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Les dernières notes et avis
Notes et avis 1 à 8 sur un total de 15
La bibliothèque des coeurs cabossés
Avis posté le 2016-05-07
Pour les lecteurs qui aiment les gens qui aiment les livres !!!
Un roman plein de fraicheur, avec un dénouement et une fin réjouissante.
Joli moment de lecture, tendre et plein d'humour.
Un roman plein de fraicheur, avec un dénouement et une fin réjouissante.
Joli moment de lecture, tendre et plein d'humour.

A la grâce des hommes
Avis posté le 2016-02-13
Bouleversant
Inspiré de la véritable histoire d'Agnes Magnúsdóttir, la dernière femme condamnée à mort en Islande, A la grâce des hommes est un roman sur la vérité, celle que nous croyons savoir et celle à laquelle nous voulons croire.
A lire pour un beau moment d'émotions ...
Inspiré de la véritable histoire d'Agnes Magnúsdóttir, la dernière femme condamnée à mort en Islande, A la grâce des hommes est un roman sur la vérité, celle que nous croyons savoir et celle à laquelle nous voulons croire.
A lire pour un beau moment d'émotions ...

Les demeurées
Avis posté le 2016-02-02
Bouleversant
Voici deux vies minuscules, comme les aime Michon...
Que dire de ce petit texte, si ce n'est qu'il est bouleversant, qu'il prend aux tripes, qu'il est somptueusement écrit...
Des phrases courtes, ciselées et imparables. Tout est gratté jusqu'à l'os, pas un mot de trop.
Simplement sublime.
Voici deux vies minuscules, comme les aime Michon...
Que dire de ce petit texte, si ce n'est qu'il est bouleversant, qu'il prend aux tripes, qu'il est somptueusement écrit...
Des phrases courtes, ciselées et imparables. Tout est gratté jusqu'à l'os, pas un mot de trop.
Simplement sublime.

Le Jour des corneilles
Avis posté le 2016-02-02
un ovni littéraire
La vie au grand air a, parait-il, des effets bénéfiques sur le développement de l'enfant. Toutefois, il conviendra de tempérer ce jugement après la lecture de cet ouvrage...
Au cœur de la forêt, à l’écart du reste des hommes, un père et son jeune fils mènent une existence sauvage, dure et désolée, semblable à celles des bêtes qu’ils côtoient. Un jour, l’inévitable collision entre cette réalité et celle du monde civilisé se produit, et le fragile édifice mental construit par eux se lézarde, puis s’écroule.
Une langue étrange et jubilatoire, « dérangeant » lexique et syntaxe : par l'emploi d'archaïsmes, de tournures stylistiques rappelant le vieux français, par l'utilisation de régionalismes, d'argot et de néologismes, Beauchemin invente une prose sans pareille qu'on n'a pour autant aucun mal à décrypter.
Un livre qui vous hante, bien après la fin de la lecture.
La vie au grand air a, parait-il, des effets bénéfiques sur le développement de l'enfant. Toutefois, il conviendra de tempérer ce jugement après la lecture de cet ouvrage...
Au cœur de la forêt, à l’écart du reste des hommes, un père et son jeune fils mènent une existence sauvage, dure et désolée, semblable à celles des bêtes qu’ils côtoient. Un jour, l’inévitable collision entre cette réalité et celle du monde civilisé se produit, et le fragile édifice mental construit par eux se lézarde, puis s’écroule.
Une langue étrange et jubilatoire, « dérangeant » lexique et syntaxe : par l'emploi d'archaïsmes, de tournures stylistiques rappelant le vieux français, par l'utilisation de régionalismes, d'argot et de néologismes, Beauchemin invente une prose sans pareille qu'on n'a pour autant aucun mal à décrypter.
Un livre qui vous hante, bien après la fin de la lecture.

Swan Peak
Avis posté le 2016-01-30
Lecture obligatoire.
C'est mon collègue et néanmoins camarade, Alex, spécialiste international du polar, qui m'a initiée à ce genre littéraire. Lui qui m'a obligée (si.) à lire James Lee Burke. Grand bien lui a pris ...
Parce que Burke, c’est un élan autant qu’un chant, un cri, une énergie, une empathie. Une ode à l’humain, et à la nature. Une ode à la littérature, surtout.
C'est mon collègue et néanmoins camarade, Alex, spécialiste international du polar, qui m'a initiée à ce genre littéraire. Lui qui m'a obligée (si.) à lire James Lee Burke. Grand bien lui a pris ...
Parce que Burke, c’est un élan autant qu’un chant, un cri, une énergie, une empathie. Une ode à l’humain, et à la nature. Une ode à la littérature, surtout.