Vers les refuges du massif du Mont-Blanc
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- Nombre de pages163
- PrésentationBroché
- Poids0.3 kg
- Dimensions12,5 cm × 21,0 cm × 1,2 cm
- ISBN2-84182-229-X
- EAN9782841822294
- Date de parution31/05/2006
- ÉditeurRando (editions)
Résumé
Les refuges du massif du Mont-Blanc forment un sujet dense et composent des buts de randonnées
inestimables. Les endroits où ils sont construits
traduisent directement notre relation avec la beauté du monde. Souvent, la meilleure façon d'aimer la montagne c'est de s'y endormir, d'y passer du temps ; laisser le soleil sombrer, doucement s'éteindre derrière des crêtes inconnues. Aller en montagne, avouons-le, c'est essayer de se l'approprier, d'en ramener un bout à chaque fois pour le garder au chaud et le ressortir une fois l'hiver venu.
Alors, on peut la partager avec les amis et, à force d'en parler, la chérir un peu plus. Ce guide est un acte d'amour. Il se propose - avec passion et attention - de conduire les montagnards et aussi les apprentis randonneurs vers quarante-sept destinations cernant le toit de l'Europe et qui ont pour nom refuge, chalet-refuge, cabane et même bivouac. Il suffira là de deux ou trois heures de marche tranquille quant ailleurs il sera nécessaire de s'équiper avec piolet, crampons et casque.
A tous les sens du terme : être au pied de l'échelle. Pour envisager une prochaine fois d'aller plus haut, plus loin, plus froid ; ou pour grimper les volées de barreaux. Par exemple, pour le plus simple des plaisirs : Porcherey, la Balme, la Croix du Bonhomme. Pour les premiers frissons : Bellachat, Tré-la-Tête. Pour le vertige : les Conscrits, le Dolent, Gonella... Et en prime : trois liaisons inter-refuges pour renouveler les moments de grâce.
De retour à la vie d'en bas, vous vous direz que si faire de la montagne c'est d'abord se dépouiller de ses effets inutiles, dormir en montagne c'est revenir à l'essentiel.
Alors, on peut la partager avec les amis et, à force d'en parler, la chérir un peu plus. Ce guide est un acte d'amour. Il se propose - avec passion et attention - de conduire les montagnards et aussi les apprentis randonneurs vers quarante-sept destinations cernant le toit de l'Europe et qui ont pour nom refuge, chalet-refuge, cabane et même bivouac. Il suffira là de deux ou trois heures de marche tranquille quant ailleurs il sera nécessaire de s'équiper avec piolet, crampons et casque.
A tous les sens du terme : être au pied de l'échelle. Pour envisager une prochaine fois d'aller plus haut, plus loin, plus froid ; ou pour grimper les volées de barreaux. Par exemple, pour le plus simple des plaisirs : Porcherey, la Balme, la Croix du Bonhomme. Pour les premiers frissons : Bellachat, Tré-la-Tête. Pour le vertige : les Conscrits, le Dolent, Gonella... Et en prime : trois liaisons inter-refuges pour renouveler les moments de grâce.
De retour à la vie d'en bas, vous vous direz que si faire de la montagne c'est d'abord se dépouiller de ses effets inutiles, dormir en montagne c'est revenir à l'essentiel.
Les refuges du massif du Mont-Blanc forment un sujet dense et composent des buts de randonnées
inestimables. Les endroits où ils sont construits
traduisent directement notre relation avec la beauté du monde. Souvent, la meilleure façon d'aimer la montagne c'est de s'y endormir, d'y passer du temps ; laisser le soleil sombrer, doucement s'éteindre derrière des crêtes inconnues. Aller en montagne, avouons-le, c'est essayer de se l'approprier, d'en ramener un bout à chaque fois pour le garder au chaud et le ressortir une fois l'hiver venu.
Alors, on peut la partager avec les amis et, à force d'en parler, la chérir un peu plus. Ce guide est un acte d'amour. Il se propose - avec passion et attention - de conduire les montagnards et aussi les apprentis randonneurs vers quarante-sept destinations cernant le toit de l'Europe et qui ont pour nom refuge, chalet-refuge, cabane et même bivouac. Il suffira là de deux ou trois heures de marche tranquille quant ailleurs il sera nécessaire de s'équiper avec piolet, crampons et casque.
A tous les sens du terme : être au pied de l'échelle. Pour envisager une prochaine fois d'aller plus haut, plus loin, plus froid ; ou pour grimper les volées de barreaux. Par exemple, pour le plus simple des plaisirs : Porcherey, la Balme, la Croix du Bonhomme. Pour les premiers frissons : Bellachat, Tré-la-Tête. Pour le vertige : les Conscrits, le Dolent, Gonella... Et en prime : trois liaisons inter-refuges pour renouveler les moments de grâce.
De retour à la vie d'en bas, vous vous direz que si faire de la montagne c'est d'abord se dépouiller de ses effets inutiles, dormir en montagne c'est revenir à l'essentiel.
Alors, on peut la partager avec les amis et, à force d'en parler, la chérir un peu plus. Ce guide est un acte d'amour. Il se propose - avec passion et attention - de conduire les montagnards et aussi les apprentis randonneurs vers quarante-sept destinations cernant le toit de l'Europe et qui ont pour nom refuge, chalet-refuge, cabane et même bivouac. Il suffira là de deux ou trois heures de marche tranquille quant ailleurs il sera nécessaire de s'équiper avec piolet, crampons et casque.
A tous les sens du terme : être au pied de l'échelle. Pour envisager une prochaine fois d'aller plus haut, plus loin, plus froid ; ou pour grimper les volées de barreaux. Par exemple, pour le plus simple des plaisirs : Porcherey, la Balme, la Croix du Bonhomme. Pour les premiers frissons : Bellachat, Tré-la-Tête. Pour le vertige : les Conscrits, le Dolent, Gonella... Et en prime : trois liaisons inter-refuges pour renouveler les moments de grâce.
De retour à la vie d'en bas, vous vous direz que si faire de la montagne c'est d'abord se dépouiller de ses effets inutiles, dormir en montagne c'est revenir à l'essentiel.