer lors d’une des Rencontres Littéraires auxquelles j’assiste. J’ai ainsi pu faire dédicacé mon exemplaire du roman.
      J’adore! Une lecture rapide, drôle, émouvante. Une « héroïne » qui nous touche et pourrait être notre voisine tellement on la sent proche de nous. Véronique se confie à nous dans son premier roman autobiographique, elle raconte sa vie et surtout son enfance au sein d’une famille un peu particulière, effectivement ses parents sont sourds. À travers ce livre on grandit avec elle et on découvre ce que c’est pour un « entendant » d’évoluer dans ce monde silencieux, notamment par le biais de différentes anecdotes de sa vie, par exemple, elle écrit « «Salut, bande d’enculés !» C’est comme ça que je salue mes parents quand je rentre à la maison. Mes copains me croient jamais quand je leur dis qu’ils sont sourds. Je vais leur prouver que je dis vrai. «Salut, bande d’enculés !» Et ma mère vient m’embrasser tendrement. » Son histoire et l’extrait que je vous ai cité, vous rappelle peut-être un film sorti en 2014, La famille Bélier. C’est normal, le scénario écrit par la fille de Guy BEDOS est inspiré de la vie de Véronique POULAIN sans pour autant la calquée totalement. Véronique a travaillée durant plusieurs années comme assistante de Guy BEDOS, c’est là qu’elle a raconté différentes anecdotes à la scénariste qui s’en est servi pour son film. Ensuite, l’éditeur de Véronique a sorti le livre avant que le film soit sur les écrans. Je tiens ces informations de Véronique POULAIN elle-même, j’ai pu la rencontrer lors d’une des Rencontres Littéraires auxquelles j’assiste. J’ai ainsi pu faire dédicacé mon exemplaire du roman.
      Célibataire longue durée
      Avis posté le 2019-07-28
        Une Bridget JONES quinquagénaire et française!
        J’aurai volontiers écrit « Hilarant » comme sous-titre mais, je l’ai déjà utilisé pour le premier roman de Véronique POULAIN, il faut donc essayer de varier les plaisirs même si ce sous-titre colle parfaitement aux deux romans… En tout cas, j’avais vraiment hâte de lire ce nouveau roman de Véronique POULAIN. Notre héroïne Vanessa POULEMPLOI (difficile à assumer comme nom), se retrouve à 50ans pour faire le bilan de sa vie. Elle est veuve, célibataire, sans-emploi. Elle est la Célibataire de la famille, elle l’assume quelques fois et d’autres fois, elle passe tout son temps à essayer de se trouver un amoureux voir même un mari. Et elle recherche aussi un emploi tout en essayant de se reconvertir, elle en a un peu marre d’être l’assistante personnelle des autres. N’oublions pas d’ajouter qu’elle est en train de terminer l’écriture de son premier roman. Le tout avec de nombreux très d’humour, d’ailleurs elle le souligne elle-même, elle a tenté de créer sa « Bridget JONES ». Encore une fois, ça ne vous fait pas penser à quelqu’un?! Et oui, Véronique POULAIN s’est un peu inspirée encore une fois de sa vie pour écrire son deuxième roman. Il ne reste plus qu’à attendre le troisième pour voir de quoi il sera question (celui-ci étant pour l’instant à l’état d’idées dans la tête de l’auteur, selon ses propres mots).
        J’aurai volontiers écrit « Hilarant » comme sous-titre mais, je l’ai déjà utilisé pour le premier roman de Véronique POULAIN, il faut donc essayer de varier les plaisirs même si ce sous-titre colle parfaitement aux deux romans… En tout cas, j’avais vraiment hâte de lire ce nouveau roman de Véronique POULAIN. Notre héroïne Vanessa POULEMPLOI (difficile à assumer comme nom), se retrouve à 50ans pour faire le bilan de sa vie. Elle est veuve, célibataire, sans-emploi. Elle est la Célibataire de la famille, elle l’assume quelques fois et d’autres fois, elle passe tout son temps à essayer de se trouver un amoureux voir même un mari. Et elle recherche aussi un emploi tout en essayant de se reconvertir, elle en a un peu marre d’être l’assistante personnelle des autres. N’oublions pas d’ajouter qu’elle est en train de terminer l’écriture de son premier roman. Le tout avec de nombreux très d’humour, d’ailleurs elle le souligne elle-même, elle a tenté de créer sa « Bridget JONES ». Encore une fois, ça ne vous fait pas penser à quelqu’un?! Et oui, Véronique POULAIN s’est un peu inspirée encore une fois de sa vie pour écrire son deuxième roman. Il ne reste plus qu’à attendre le troisième pour voir de quoi il sera question (celui-ci étant pour l’instant à l’état d’idées dans la tête de l’auteur, selon ses propres mots).
