Tartes à la crème et coups de pieds aux fesses. Le cinéma comique américain Volume 1, Les années flamboyantes du court-métrage

Par : Enrico Giacovelli

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  • Nombre de pages160
  • PrésentationBroché
  • Poids0.475 kg
  • Dimensions17,4 cm × 23,9 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-36677-013-1
  • EAN9782366770131
  • Date de parution07/12/2012
  • ÉditeurGremese
  • TraducteurSophie Loria

Résumé

Aucune autre forme de spectacle fut célèbre autant que le cinéma comique américain. Des landes les plus perdues de l'Asie aux cercles intellectuels de la vieille Europe, tous ont connu et connaissent encore Charlie Chaplin, Laurel et Hardy, Buster Keaton. Il suffit d'une de leur image, intensifiée par la splendeur du noir et blanc, pour susciter chez nous un sentiment de reconnaissance : celle que nous portons à ceux qui nous ont permis de nous amuser sans honte.
Jusqu'à aujourd'hui, il n'existait pas d'histoire qui racontait, depuis ses origines et dans sa globalité, l'extraordinaire aventure de ce genre qui n'est pas seulement un genre mais un univers. Les volumes qui composent cette oeuvre vont donc remplir un vide. Et procédant chronologiquement, ils racontent non seulement ce cinéma, ses thèmes, son style, mais aussi les personnages qui en ont été les protagonistes et l'Amérique qui les entoure.
Parce que le grand art comique ne peut pas faire abstraction de la société dans laquelle et contre laquelle il s'épanouit. Le premier volume part des origines, règne des expériences, bizarreries, curiosités, et arrive aux premiers grands films des maîtres comiques par antonomase : Chaplin, Keaton, Lloyd. A leur côté, d'autres noms des années flamboyantes : Mack Sennett, le roi des comédies déchaînées ; Mabel Normand, la première et dernière diva comique ; Fatty Arbuckle, moitié enfant et moitié monstre ; Charles Chase, avec déjà un pied dans la comédie ; et ce Larry Semon, connu en France en tant que Zigoto, qui fut, de son temps, très célèbre mais dont personne ne se souvient aujourd'hui.
Mais les hommages que lui ont rendus The Artist et Hugo Cabret, primés tous deux plusieurs fois en 2011, attestent que le cinéma qui ne parlait pas a encore beaucoup à nous dire.
Aucune autre forme de spectacle fut célèbre autant que le cinéma comique américain. Des landes les plus perdues de l'Asie aux cercles intellectuels de la vieille Europe, tous ont connu et connaissent encore Charlie Chaplin, Laurel et Hardy, Buster Keaton. Il suffit d'une de leur image, intensifiée par la splendeur du noir et blanc, pour susciter chez nous un sentiment de reconnaissance : celle que nous portons à ceux qui nous ont permis de nous amuser sans honte.
Jusqu'à aujourd'hui, il n'existait pas d'histoire qui racontait, depuis ses origines et dans sa globalité, l'extraordinaire aventure de ce genre qui n'est pas seulement un genre mais un univers. Les volumes qui composent cette oeuvre vont donc remplir un vide. Et procédant chronologiquement, ils racontent non seulement ce cinéma, ses thèmes, son style, mais aussi les personnages qui en ont été les protagonistes et l'Amérique qui les entoure.
Parce que le grand art comique ne peut pas faire abstraction de la société dans laquelle et contre laquelle il s'épanouit. Le premier volume part des origines, règne des expériences, bizarreries, curiosités, et arrive aux premiers grands films des maîtres comiques par antonomase : Chaplin, Keaton, Lloyd. A leur côté, d'autres noms des années flamboyantes : Mack Sennett, le roi des comédies déchaînées ; Mabel Normand, la première et dernière diva comique ; Fatty Arbuckle, moitié enfant et moitié monstre ; Charles Chase, avec déjà un pied dans la comédie ; et ce Larry Semon, connu en France en tant que Zigoto, qui fut, de son temps, très célèbre mais dont personne ne se souvient aujourd'hui.
Mais les hommages que lui ont rendus The Artist et Hugo Cabret, primés tous deux plusieurs fois en 2011, attestent que le cinéma qui ne parlait pas a encore beaucoup à nous dire.
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