Xénophilie suicidaire. De la réprobation de sa propre tradition à une crise d’identité religieuse et culturelle chez les Ewés et Fons du Togo
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- Nombre de pages344
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.52 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,9 cm
- ISBN978-2-336-47497-7
- EAN9782336474977
- Date de parution19/12/2024
- CollectionEtudes africaines
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Depuis des décennies, les recherches scientifiques sur les religions et cultures des peuples africains n'ont cessé de questionner les conséquences des répressions coloniales sur le continent. Ainsi, force est de noter l'influence de la violence épistémique sur l'image de soi ainsi que sur les valeurs et l'identité culturelles des peuples du continent. Cet ouvrage vient participer à ce débat postcolonial, tout en brisant la position habituelle des études culturelles et des théories postcoloniales, qui supposent un colonisateur puissant et un colonisé victimisé? ; car l'origine de la misère des peuples colonisés n'est pas qu'exogène. Elle est aussi, pour ne pas dire qu'elle est tout d'abord endogène et d'un caractère xénophile. La xénophilie (l'amour pour l'autre et ses coutumes) cesse d'être une qualité quand elle commence par donner du fil à retordre à la personne elle-même et par lui nuire. Elle devient, dans ce cas, suicidaire. D'où la théorie néologique de "? xénophilie suicidaire ? ".
Depuis des décennies, les recherches scientifiques sur les religions et cultures des peuples africains n'ont cessé de questionner les conséquences des répressions coloniales sur le continent. Ainsi, force est de noter l'influence de la violence épistémique sur l'image de soi ainsi que sur les valeurs et l'identité culturelles des peuples du continent. Cet ouvrage vient participer à ce débat postcolonial, tout en brisant la position habituelle des études culturelles et des théories postcoloniales, qui supposent un colonisateur puissant et un colonisé victimisé? ; car l'origine de la misère des peuples colonisés n'est pas qu'exogène. Elle est aussi, pour ne pas dire qu'elle est tout d'abord endogène et d'un caractère xénophile. La xénophilie (l'amour pour l'autre et ses coutumes) cesse d'être une qualité quand elle commence par donner du fil à retordre à la personne elle-même et par lui nuire. Elle devient, dans ce cas, suicidaire. D'où la théorie néologique de "? xénophilie suicidaire ? ".