Vaisseaux aériens. L'épopée des ballons dirigeables de 1850 à nos jours

Par : Jean Molveau, Francis Bedei

Formats :

Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
  • Nombre de pages96
  • PrésentationBroché
  • Poids0.412 kg
  • Dimensions19,0 cm × 26,0 cm × 0,6 cm
  • ISBN978-2-35743-074-7
  • EAN9782357430747
  • Date de parution15/03/2011
  • CollectionEn images
  • ÉditeurMarines Editions

Résumé

Le ballon dirigeable fut le premier moyen de locomotion aérienne permettant de se déplacer, non plus au gré des vents, comme avec les montgolfières ou les " sphériques " à gaz, mais selon sa volonté. Cette indépendance, les chercheurs mirent un siècle à la conquérir. Elle s'affirma durant la seconde moitié du XIXe siècle avec le perfectionnement et l'allégement des moteurs. Le dirigeable, bien que demeurant fragile et imposant une infrastructure colossale, et malgré le risque inhérent à l'utilisation d'un gaz hautement inflammable (l'hydrogène, jusqu'à son remplacement par l'hélium plus coûteux), gagna ses lettres de noblesse. D'abord comme meurtrière arme de guerre, puis comme luxueux paquebot aérien. Antérieur à l'avion, il s'imposa pour les voyages au long cours, avant de péricliter, suite à la catastrophe de l'Hindenburg, en 1937, qui marqua durablement les esprits. Pourtant, il n'a jamais totalement disparu ; mieux, il semble devoir renaître aujourd'hui.
Le ballon dirigeable fut le premier moyen de locomotion aérienne permettant de se déplacer, non plus au gré des vents, comme avec les montgolfières ou les " sphériques " à gaz, mais selon sa volonté. Cette indépendance, les chercheurs mirent un siècle à la conquérir. Elle s'affirma durant la seconde moitié du XIXe siècle avec le perfectionnement et l'allégement des moteurs. Le dirigeable, bien que demeurant fragile et imposant une infrastructure colossale, et malgré le risque inhérent à l'utilisation d'un gaz hautement inflammable (l'hydrogène, jusqu'à son remplacement par l'hélium plus coûteux), gagna ses lettres de noblesse. D'abord comme meurtrière arme de guerre, puis comme luxueux paquebot aérien. Antérieur à l'avion, il s'imposa pour les voyages au long cours, avant de péricliter, suite à la catastrophe de l'Hindenburg, en 1937, qui marqua durablement les esprits. Pourtant, il n'a jamais totalement disparu ; mieux, il semble devoir renaître aujourd'hui.