          La fin approche…
          Ce tome se focalise sur Alice, durant son séjour dans l’obscur, domaine du Malin. Elle est à la recherche de la troisième lame nécessaire à Tom pour détruire le Malin, l’épée appelée Douloureuse. Alice sait très bien que cette lame sera utilisée lors du rituel dont elle fait partie, elle devra être sacrifiée pour sauver le monde. À l’occasion de son périple dans l’obscur, Alice se remémore son passé, sa vie en tant qu’apprentie de Lizzie L’Osseuse , sa rencontre avec Tom… On en apprend ainsi d’avantage sur notre petite sorcière. Elle est accompagnée par Thorne, une des apprenties de Grimalkin (la tueuse du camp des sorcières Malkin), celle-ci ayant été tuée, elle se retrouve dans l’obscur. Malheureusement, Alice va retrouver d’autres personnes décédées, ayant atterries dans l’obscur et ces dernières ne seront pas toutes très accueillantes. Avec ce douzième tome, le dénouement de l’aventure de nos deux jeunes gens semble approcher. Vont-ils arriver à détruire le Malin? Alice va-t-elle devoir mourir de la main de Tom?
          Ce tome se focalise sur Alice, durant son séjour dans l’obscur, domaine du Malin. Elle est à la recherche de la troisième lame nécessaire à Tom pour détruire le Malin, l’épée appelée Douloureuse. Alice sait très bien que cette lame sera utilisée lors du rituel dont elle fait partie, elle devra être sacrifiée pour sauver le monde. À l’occasion de son périple dans l’obscur, Alice se remémore son passé, sa vie en tant qu’apprentie de Lizzie L’Osseuse , sa rencontre avec Tom… On en apprend ainsi d’avantage sur notre petite sorcière. Elle est accompagnée par Thorne, une des apprenties de Grimalkin (la tueuse du camp des sorcières Malkin), celle-ci ayant été tuée, elle se retrouve dans l’obscur. Malheureusement, Alice va retrouver d’autres personnes décédées, ayant atterries dans l’obscur et ces dernières ne seront pas toutes très accueillantes. Avec ce douzième tome, le dénouement de l’aventure de nos deux jeunes gens semble approcher. Vont-ils arriver à détruire le Malin? Alice va-t-elle devoir mourir de la main de Tom?
          Après la rafle
          Avis posté le 2019-07-28
            Témoigner pour ne pas oublier, parce qu’il ne faut jamais que ça recommence
            Bon vous vous en doutez, vu le tire et le sous-titre de mon article, j’ai laissé de côté les histoires d’amour et les comédies pour revenir à un des sujets qui m’intéresse beaucoup et depuis bien longtemps et ce même si celui-ci me fait souvent pleurer. En Juillet 1942, Joseph a 11 ans, il vit à Paris avec ses parents et ses deux sœurs. Jusque là, rien de bien extraordinaire sauf que, Joseph est juif et il ne comprend pas ce que cela signifie « être juif ». Seulement voilà, de manière très brutale, il va apprendre que pour certaines personnes « être juif » ce n’est pas bien. Comme 12884 hommes, femmes et enfants, Joseph fait partie des juifs de la rafle du Vél’d’Hiv puis, il est déporté avec sa famille au camp de Beaune-la-Rolande. Ses parents et ses sœurs sont sélectionnés pour partir ailleurs, personne ne sait où, il découvrira plus tard que leur dernière destination n’est autre que Auschwitz… Peu de temps après la séparation d’avec sa famille, Joseph s’évade du camp de Beaune-la-Rolande avec un ami, Jo KOGAN. Mais, malheureusement, ils ne sont pas au bout de leur peine, loin de là. Dans ce roman, Joseph raconte son histoire à partir de Juillet 1942 jusqu’au moment où après avoir visité le camp de Auschwitz et rencontré la très célèbre Simone VEIL, il décide de ne plus se taire et de témoigner en racontant son histoire. Joseph WEISMANN est le seul enfant rescapé de la rafle du Vél’d’Hiv… Son histoire ainsi que celle de Anna TRAUBE (Evadée du Vél’d’Hiv, ma prochaine lecture) ont inspiré le film La Rafle. C’est d’ailleurs comme ça que j’ai découvert ces deux œuvres.
