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Les derniers avis

American Psycho
Avis posté le 2017-06-08
    Il est beau, il est jeune, il est riche. Sa petite amie est belle, elle est jeune, elle est riche. Leurs amis sont beau, jeunes et riches. Il a tout, mais attention, il travaille comme un forcené pour ça. Avec juste assez de coke pour supporter le stress. Et il est fou aussi, mais très très fou. La nuit, il viole, torture, et souvent tue. A cela aussi, il travaille beaucoup. Patrik Bateman est terrifiant... Ames sensibles s'abstenir ! Hallucinant !
    Il est beau, il est jeune, il est riche. Sa petite amie est belle, elle est jeune, elle est riche. Leurs amis sont beau, jeunes et riches. Il a tout, mais attention, il travaille comme un forcené pour ça. Avec juste assez de coke pour supporter le stress. Et il est fou aussi, mais très très fou. La nuit, il viole, torture, et souvent tue. A cela aussi, il travaille beaucoup. Patrik Bateman est terrifiant... Ames sensibles s'abstenir ! Hallucinant !
    La chute des princes
    Avis posté le 2014-07-28
      LA CHUTE DES PRINCES
      Dans les années 80, le narrateur était une étoile des plus brillantes dans le firmament de la finance New-Yorkaise. Mais l’argent appelle l’argent, et son style de vie, de plus en plus excessif et coupé de la réalité, l’entraîne vers un renvoi brutal. Vingt ans plus tard, ce simple plouc évoque les souvenirs tantôt chéris, tantôt honteux, de cette époque. Un roman porté par une magnifique écriture et un personnage tout en contradictions, qu’on ne peut totalement ni aimer ni détester.
      Dans les années 80, le narrateur était une étoile des plus brillantes dans le firmament de la finance New-Yorkaise. Mais l’argent appelle l’argent, et son style de vie, de plus en plus excessif et coupé de la réalité, l’entraîne vers un renvoi brutal. Vingt ans plus tard, ce simple plouc évoque les souvenirs tantôt chéris, tantôt honteux, de cette époque. Un roman porté par une magnifique écriture et un personnage tout en contradictions, qu’on ne peut totalement ni aimer ni détester.
      Expo 58
      Avis posté le 2014-03-06
        EXPO 58
        Ce qui ressort d’emblée à la lecture de ce nouveau roman de Jonathan Coe, c’est que l’auteur s’est amusé à l’écrire, comme un enfant ravi que sonne la récréation. Il nous livre ainsi, avec l’humour qui toujours le caractérise, un pur roman d’espionnage, en forme de bonbon acide, drôle et mélancolique. Mais que l’on ne s’y trompe pas, Expo 58 est certes un roman d’espionnage, mais écrit par l’un des plus brillants représentants des lettres anglaises contemporaines. Et ce qui le distingue justement de tous ses prédécesseurs (Ian Flemming, John Le Carré, Graham Greene, Somerset Maugham…) c’est que cet auteur là a bien le recul nécessaire pour y apporter une certaine dose d’autocritique nationale. Et si Thomas Fowley, modeste fonctionnaire pris dans la toile de cet étrange engrenage durant l’Exposition Universelle de Bruxelles de 1958, vous rappelle de par sa velléité quelque personnage sorti tout droit d’un film de Sir Alfred Hitchcock (on songe notamment aux 39 marches ou à Une femme disparaît) ce n’est en aucun cas du au seul hasard… « le Maître du suspens » étant l’un des cinéastes favoris de l’auteur de Testament à l’anglaise.
        Ce qui ressort d’emblée à la lecture de ce nouveau roman de Jonathan Coe, c’est que l’auteur s’est amusé à l’écrire, comme un enfant ravi que sonne la récréation. Il nous livre ainsi, avec l’humour qui toujours le caractérise, un pur roman d’espionnage, en forme de bonbon acide, drôle et mélancolique. Mais que l’on ne s’y trompe pas, Expo 58 est certes un roman d’espionnage, mais écrit par l’un des plus brillants représentants des lettres anglaises contemporaines. Et ce qui le distingue justement de tous ses prédécesseurs (Ian Flemming, John Le Carré, Graham Greene, Somerset Maugham…) c’est que cet auteur là a bien le recul nécessaire pour y apporter une certaine dose d’autocritique nationale. Et si Thomas Fowley, modeste fonctionnaire pris dans la toile de cet étrange engrenage durant l’Exposition Universelle de Bruxelles de 1958, vous rappelle de par sa velléité quelque personnage sorti tout droit d’un film de Sir Alfred Hitchcock (on songe notamment aux 39 marches ou à Une femme disparaît) ce n’est en aucun cas du au seul hasard… « le Maître du suspens » étant l’un des cinéastes favoris de l’auteur de Testament à l’anglaise.
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