Textile. L'autre richesse du Beaujolais. Actes du colloque de Villefranche-sur-Saône, 11 et 12 octobre 2019

Par : Académie de Villefranche
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  • Nombre de pages191
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.645 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 1,6 cm
  • ISBN978-2-37553-052-8
  • EAN9782375530528
  • Date de parution01/10/2019
  • ÉditeurPoutan (Editions du)
  • PréfacierMichel Rougier

Résumé

Athéna — "déesse ouvrière" — figure aux côtés de Dionysos sur la façade de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Beaujolais inaugurée en 1935. Elle représente l'une des deux principales productions de notre région en ce premier XXe siècle : le textile. Cet artisanat s'est développé dès la fin du Moyen-Age avec les tixiers du Haut-Beaujolais qui travaillaient le chanvre et le lin, bientôt la laine, dans les environs de Thizy, Cours et Amplepuis et dans les vallées du Reins et de l'Azergues.
Les cordiers et les toiliers de Villefranche développaient quant à eux une activité déjà favorisée parle marché du lundi... Au XVIIIe siècle, l'indiennerie et la teinturerie se développent à leur tour au fil du Morgon avec une première mécanisation. Au XIXe, une véritable industrie se met en place : filature, tissage, teinture, traitement des étoffes. L'Arbresle pour les velours, Cours pour les couvertures et Tarare pour les voilages sont au premier plan.
A l'orée du XXe siècle, c'est la confection qui prend le relais avec de nombreuses enseignes. Joannès Sabot invente le bleu de travail en 1888 ; Villefranche en sera la capitale jusque dans les années soixante... C'est à cette histoire industrielle, à cette histoire sociale, que l'Académie de Villefranche et du Beaujolais a choisi de consacrer deux journées d'étude en octobre 2019 Textile - L'autre richesse du Beaujolais.
Ces actes regroupent les contributions de Lucien Béatrix, Jean Berthier, Philippe Branche, Daniel Broutier, Michèle Jarrige, Michel Lebail, Paul Noyel et Marie-Louise Odin, ainsi que les deux films réalisés par Sylviane Aclément, Colette Chérasse, Daniel Chérasse et Ghislaine Spica.
Athéna — "déesse ouvrière" — figure aux côtés de Dionysos sur la façade de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Beaujolais inaugurée en 1935. Elle représente l'une des deux principales productions de notre région en ce premier XXe siècle : le textile. Cet artisanat s'est développé dès la fin du Moyen-Age avec les tixiers du Haut-Beaujolais qui travaillaient le chanvre et le lin, bientôt la laine, dans les environs de Thizy, Cours et Amplepuis et dans les vallées du Reins et de l'Azergues.
Les cordiers et les toiliers de Villefranche développaient quant à eux une activité déjà favorisée parle marché du lundi... Au XVIIIe siècle, l'indiennerie et la teinturerie se développent à leur tour au fil du Morgon avec une première mécanisation. Au XIXe, une véritable industrie se met en place : filature, tissage, teinture, traitement des étoffes. L'Arbresle pour les velours, Cours pour les couvertures et Tarare pour les voilages sont au premier plan.
A l'orée du XXe siècle, c'est la confection qui prend le relais avec de nombreuses enseignes. Joannès Sabot invente le bleu de travail en 1888 ; Villefranche en sera la capitale jusque dans les années soixante... C'est à cette histoire industrielle, à cette histoire sociale, que l'Académie de Villefranche et du Beaujolais a choisi de consacrer deux journées d'étude en octobre 2019 Textile - L'autre richesse du Beaujolais.
Ces actes regroupent les contributions de Lucien Béatrix, Jean Berthier, Philippe Branche, Daniel Broutier, Michèle Jarrige, Michel Lebail, Paul Noyel et Marie-Louise Odin, ainsi que les deux films réalisés par Sylviane Aclément, Colette Chérasse, Daniel Chérasse et Ghislaine Spica.