Traversées du quotidien. Des surréalistes aux postmodernes

Par : Michael Sheringham

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 9 juillet
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages415
  • PrésentationBroché
  • Poids0.567 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,7 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-13-059260-0
  • EAN9782130592600
  • Date de parution11/05/2013
  • CollectionLignes d'art
  • ÉditeurPUF
  • TraducteurMaryline Heck
  • TraducteurJeanne-Marie Hostiou

Résumé

Le mot "quotidien" fait-il référence à un contenu objectif, défini par un type d’activité particulier (journalier), ou vaut-il mieux le penser à travers des concepts tels que le rythme, la répétition, la festivité, l’ordinaire, le non-cumulatif, la sérialité, le générique, l’évident, le donné ? Y aurait-il des événements ou des actes exclusivement quotidiens, ou le « quotidien » serait-il lié à un mode de penser qui aborde les actes et les événements dans le présent plutôt que dans le long terme ? S’il y a du sens à voir le quotidien comme l’un des paramètres de nos vies, peut-on isoler ce paramètre des autres sphères de l’existence ? Quelles techniques, quels genres sont les plus à même d’exprimer l’essence de la vie ordinaire ? Ce livre explore ces questions par le biais d’une approche comparatiste, établissant de nouveaux liens entre les oeuvres de nombreux artistes et écrivains, parmi lesquels André Breton, Martin Heidegger, Raymond Queneau, Walter Benjamin, Michel Leiris, Maurice Blanchot, Michel Foucault, Stanley Cavell, Annie Ernaux, Jacques Réda et Sophie Calle.
Le mot "quotidien" fait-il référence à un contenu objectif, défini par un type d’activité particulier (journalier), ou vaut-il mieux le penser à travers des concepts tels que le rythme, la répétition, la festivité, l’ordinaire, le non-cumulatif, la sérialité, le générique, l’évident, le donné ? Y aurait-il des événements ou des actes exclusivement quotidiens, ou le « quotidien » serait-il lié à un mode de penser qui aborde les actes et les événements dans le présent plutôt que dans le long terme ? S’il y a du sens à voir le quotidien comme l’un des paramètres de nos vies, peut-on isoler ce paramètre des autres sphères de l’existence ? Quelles techniques, quels genres sont les plus à même d’exprimer l’essence de la vie ordinaire ? Ce livre explore ces questions par le biais d’une approche comparatiste, établissant de nouveaux liens entre les oeuvres de nombreux artistes et écrivains, parmi lesquels André Breton, Martin Heidegger, Raymond Queneau, Walter Benjamin, Michel Leiris, Maurice Blanchot, Michel Foucault, Stanley Cavell, Annie Ernaux, Jacques Réda et Sophie Calle.