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Jill, une jeune aveugle est en révolte contre son handicap. Un soir,elle est témoin d'une altercation et les nuits suivantes, elle se met à rêver en couleurs d'évènements qui vont avoir lieu. Elle décide, avec l'aide de ses amis, de suivre son instinct et d'aller jusqu'au bout, au risque d'y perdre la vie. l'auteur qui voit, aurait pu avoir tout faux d'écrire un roman sur l'histoire d'une jeune aveugle. C'est sans compter, avant d'écrire ce roman, d'avoir passé quelques temps à l'Institut National des jeunes aveugles et s'être ainsi enrichie du quotidien de cette école et des élèves pour créer ses personnages ainsi que l'ambiance. Résultat 10/10. Avec Jill, j'ai goûté senti et vu autrement. je ne me suis jamais ennuyée et j'ai eu du mal à quitter les personnages.

Décembre 2008, les pyrénées, un petit matin glacial : les ouvriers d'une centrale hydroélèctrique découvrent le cadavre d'un cheval sans tête. Le même jour, une jeune psychologue arrive pour son premier poste dans le centre psychiatrique de haute sécurité qui surplombe la vallée. Le commandant Servaz se voit confier cette enquête. Glacé est le premier roman de Bernard Minier. Il porte bien son nom. L'intrigue est originale et bien menée. Quelques longueurs. Les personnages sont intéressants et bien décrits. Une belle réussite pour un premier roman. A la fin, le suspense est intense...

le monde derrière la porte est un roman qui parle de liberté. Faisant comprendre qu'il faut savoir dire non et ne pas se laisser guider par la loi des plus forts. L'histoire est très bien écrite et si les personnages sortent de l'imaginaire de l'auteur, les faits, eux sont réels..un livre pour les adolescents à partir de 12 ans.

Un beau roman d'amour, loin de l'eau de rose...un roman que vous commencez et que vous finissez de suite. on est pris dans le livre dès la seconde page. A ce moment là, deux solutions : on le pose ou on y plonge dedans. Moi, j'y ai plongé dedans, véritablement... On est bluffé !!! Pour un coup d'essai, c'est un coup de maître.

Ces textes écrits sont faits pour être lu à haute voix. Celui-ci est fort. Celui qui l'avait tabassé pour une histoire de rien du tout est mort. Demba n'est plus. Un accident. Du coup celui qui avait souhaité sa mort ne dort plus. S'entame alors un dialogue imaginaire pour aller, enfin, à la rencontre de celui qui n'est plus. Mettre des mots sur la douleur, prononcer les mots qui ne l'ont jamais été et chasser ceux qu'on n'aurait jamais du dire...