Un homme d'altitude. Gilles de la Rocque, fondateur de la FACIM

Par : Philippe Révil
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  • Nombre de pages182
  • PrésentationBroché
  • Poids0.335 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,6 cm
  • ISBN978-2-9533505-2-4
  • EAN9782953350524
  • Date de parution01/01/2012
  • CollectionDes montagnes et des hommes
  • ÉditeurFacim

Résumé

Ses amis le décrivaient comme un "romantique au service d'un idéal". Gilles de La Rocque était certes un utopiste mais également un organisateur, enthousiaste et mélomane, un bâtisseur imaginatif, créateur de la Fondation pour l'action culturelle internationale en montagne (Facim), du centre de congrès et de l'auditorium du Jardin alpin de Courchevel. Directeur entre 1960 et 1982 de l'office de tourisme de cette grande station de ski des Trois vallées dont il fut l'infatigable ambassadeur, cet ancien journaliste avait auparavant lancé en pleine guerre froide le Ski club international pour réunir ses confrères des deux côtés du rideau de fer.
Décédé en novembre 2001, Gilles de La Rocque fut habité toute sa vie par une triple passion : la montagne, la musique et le rapprochement Est-Ouest. Il fut aussi, et par-dessus tout, le défenseur acharné de la mémoire de son père, le colonel de La Rocque, ancien président des Croix de Feu et du Parti social français, résistant et déporté, longtemps victime de l'injustice et de l'histoire officielle.
Ce livre retrace le parcours d'un pur, convaincu que la montagne rapproche les hommes et que "près des cimes, les masques tombent". Au pays de la neige, comme le rappelle Hervé Gaymard en préface, "la trace est toujours plus longue que le pas".
Ses amis le décrivaient comme un "romantique au service d'un idéal". Gilles de La Rocque était certes un utopiste mais également un organisateur, enthousiaste et mélomane, un bâtisseur imaginatif, créateur de la Fondation pour l'action culturelle internationale en montagne (Facim), du centre de congrès et de l'auditorium du Jardin alpin de Courchevel. Directeur entre 1960 et 1982 de l'office de tourisme de cette grande station de ski des Trois vallées dont il fut l'infatigable ambassadeur, cet ancien journaliste avait auparavant lancé en pleine guerre froide le Ski club international pour réunir ses confrères des deux côtés du rideau de fer.
Décédé en novembre 2001, Gilles de La Rocque fut habité toute sa vie par une triple passion : la montagne, la musique et le rapprochement Est-Ouest. Il fut aussi, et par-dessus tout, le défenseur acharné de la mémoire de son père, le colonel de La Rocque, ancien président des Croix de Feu et du Parti social français, résistant et déporté, longtemps victime de l'injustice et de l'histoire officielle.
Ce livre retrace le parcours d'un pur, convaincu que la montagne rapproche les hommes et que "près des cimes, les masques tombent". Au pays de la neige, comme le rappelle Hervé Gaymard en préface, "la trace est toujours plus longue que le pas".