Voltaire et Rousseau. La révolution des esprits
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- Nombre de pages378
- Poids0.526 kg
- Dimensions13,7 cm × 20,5 cm × 3,6 cm
- ISBN978-2-8105-0431-2
- EAN9782810504312
- Date de parution30/11/2012
- CollectionIls ont fait la France
- ÉditeurLe Figaro Editions
- PréfacierMax Gallo
Résumé
Voltaire et Rousseau sont les deux incarnations majeures du siècle des Lumières, ce XVIIIe siècle que leurs oeuvres, leurs actions, leur rayonnement ont façonné. L'histoire les a unis au Panthéon, le haut lieu de la mémoire nationale. Ils sont morts tous les deux en 1778, Voltaire le 30 mai, Rousseau le 2 juillet. Ils sont bien du même siècle, mais Goethe a raison d'écrire qu'avec Voltaire un siècle s'achèvera alors qu'avec Rousseau un autre commence...
Tous deux ont conquis la notoriété par leurs écrits. Et cependant leurs vies s'opposent. Voltaire est "rassasié de gloire, libre au sein de l'abondance". Rousseau se vit comme un "obscur, tourmenté d'un mal sans remède", marié à une servante sans instruction. Voltaire, libéral, anglophile, tolérant, défend l'individu contre le pouvoir absolu et le fanatisme, Rousseau pense l'homme en société. Voltaire vit en grand seigneur à Ferney, Rousseau dévoile son être : il écrit Les Confessions, dont le succès et l'influence sont immédiats.
Jean-Jacques nous console, nous émeut, il porte l'espérance, l'amour. Voltaire nous rappelle qu'il faut voir "les hommes tels qu'ils sont en effet, des insectes se dévorant les uns les autres sur un petit atome de boue". La France ne cesse de dialoguer avec Voltaire et Rousseau. Ils occupent l'un et l'autre, l'un contre l'autre, une place centrale dans notre identité.
Tous deux ont conquis la notoriété par leurs écrits. Et cependant leurs vies s'opposent. Voltaire est "rassasié de gloire, libre au sein de l'abondance". Rousseau se vit comme un "obscur, tourmenté d'un mal sans remède", marié à une servante sans instruction. Voltaire, libéral, anglophile, tolérant, défend l'individu contre le pouvoir absolu et le fanatisme, Rousseau pense l'homme en société. Voltaire vit en grand seigneur à Ferney, Rousseau dévoile son être : il écrit Les Confessions, dont le succès et l'influence sont immédiats.
Jean-Jacques nous console, nous émeut, il porte l'espérance, l'amour. Voltaire nous rappelle qu'il faut voir "les hommes tels qu'ils sont en effet, des insectes se dévorant les uns les autres sur un petit atome de boue". La France ne cesse de dialoguer avec Voltaire et Rousseau. Ils occupent l'un et l'autre, l'un contre l'autre, une place centrale dans notre identité.
Voltaire et Rousseau sont les deux incarnations majeures du siècle des Lumières, ce XVIIIe siècle que leurs oeuvres, leurs actions, leur rayonnement ont façonné. L'histoire les a unis au Panthéon, le haut lieu de la mémoire nationale. Ils sont morts tous les deux en 1778, Voltaire le 30 mai, Rousseau le 2 juillet. Ils sont bien du même siècle, mais Goethe a raison d'écrire qu'avec Voltaire un siècle s'achèvera alors qu'avec Rousseau un autre commence...
Tous deux ont conquis la notoriété par leurs écrits. Et cependant leurs vies s'opposent. Voltaire est "rassasié de gloire, libre au sein de l'abondance". Rousseau se vit comme un "obscur, tourmenté d'un mal sans remède", marié à une servante sans instruction. Voltaire, libéral, anglophile, tolérant, défend l'individu contre le pouvoir absolu et le fanatisme, Rousseau pense l'homme en société. Voltaire vit en grand seigneur à Ferney, Rousseau dévoile son être : il écrit Les Confessions, dont le succès et l'influence sont immédiats.
Jean-Jacques nous console, nous émeut, il porte l'espérance, l'amour. Voltaire nous rappelle qu'il faut voir "les hommes tels qu'ils sont en effet, des insectes se dévorant les uns les autres sur un petit atome de boue". La France ne cesse de dialoguer avec Voltaire et Rousseau. Ils occupent l'un et l'autre, l'un contre l'autre, une place centrale dans notre identité.
Tous deux ont conquis la notoriété par leurs écrits. Et cependant leurs vies s'opposent. Voltaire est "rassasié de gloire, libre au sein de l'abondance". Rousseau se vit comme un "obscur, tourmenté d'un mal sans remède", marié à une servante sans instruction. Voltaire, libéral, anglophile, tolérant, défend l'individu contre le pouvoir absolu et le fanatisme, Rousseau pense l'homme en société. Voltaire vit en grand seigneur à Ferney, Rousseau dévoile son être : il écrit Les Confessions, dont le succès et l'influence sont immédiats.
Jean-Jacques nous console, nous émeut, il porte l'espérance, l'amour. Voltaire nous rappelle qu'il faut voir "les hommes tels qu'ils sont en effet, des insectes se dévorant les uns les autres sur un petit atome de boue". La France ne cesse de dialoguer avec Voltaire et Rousseau. Ils occupent l'un et l'autre, l'un contre l'autre, une place centrale dans notre identité.