Un itinéraire communiste. Du PCF à l'altercommunisme
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- Nombre de pages141
- PrésentationBroché
- Poids0.196 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-84950-431-4
- EAN9782849504314
- Date de parution11/09/2014
- CollectionDes paroles en actes
- ÉditeurSyllepse (Editions)
- PréfacierSerge Wolikow
Résumé
Durant toutes ces années – il s’est établi entre-temps à Paris –, il vit au rythme des luttes et des combats menés par le PCF, mais affronte également les difficultés et le déclin que subit son parti. Responsable des relations internationales des jeunesses communistes, il découvre le monde soviétique et ses réalités. Au PCF, il sera successivement membre du comité fédéral de la fédération du Val-d’Oise, puis secrétaire de la section de Garges-lès-Gonesse et secrétaire de la fédération du Val-d’Oise de 1996 à 2008.
Il est élu membre du conseil national en 1996 et devient membre de l’exécutif national de 2003 à 2010. Il exerce trois mandats électifs : conseiller municipal à Garges-lès-Gonesse de 1989 à 1995, puis conseiller général et conseiller municipal de Bezons de 2001 à 2008. Paradoxe, cet ancien ouvrier qui a quitté l’école à 14 ans sera ensuite responsable des questions d’éducation de son parti dont il sera ensuite un spécialiste reconnu dans ce domaine.
Dans son Itinéraire communiste, Bernard Calabuig témoigne de sa vie de responsable communiste, avec ses doutes et ses incertitudes grandissants sur l’avenir du PCF. Il interroge le mode de fonctionnement du PCF, qu’il a connu de l’intérieur, et dénonce son autisme face aux nouvelles réalités sociales et culturelles. Engagé dans le mouvement de rénovation et de refondation du PCF, il prend le parti pris au sein de l’Association des communistes unitaires de contribuer à refonder une nouvelle pensée communiste pour le 21 e siècle et quitte le PCF en 2010, avec de nombreux militants refondateurs.
Pour autant, sa rupture avec le «Parti» n’est ni un renoncement au communisme ni un reniement des années passées à lutter aux côtés des exploités et des opprimés, tant en France que dans le monde. Altercommuniste, il nous donne à lire un ouvrage qui vise à ouvrir le débat sur l’urgence de faire vivre un communisme renouvelé, débarrassé des scories du passé et adapté à la crise civilisationnelle du nouveau siècle.
Il est élu membre du conseil national en 1996 et devient membre de l’exécutif national de 2003 à 2010. Il exerce trois mandats électifs : conseiller municipal à Garges-lès-Gonesse de 1989 à 1995, puis conseiller général et conseiller municipal de Bezons de 2001 à 2008. Paradoxe, cet ancien ouvrier qui a quitté l’école à 14 ans sera ensuite responsable des questions d’éducation de son parti dont il sera ensuite un spécialiste reconnu dans ce domaine.
Dans son Itinéraire communiste, Bernard Calabuig témoigne de sa vie de responsable communiste, avec ses doutes et ses incertitudes grandissants sur l’avenir du PCF. Il interroge le mode de fonctionnement du PCF, qu’il a connu de l’intérieur, et dénonce son autisme face aux nouvelles réalités sociales et culturelles. Engagé dans le mouvement de rénovation et de refondation du PCF, il prend le parti pris au sein de l’Association des communistes unitaires de contribuer à refonder une nouvelle pensée communiste pour le 21 e siècle et quitte le PCF en 2010, avec de nombreux militants refondateurs.
Pour autant, sa rupture avec le «Parti» n’est ni un renoncement au communisme ni un reniement des années passées à lutter aux côtés des exploités et des opprimés, tant en France que dans le monde. Altercommuniste, il nous donne à lire un ouvrage qui vise à ouvrir le débat sur l’urgence de faire vivre un communisme renouvelé, débarrassé des scories du passé et adapté à la crise civilisationnelle du nouveau siècle.
Durant toutes ces années – il s’est établi entre-temps à Paris –, il vit au rythme des luttes et des combats menés par le PCF, mais affronte également les difficultés et le déclin que subit son parti. Responsable des relations internationales des jeunesses communistes, il découvre le monde soviétique et ses réalités. Au PCF, il sera successivement membre du comité fédéral de la fédération du Val-d’Oise, puis secrétaire de la section de Garges-lès-Gonesse et secrétaire de la fédération du Val-d’Oise de 1996 à 2008.
Il est élu membre du conseil national en 1996 et devient membre de l’exécutif national de 2003 à 2010. Il exerce trois mandats électifs : conseiller municipal à Garges-lès-Gonesse de 1989 à 1995, puis conseiller général et conseiller municipal de Bezons de 2001 à 2008. Paradoxe, cet ancien ouvrier qui a quitté l’école à 14 ans sera ensuite responsable des questions d’éducation de son parti dont il sera ensuite un spécialiste reconnu dans ce domaine.
Dans son Itinéraire communiste, Bernard Calabuig témoigne de sa vie de responsable communiste, avec ses doutes et ses incertitudes grandissants sur l’avenir du PCF. Il interroge le mode de fonctionnement du PCF, qu’il a connu de l’intérieur, et dénonce son autisme face aux nouvelles réalités sociales et culturelles. Engagé dans le mouvement de rénovation et de refondation du PCF, il prend le parti pris au sein de l’Association des communistes unitaires de contribuer à refonder une nouvelle pensée communiste pour le 21 e siècle et quitte le PCF en 2010, avec de nombreux militants refondateurs.
Pour autant, sa rupture avec le «Parti» n’est ni un renoncement au communisme ni un reniement des années passées à lutter aux côtés des exploités et des opprimés, tant en France que dans le monde. Altercommuniste, il nous donne à lire un ouvrage qui vise à ouvrir le débat sur l’urgence de faire vivre un communisme renouvelé, débarrassé des scories du passé et adapté à la crise civilisationnelle du nouveau siècle.
Il est élu membre du conseil national en 1996 et devient membre de l’exécutif national de 2003 à 2010. Il exerce trois mandats électifs : conseiller municipal à Garges-lès-Gonesse de 1989 à 1995, puis conseiller général et conseiller municipal de Bezons de 2001 à 2008. Paradoxe, cet ancien ouvrier qui a quitté l’école à 14 ans sera ensuite responsable des questions d’éducation de son parti dont il sera ensuite un spécialiste reconnu dans ce domaine.
Dans son Itinéraire communiste, Bernard Calabuig témoigne de sa vie de responsable communiste, avec ses doutes et ses incertitudes grandissants sur l’avenir du PCF. Il interroge le mode de fonctionnement du PCF, qu’il a connu de l’intérieur, et dénonce son autisme face aux nouvelles réalités sociales et culturelles. Engagé dans le mouvement de rénovation et de refondation du PCF, il prend le parti pris au sein de l’Association des communistes unitaires de contribuer à refonder une nouvelle pensée communiste pour le 21 e siècle et quitte le PCF en 2010, avec de nombreux militants refondateurs.
Pour autant, sa rupture avec le «Parti» n’est ni un renoncement au communisme ni un reniement des années passées à lutter aux côtés des exploités et des opprimés, tant en France que dans le monde. Altercommuniste, il nous donne à lire un ouvrage qui vise à ouvrir le débat sur l’urgence de faire vivre un communisme renouvelé, débarrassé des scories du passé et adapté à la crise civilisationnelle du nouveau siècle.