            Bon vous vous en doutez, vu le tire et le sous-titre de mon article, j’ai laissé de côté les histoires d’amour et les comédies pour revenir à un des sujets qui m’intéresse beaucoup et depuis bien longtemps et ce même si celui-ci me fait souvent pleurer. En Juillet 1942, Joseph a 11 ans, il vit à Paris avec ses parents et ses deux sœurs. Jusque là, rien de bien extraordinaire sauf que, Joseph est juif et il ne comprend pas ce que cela signifie « être juif ». Seulement voilà, de manière très brutale, il va apprendre que pour certaines personnes « être juif » ce n’est pas bien. Comme 12884 hommes, femmes et enfants, Joseph fait partie des juifs de la rafle du Vél’d’Hiv puis, il est déporté avec sa famille au camp de Beaune-la-Rolande. Ses parents et ses sœurs sont sélectionnés pour partir ailleurs, personne ne sait où, il découvrira plus tard que leur dernière destination n’est autre que Auschwitz… Peu de temps après la séparation d’avec sa famille, Joseph s’évade du camp de Beaune-la-Rolande avec un ami, Jo KOGAN. Mais, malheureusement, ils ne sont pas au bout de leur peine, loin de là. Dans ce roman, Joseph raconte son histoire à partir de Juillet 1942 jusqu’au moment où après avoir visité le camp de Auschwitz et rencontré la très célèbre Simone VEIL, il décide de ne plus se taire et de témoigner en racontant son histoire. Joseph WEISMANN est le seul enfant rescapé de la rafle du Vél’d’Hiv… Son histoire ainsi que celle de Anna TRAUBE (Evadée du Vél’d’Hiv, ma prochaine lecture) ont inspiré le film La Rafle. C’est d’ailleurs comme ça que j’ai découvert ces deux œuvres.
            Evadée du Vél’d’Hiv’
            Avis posté le 2019-07-28
              Une courageuse évasion!
              Aussitôt dit, aussitôt fait! J’ai lu d’une traite le témoignage d’Anna TRAUBE sur son évasion du Vél’d’Hiv lors de la rafle de Juillet 1942. Elle raconte comment avec l’aide d’un médecin de la Croix Rouge, d’un ingénieur des Eaux et Forêts (Gaston ROQUES), elle parvient à s’échapper du Vél’d’Hiv après y être restée quelques jours mais surtout, avant d’être déportée comme beaucoup d’autres juifs vers des camps. Cette jeune femme de 20 ans, a su faire preuve de beaucoup de courage et d’audace pour éviter le pire à sa mère, son frère et elle-même. Elle tient tête aux deux policiers français (un en civil, l’autre en uniforme) qui viennent l’arrêter, elle et sa famille bien-sûr. Son père étant déjà en Zone Libre et attendant leur arrivée, ce 16 Juillet, ils ne restent que Anna, sa mère et son frère dans l’appartement. Elle réussit à détourner l’attention des deux policiers pour faire échapper son frère et sa mère (qui grâce à elle ne connaitront pas « l’attente » du Vél’d’Hiv) malheureusement, elle ne réussit pas à s’échapper tout de suite. Mais, elle a su faire preuve de détermination et parvient à ses fins avant de partir dans un convoi pour un des nombreux camps. Après quelques temps à rester cacher, elle retrouve sa mère et son frère. Tous trois parviennent à rejoindre son père en Zone Libre mais non sans difficultés. Dans ce témoignage, Anna raconte aussi sa vie d’avant et sa vie d’après la Guerre. Comme je vous le disait dans l’article précédent, son histoire a inspirée un des personnages du film La Rafle malgré quelques différences, je trouve que l’esprit et le caractère d’Anna ressortent bien dans le jeu de l’actrice qui interprète son personnage. J’en profite pour faire une petite parenthèse sur la maison d’édition qui publie ce témoignage, Le Manuscrit.com, qui publie plusieurs témoignages dans une collection appelée « Témoignages de la Shoah » en collaboration avec la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, dont Simone VEIL est la présidente d’honneur. Ces livres possèdent plusieurs ISBN car ils sont disponibles sous différentes formes.
