Les derniers avis

Ce qui n'a pas de nom
Avis posté le 2017-10-10
Un dernier hommage
Piedad Bonnett raconte avec une infini douceur et une grande tendresse, la disparition de son fils, Daniel. Elle revient sur sa vie, sur cette maladie qu'elle déteste nommer, mais qui n'est autre que la schizophrénie. Elle se remémore les souvenirs, bons ou mauvais, qu'elle a de son fils. Comme un dernier hommage, digne de cette personne, qui a subit la maladie et les contradictions de son propre esprit. Un très beau récit, sans être affligeant, qui permet de lui rendre un bel hommage et de faire découvrir les principales conséquences de cette maladie sur ceux qui en souffrent.
Piedad Bonnett raconte avec une infini douceur et une grande tendresse, la disparition de son fils, Daniel. Elle revient sur sa vie, sur cette maladie qu'elle déteste nommer, mais qui n'est autre que la schizophrénie. Elle se remémore les souvenirs, bons ou mauvais, qu'elle a de son fils. Comme un dernier hommage, digne de cette personne, qui a subit la maladie et les contradictions de son propre esprit. Un très beau récit, sans être affligeant, qui permet de lui rendre un bel hommage et de faire découvrir les principales conséquences de cette maladie sur ceux qui en souffrent.

Jusqu'à la bête
Avis posté le 2017-10-10
De l'homme à la bête...
Erwan vit dans la folie d'une chaîne d'abattoir ; dans ce rythme, dans les "clacs", dans cette chair animale, dans ce non-respect qui le hantent. Une folie qu'on découvre dans ce livre, à l'écriture en parfaite symbiose avec la vie du personnage principale. Une folie expliquée, avec une psychologie importante et des pensées qui s'entrelaces. Une folie qui s'en va toujours vers Laëtitia, celle qui l'a peut-être poussée un peu plus vers cette folie. Un livre au sujet trop peu abordé des conditions de travail en abattoir, du froid, du rythme, des gestes répétés, du non-respect, mais surtout, de la vie avec la chair sanguinolente des animaux...
Erwan vit dans la folie d'une chaîne d'abattoir ; dans ce rythme, dans les "clacs", dans cette chair animale, dans ce non-respect qui le hantent. Une folie qu'on découvre dans ce livre, à l'écriture en parfaite symbiose avec la vie du personnage principale. Une folie expliquée, avec une psychologie importante et des pensées qui s'entrelaces. Une folie qui s'en va toujours vers Laëtitia, celle qui l'a peut-être poussée un peu plus vers cette folie. Un livre au sujet trop peu abordé des conditions de travail en abattoir, du froid, du rythme, des gestes répétés, du non-respect, mais surtout, de la vie avec la chair sanguinolente des animaux...

Ce qu'on entend quand on écoute chanter les rivières
Avis posté le 2017-09-29
La beauté des vies qui s'entrecroisent
Ce qu'on entend quand on écoute chanter les rivières, porte bien son titre et annonce une lecture poétique. Une poésie écrite par la vie, là où des vies s'entrecroisent en des liens si fin. C'est à Salisbury que la vie de cinq personnes va s'exposer à nous. Cinq personnes qui ont très peu en commun, qui se sont peut-être déjà croisés, qui se sont peut-être déjà parlés. Cinq histoires différentes, tournant autour de leur vie personnelle. Et pourtant, ces cinq histoires se confondent en un même drame : un accident de voiture.
Un livre beau et émouvant, magnifiquement écrit.
Ce qu'on entend quand on écoute chanter les rivières, porte bien son titre et annonce une lecture poétique. Une poésie écrite par la vie, là où des vies s'entrecroisent en des liens si fin. C'est à Salisbury que la vie de cinq personnes va s'exposer à nous. Cinq personnes qui ont très peu en commun, qui se sont peut-être déjà croisés, qui se sont peut-être déjà parlés. Cinq histoires différentes, tournant autour de leur vie personnelle. Et pourtant, ces cinq histoires se confondent en un même drame : un accident de voiture.
Un livre beau et émouvant, magnifiquement écrit.