Une reconstitution passionnelle. Correspondance 1980-1987
Par : ,Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 28 juin et le 1 juilletCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 28 juin et le 1 juillet
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages94
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.16 kg
- Dimensions11,8 cm × 18,5 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-07-012694-1
- EAN9782070126941
- Date de parution15/10/2009
- ÉditeurGallimard
Résumé
Le présent volume de correspondance nous révèle l'existence d'une amitié littéraire et humaine entre Marguerite Yourcenar et Silvia Baron Supervielle, peu ou pas connue du grand public. Leur échange épistolaire - que nous présentons ici dans l'édition d'Achmy Halley, spécialiste de l'oeuvre yourcenarienne - témoigne d'une belle complicité entre les deux femmes. Cette connivence s'articule notamment autour des préoccupations communes que sont la langue, la traduction, et bien sûr l'écriture.
Entamé au début des années quatre-vingt lorsque Silvia Baron Supervielle écrit à Petite Plaisance pour évoquer ses traductions des poèmes de Marguerite Yourcenar vers l'espagnol, l'échange s'interrompt en juillet 1987, peu de temps avant la mort de la romancière française. Ces missives ouvrent une fenêtre sur la vie quotidienne des deux épistolières, mais elles nous font surtout pénétrer dans les arcanes de la création, aussi bien chez l'académicienne déjà couverte de gloire que chez la jeune poétesse et essayiste à la fois française et argentine encore relativement méconnue à l'époque.
Rehaussé d'une introduction émouvante de Silvia Baron Supervielle, qui revient sur son séjour à Petite Plaisance, ainsi que d'une postface d'Achmy Halley, l'ouvrage éclaire d'un jour singulier deux oeuvres littéraires radicalement différentes, mais écrites par deux femmes qui ont su établir entre elles un vrai partage artistique et humain.
Entamé au début des années quatre-vingt lorsque Silvia Baron Supervielle écrit à Petite Plaisance pour évoquer ses traductions des poèmes de Marguerite Yourcenar vers l'espagnol, l'échange s'interrompt en juillet 1987, peu de temps avant la mort de la romancière française. Ces missives ouvrent une fenêtre sur la vie quotidienne des deux épistolières, mais elles nous font surtout pénétrer dans les arcanes de la création, aussi bien chez l'académicienne déjà couverte de gloire que chez la jeune poétesse et essayiste à la fois française et argentine encore relativement méconnue à l'époque.
Rehaussé d'une introduction émouvante de Silvia Baron Supervielle, qui revient sur son séjour à Petite Plaisance, ainsi que d'une postface d'Achmy Halley, l'ouvrage éclaire d'un jour singulier deux oeuvres littéraires radicalement différentes, mais écrites par deux femmes qui ont su établir entre elles un vrai partage artistique et humain.
Le présent volume de correspondance nous révèle l'existence d'une amitié littéraire et humaine entre Marguerite Yourcenar et Silvia Baron Supervielle, peu ou pas connue du grand public. Leur échange épistolaire - que nous présentons ici dans l'édition d'Achmy Halley, spécialiste de l'oeuvre yourcenarienne - témoigne d'une belle complicité entre les deux femmes. Cette connivence s'articule notamment autour des préoccupations communes que sont la langue, la traduction, et bien sûr l'écriture.
Entamé au début des années quatre-vingt lorsque Silvia Baron Supervielle écrit à Petite Plaisance pour évoquer ses traductions des poèmes de Marguerite Yourcenar vers l'espagnol, l'échange s'interrompt en juillet 1987, peu de temps avant la mort de la romancière française. Ces missives ouvrent une fenêtre sur la vie quotidienne des deux épistolières, mais elles nous font surtout pénétrer dans les arcanes de la création, aussi bien chez l'académicienne déjà couverte de gloire que chez la jeune poétesse et essayiste à la fois française et argentine encore relativement méconnue à l'époque.
Rehaussé d'une introduction émouvante de Silvia Baron Supervielle, qui revient sur son séjour à Petite Plaisance, ainsi que d'une postface d'Achmy Halley, l'ouvrage éclaire d'un jour singulier deux oeuvres littéraires radicalement différentes, mais écrites par deux femmes qui ont su établir entre elles un vrai partage artistique et humain.
Entamé au début des années quatre-vingt lorsque Silvia Baron Supervielle écrit à Petite Plaisance pour évoquer ses traductions des poèmes de Marguerite Yourcenar vers l'espagnol, l'échange s'interrompt en juillet 1987, peu de temps avant la mort de la romancière française. Ces missives ouvrent une fenêtre sur la vie quotidienne des deux épistolières, mais elles nous font surtout pénétrer dans les arcanes de la création, aussi bien chez l'académicienne déjà couverte de gloire que chez la jeune poétesse et essayiste à la fois française et argentine encore relativement méconnue à l'époque.
Rehaussé d'une introduction émouvante de Silvia Baron Supervielle, qui revient sur son séjour à Petite Plaisance, ainsi que d'une postface d'Achmy Halley, l'ouvrage éclaire d'un jour singulier deux oeuvres littéraires radicalement différentes, mais écrites par deux femmes qui ont su établir entre elles un vrai partage artistique et humain.