              Aussitôt dit, aussitôt fait! J’ai lu d’une traite le témoignage d’Anna TRAUBE sur son évasion du Vél’d’Hiv lors de la rafle de Juillet 1942. Elle raconte comment avec l’aide d’un médecin de la Croix Rouge, d’un ingénieur des Eaux et Forêts (Gaston ROQUES), elle parvient à s’échapper du Vél’d’Hiv après y être restée quelques jours mais surtout, avant d’être déportée comme beaucoup d’autres juifs vers des camps. Cette jeune femme de 20 ans, a su faire preuve de beaucoup de courage et d’audace pour éviter le pire à sa mère, son frère et elle-même. Elle tient tête aux deux policiers français (un en civil, l’autre en uniforme) qui viennent l’arrêter, elle et sa famille bien-sûr. Son père étant déjà en Zone Libre et attendant leur arrivée, ce 16 Juillet, ils ne restent que Anna, sa mère et son frère dans l’appartement. Elle réussit à détourner l’attention des deux policiers pour faire échapper son frère et sa mère (qui grâce à elle ne connaitront pas « l’attente » du Vél’d’Hiv) malheureusement, elle ne réussit pas à s’échapper tout de suite. Mais, elle a su faire preuve de détermination et parvient à ses fins avant de partir dans un convoi pour un des nombreux camps. Après quelques temps à rester cacher, elle retrouve sa mère et son frère. Tous trois parviennent à rejoindre son père en Zone Libre mais non sans difficultés. Dans ce témoignage, Anna raconte aussi sa vie d’avant et sa vie d’après la Guerre. Comme je vous le disait dans l’article précédent, son histoire a inspirée un des personnages du film La Rafle malgré quelques différences, je trouve que l’esprit et le caractère d’Anna ressortent bien dans le jeu de l’actrice qui interprète son personnage. J’en profite pour faire une petite parenthèse sur la maison d’édition qui publie ce témoignage, Le Manuscrit.com, qui publie plusieurs témoignages dans une collection appelée « Témoignages de la Shoah » en collaboration avec la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, dont Simone VEIL est la présidente d’honneur. Ces livres possèdent plusieurs ISBN car ils sont disponibles sous différentes formes.
              Le Huitième Livre de Vésale
              Avis posté le 2019-07-28
                Un mixte entre Jack L’Éventreur et Frankenstein!
                Et voilà j’ai enfin eu le temps de terminer ma dernière lecture de vacances! Oui oui je sais on est au mois d’Octobre mais, j’étais un peu surbookée ces derniers temps alors ce roman est resté un bout de temps sur ma table de nuit. Comme le titre l’indique c’est un roman en espagnol (lu par ma tante et moi-même) et une fois n’est pas coutume vu qu’il existe une traduction française, ma mère l’a lu aussi et verdict: on a adoré toutes les 3! Même si le début est un peu long comme souvent dans les livres espagnols, on s’attache vite au personnage principal Daniel AMAT, prof à Oxford de retour à Barcelone suite au décès « accidentel » de son père. Là-dessus, un journaliste prend contact avec lui, Bernat FLEIXA vient le voir et lui apprend que la mort de son père ne serait pas si accidentelle que ça. Va s’en suivre une enquête haletante dans le Barcelone de Mai 1888 soit quelques jours avant l’inauguration de l’Exposition Universelle. En plus, d’enquêter sur le décès de son paternel, Daniel et FLEIXA enquêtent sur une série de meurtres assez cruels et sanglants de jeunes filles issues d’un quartier défavorisé de Barcelone. Bien entendu, étant donné le milieu des victimes, ces meurtres sont vite « oubliés » par la police locale. Cependant, une vieille malédiction refait surface et accuse une espèce de monstre gigantesque d’être l’assassin. Nos deux compères vont recevoir l’aide d’un jeune étudiant en médecine Pau GILBERT, ainsi que celle de Irene une « vieille amie » de Daniel. Les trois enquêteurs