Zineb Sedira. L'espace d'un instant
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- Nombre de pages160
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.785 kg
- Dimensions24,8 cm × 31,2 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-915704-90-7
- EAN9782915704907
- Date de parution12/09/2019
- ÉditeurJeu de Paume
- PréfacierQuentin Bajac
- TraducteurJohn Tittensor
- TraducteurNicolas Vieillescazes
Résumé
L'exposition, qui réunit cinq installations multimédia et un certain nombre d'oeuvres photographiques et filmiques, éclaire les différents bouleversements qu'a connus le XXe siècle : l'intense développement de l'industrie automobile (The End of the Road, 2010) et l'essor du fret, correspondant à l'exploitation et à la transformation globale, sous l'égide des pays occidentaux, des ressources primaires et secondaires, conséquence directe de l'impérialisme (Lighthouse in the Sea of Time, 2010 ; Broken Lens, 2011 ; Transmettre en abyme, 2012) ; l'histoire et l'indépendance des pays colonisés du continent africain, en particulier de l'Algérie (Standing Here Wondering Which Way to Go, 2019 ; Laughter in Hell, 2018).
Par son implication personnelle et sa présence physique dans ses oeuvres, Sedira établit un rapport direct entre leur nature documentaire et son engagement d'artiste, qu'elle voit comme un engagement du côté de la société et de la démocratie. Coproduite par le Jeu de Paume et présentée pour la première fois, Standing Here Wondering Which Way to Go (2019) est née d'une réflexion sur la période utopique que furent les années 1960, en particulier sur le rôle qu'eut l'Algérie dans les mouvements de libération africains après son indépendance, en 1962.
L'artiste a eu l'idée de cette oeuvre en explorant les archives cinématographiques d'Alger, où elle a découvert de nombreux films militants des années 1960. Dans cette oeuvre, se côtoient des documents d'archives, des séquences de films trouvés, divers objets faisant référence à l'éthos artistique de l'époque ainsi qu'un diorama du salon de Sedira contenant aussi bien ses meubles que ses affaires personnelles, et qui sont ici partagés avec le public.
Publié à l'occasion de l'exposition éponyme au Jeu de Paume, Paris, du 15 octobre 2019 au 19 janvier 2020.
Par son implication personnelle et sa présence physique dans ses oeuvres, Sedira établit un rapport direct entre leur nature documentaire et son engagement d'artiste, qu'elle voit comme un engagement du côté de la société et de la démocratie. Coproduite par le Jeu de Paume et présentée pour la première fois, Standing Here Wondering Which Way to Go (2019) est née d'une réflexion sur la période utopique que furent les années 1960, en particulier sur le rôle qu'eut l'Algérie dans les mouvements de libération africains après son indépendance, en 1962.
L'artiste a eu l'idée de cette oeuvre en explorant les archives cinématographiques d'Alger, où elle a découvert de nombreux films militants des années 1960. Dans cette oeuvre, se côtoient des documents d'archives, des séquences de films trouvés, divers objets faisant référence à l'éthos artistique de l'époque ainsi qu'un diorama du salon de Sedira contenant aussi bien ses meubles que ses affaires personnelles, et qui sont ici partagés avec le public.
Publié à l'occasion de l'exposition éponyme au Jeu de Paume, Paris, du 15 octobre 2019 au 19 janvier 2020.
L'exposition, qui réunit cinq installations multimédia et un certain nombre d'oeuvres photographiques et filmiques, éclaire les différents bouleversements qu'a connus le XXe siècle : l'intense développement de l'industrie automobile (The End of the Road, 2010) et l'essor du fret, correspondant à l'exploitation et à la transformation globale, sous l'égide des pays occidentaux, des ressources primaires et secondaires, conséquence directe de l'impérialisme (Lighthouse in the Sea of Time, 2010 ; Broken Lens, 2011 ; Transmettre en abyme, 2012) ; l'histoire et l'indépendance des pays colonisés du continent africain, en particulier de l'Algérie (Standing Here Wondering Which Way to Go, 2019 ; Laughter in Hell, 2018).
Par son implication personnelle et sa présence physique dans ses oeuvres, Sedira établit un rapport direct entre leur nature documentaire et son engagement d'artiste, qu'elle voit comme un engagement du côté de la société et de la démocratie. Coproduite par le Jeu de Paume et présentée pour la première fois, Standing Here Wondering Which Way to Go (2019) est née d'une réflexion sur la période utopique que furent les années 1960, en particulier sur le rôle qu'eut l'Algérie dans les mouvements de libération africains après son indépendance, en 1962.
L'artiste a eu l'idée de cette oeuvre en explorant les archives cinématographiques d'Alger, où elle a découvert de nombreux films militants des années 1960. Dans cette oeuvre, se côtoient des documents d'archives, des séquences de films trouvés, divers objets faisant référence à l'éthos artistique de l'époque ainsi qu'un diorama du salon de Sedira contenant aussi bien ses meubles que ses affaires personnelles, et qui sont ici partagés avec le public.
Publié à l'occasion de l'exposition éponyme au Jeu de Paume, Paris, du 15 octobre 2019 au 19 janvier 2020.
Par son implication personnelle et sa présence physique dans ses oeuvres, Sedira établit un rapport direct entre leur nature documentaire et son engagement d'artiste, qu'elle voit comme un engagement du côté de la société et de la démocratie. Coproduite par le Jeu de Paume et présentée pour la première fois, Standing Here Wondering Which Way to Go (2019) est née d'une réflexion sur la période utopique que furent les années 1960, en particulier sur le rôle qu'eut l'Algérie dans les mouvements de libération africains après son indépendance, en 1962.
L'artiste a eu l'idée de cette oeuvre en explorant les archives cinématographiques d'Alger, où elle a découvert de nombreux films militants des années 1960. Dans cette oeuvre, se côtoient des documents d'archives, des séquences de films trouvés, divers objets faisant référence à l'éthos artistique de l'époque ainsi qu'un diorama du salon de Sedira contenant aussi bien ses meubles que ses affaires personnelles, et qui sont ici partagés avec le public.
Publié à l'occasion de l'exposition éponyme au Jeu de Paume, Paris, du 15 octobre 2019 au 19 janvier 2020.