improvisés vont assez vite découvrir que ces meurtres ont un lien avec un ancien manuscrit d’anatomie qui aurait été écrit par Vésale, son huitième livre. Pau GILBERT détient un terrible secret dont on ne se doute pas jusqu’à ce que celui-ci soit découvert. Tout comme Daniel qui se sent responsable de l’incendie qui a causé la mort de sa propre fiancée Angela (sœur ainée d’Irene) et de son frère Alex, culpabilité qui lui a fait fuir Barcelone 7 ans plus tôt… Une enquête pleine de rebondissements qui n’est pas sans rappeler l’œuvre d’un autre auteur espagnol que j’adore, Carlos RUIZ ZAFON. Déjà rien que le prénom du personnage principal, Daniel, chez ZAFON, il s’agit d’un des personnages principaux de sa quadrilogie sur le Cimetière des Livres Oubliés (et oui, je peux dire quadrilogie puisque la sortie du 4ème et normalement dernier tome est prévue pour cette fin d’année 2016 en Espagne). Autre point commun la recherche d’un livre mystérieux que l’on retrouve aussi dans l’une des œuvres de ZAFON. Heureusement, il s’agit d’œuvres bien différentes et les deux auteurs ont quand même un style différent aussi.
                Et voilà j’ai enfin eu le temps de terminer ma dernière lecture de vacances! Oui oui je sais on est au mois d’Octobre mais, j’étais un peu surbookée ces derniers temps alors ce roman est resté un bout de temps sur ma table de nuit. Comme le titre l’indique c’est un roman en espagnol (lu par ma tante et moi-même) et une fois n’est pas coutume vu qu’il existe une traduction française, ma mère l’a lu aussi et verdict: on a adoré toutes les 3! Même si le début est un peu long comme souvent dans les livres espagnols, on s’attache vite au personnage principal Daniel AMAT, prof à Oxford de retour à Barcelone suite au décès « accidentel » de son père. Là-dessus, un journaliste prend contact avec lui, Bernat FLEIXA vient le voir et lui apprend que la mort de son père ne serait pas si accidentelle que ça. Va s’en suivre une enquête haletante dans le Barcelone de Mai 1888 soit quelques jours avant l’inauguration de l’Exposition Universelle. En plus, d’enquêter sur le décès de son paternel, Daniel et FLEIXA enquêtent sur une série de meurtres assez cruels et sanglants de jeunes filles issues d’un quartier défavorisé de Barcelone. Bien entendu, étant donné le milieu des victimes, ces meurtres sont vite « oubliés » par la police locale. Cependant, une vieille malédiction refait surface et accuse une espèce de monstre gigantesque d’être l’assassin. Nos deux compères vont recevoir l’aide d’un jeune étudiant en médecine Pau GILBERT, ainsi que celle de Irene une « vieille amie » de Daniel. Les trois enquêteurs improvisés vont assez vite découvrir que ces meurtres ont un lien avec un ancien manuscrit d’anatomie qui aurait été écrit par Vésale, son huitième livre. Pau GILBERT détient un terrible secret dont on ne se doute pas jusqu’à ce que celui-ci soit découvert. Tout comme Daniel qui se sent responsable de l’incendie qui a causé la mort de sa propre fiancée Angela (sœur ainée d’Irene) et de son frère Alex, culpabilité qui lui a fait fuir Barcelone 7 ans plus tôt… Une enquête pleine de rebondissements qui n’est pas sans rappeler l’œuvre d’un autre auteur espagnol que j’adore, Carlos RUIZ ZAFON. Déjà rien que le prénom du personnage principal, Daniel, chez ZAFON, il s’agit d’un des personnages principaux de sa quadrilogie sur le Cimetière des Livres Oubliés (et oui, je peux dire quadrilogie puisque la sortie du 4ème et normalement dernier tome est prévue pour cette fin d’année 2016 en Espagne). Autre point commun la recherche d’un livre mystérieux que l’on retrouve aussi dans l’une des œuvres de ZAFON. Heureusement, il s’agit d’œuvres bien différentes et les deux auteurs ont quand même un style différent aussi.